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Cyrène Solaris
Cyrène Solaris
Amiral de la République
Amiral de la République

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Jeu 23 Juin - 0:10

   
   

   

Equipement :


   
Pistolet Blaster Modèle 1492 :

Cyrène Solaris Cyrzon10

Le Blaster M92 est l’un des pistolets d’ordonnance d’officier de la flotte Républicaine les plus récents actuellement en service. Léger, facile a prendre en main, il dispose d’une précision convenable jusqu’à 50 mètres, une distance respectable pour une arme de cette catégorie et peut tirer une centaine de coup avant d’avoir besoin de recharger sa cellule d’énergie. Toutefois, sa puissance de feu ne sera pas suffisante pour venir a bout d’une armure de combat et il s’agit davantage d’une arme d’autodéfense que d’une véritable arme de guerre.

               
   

Description physique :


   

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Cyrène Solaris fait partie de ses personnes que l’on oublie rarement lorsqu’on les croisent, même au détour d’un couloir. Déjà parce qu’il est souvent difficile d’oublier la silhouette d’une Hapienne, sauf si l’on est Hapien soit-même ou que la simple vue d’une personne de sexe féminin soit associé a quelque chose de repoussant, mais aussi parce qu’elle dégage quelque chose de particulier qui n’est pas particulièrement sympathique. Comme nombre d’officier, Cyrène se déplace d’un pas cadencé, qui sans être dans la course, reste assez rapide et demande une certaine habitude pour tenir la cadence si l’on est pas sois-même habitué a adopter une démarche comme celle-ci ou que l’on peut la surpasse d’une a deux tête, ce qui n’est pas si fréquent, la jeune femme mesurant tout de même un mètre soixante douze, ce qui reste respectable pour une femme sans en faire pour autant une géante. Mais c’est aussi l’observation de son regard, souvent dur ou méfiant, qui la rend difficilement accessible : voir Cyrène Solaris sans connaître son histoire représente sans doute un paradoxe, entre l’attirance qu’une beauté Hapienne peut créer en chaque être vivant et la crainte de la voir devenir désagréable si l’on prenait le risque de lui adresser la parole.

Le visage de Cyrène inclus le seul signe de ressemblance que cette dernière partage avec sa sœur aînée Vesper, c’est-à-dire sa coiffure : les deux femmes portent le même carré, a la différence que la cadette n’est pas affligée de la tare génétique de la tenancière de bar et affiche une couleur brune-chocolat tout a fait naturelle, ce certains qualifierons même sans doute de banal. Toutefois, cette chevelure somme toute classique et pratique pour une militaire encadre un visage ovale sans défauts orné de lèvres pulpeuses, même si ses dernières sont rarement maquillée, d’un nez fin et de deux yeux bleu pénétrant et particulièrement expressif, une ironie cruelle chez quelqu’un arborant pourtant le plus souvent un visage assez fermé. Il est assez rare que la belle se maquille, seulement lors des évènements protocolaire exigeant un certains standing, de même qu’elle n’est pas adepte des bijoux, que cela soit boucle d’oreille ou collier, cependant, il lui arrive de porter des lunettes d’aviateur, autant pour des questions de style que pour satisfaire les goûts de sa compagne qui ne peut s’empêcher de la trouver irrésistible avec l’ajout de cet accessoire. Certes, Cyrène ne dispose pas de l’avantage de maîtriser la Force, mais cela ne signifie pas pour autant qu’elle n’est pas capable de comprendre assez les goûts de son amante pour en tirer un avantage.

Son corps est un savant mélange entre sa nature Hapienne et sa fonction militaire. Bien qu’elle soit Amirale, ce qui sous entend qu’elle s’expose rarement de façon direct au danger de la même façon qu’un soldat, Cyrène suit une préparation physique assez stricte, autant pour donner l’exemple que pour satisfaire a sa paranoïa permanente. De ce fait, la belle dispose d’épaule plus carré que nombre de ses congénères Hapienne, ses bras voient leurs muscles se dessiner lorsqu’elle prend une posture de défense et elle dispose d’une force que l’on ne soupçonnerait pas lorsqu’elle porte son uniforme, mais qui, sans surclasser bien sur celle d’un soldat entraîné, pourrait facilement surprendre quelqu’un croyant pouvoir la prendre facilement en défaut au corps-à-corps. Son ventre suis le chemin de ses bras et si vous la surprenez lors d’un exercice de musculation, vous aurez l’occasion de vous rendre compte que loin du modèle de podium ou d’holo, Cyrène est dotée de muscle dessinée qui laisse deviner qu’elle se débrouille mieux que l’on ne pourrait le croire. Il arrive parfois qu’elle porte un bijou sur le nombril, c’est très rare, mais il s’agit de l’un des rares signes de sa « vie d’avant » qu’elle garde encore, pour une raison qui lui échappe.

Il est toutefois a noter que sa poitrine, comme ses fesses d’ailleurs, sont a la hauteur de la réputation des Hapiennes : voluptueuse et ferme, elles font tourner des têtes et bien des hommes comme des femmes se sont retourner sur son passage juste pour s’assurer d’avoir vue une femme aussi bien faite graviter dans la sphère militaire, encore plus a un grade aussi élevé ou généralement, l’on croire au mieux des hommes quadragénaire dont le sex appeal est bien moins évident. Ses jambes sont moins développée que ses bras, et si des muscles se dessinent parfois sur ses mollets, ses cuisses restent celle d’une femme désirable et non d’une athlète de haut niveau. Un autre signe qui trahi qu’il ne s’agit pas d’une véritable combattante est l’absence totale de blessure sur son corps, dont l’absence de défaut trahi les origines Hapiennes d’ailleurs. L’on pourrait résumer ce portrait de son corps par un assemblage de contradiction, ce qui la représente d’ailleurs assez bien dans sa psyché, mais nous reviendrons sur cette dernière plus bas.

Pour conclure, évoquons sa garde robe, qui a clairement perdu de sa superbe depuis son exil dans la République : contraire d’abandonner pratiquement tous ses biens, Cyrène a clairement vu son train de vie drastiquement diminuer, malgré une position bien plus que confortable au sein de la République : de ce fait, nombre des pièces composant sa garde robe sont en réalité des uniformes, chacun ayant une utilité allant des uniformes de combat, porté le plus souvent sur le pont de son Star Dreadnought, jusqu’aux uniformes de parades réservé a une occasion particulière, comme la commémoration d’une grande bataille par exemple et ne sortant donc que très peu des appartements de la jeune femme. Bien entendu, l’on trouve quelques tenues civiles, qu’il s’agisse de tenue « casual » pour la vie de tout les jours jusqu’à des tenues de soirée, peu nombreuses, mais souvent originale : Cyrène était une femme plus excentrique lorsqu’elle vivait dans l’amas d’Hapès et si elle force très peu sur les bijoux, ses tenues en revanche ont garder une part de folie, même si elle est forcément limitée par ses moyens actuels.

                 
   

Description mentale :


   

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Il existe presque autant de description de la personnalité de Cyrène qu’il n’existe de sensibilité au sein de son vaisseau amiral : certains la décrivent comme plutôt sociable, surtout des femmes d’ailleurs, d’autre comme une femme sans cœur dont personne ne comprend comment elle a conquis le cœur d’une Jedi de haut rang, plutôt des hommes. Tantôt brillante, tantôt insupportable, parfois attentive, parfois sans cœur, il est en réalité impossible de se fier a ce que l’on raconte sur elle car Cyrène Solaris est a la fois tout cela et ne l’est pas pour autant. Sa personnalité fut forgée par les épreuves que sa vie lui a imposer, par ses origines comme sa volonté propre, et résulte d’un combat permanent entre la volonté de réparer des erreurs afin de pouvoir soulager une conscience née a l’endroit le plus improbable de la galaxie et un naturel forgé dans un système impitoyable ou elle devait occuper les sommets du pouvoir, mais dont des circonstances indépendante de sa volonté l’on propulser au rang déshonorant de paria et contrainte a l’exil.

Cyrène Solaris est Hapienne, et affirmer cela est déjà lui associer quelques traits de caractère : généralement, les membres de cette espèces sont sûr d’eux, d’autant plus lorsqu’il sont du sexe féminin. Comme les autres, d’autant plus pour une fille de Matriarche qui était destinée a hériter de la position de sa mère, Cyrène connaît les avantages que sa nature lui confère et sait s’en servir lorsqu’elle en a besoin. Elle ressent également un sentiment de supériorité réelle qu’il lui est impossible de gommer face a la gente masculine. Certains l’attribuent a son naturel qui revient au galop et la preuve qu’elle n’a pas vraiment envie de changer et a simplement fuit pour échapper a la mort comme a la honte. Pour d’autre, c’est une réaction épidermique en étant confronté a une société ou les codes sociaux sont souvent inversé au sien : l’armée n’est après tout pas le lieu le plus féminisé de la République et si les clones s’en moquent, les membres de la flotte sont parfois prompt a traiter une femme comme un objet ou considérer que son genre la rend de facto inférieure. Certains ont fait les frais de ses préjugés de façon verbale, d’autre physique, mais ce qui est certains, c’est qu’en grimpant dans les échelons, Cyrène a systématiquement fait le ménage sur son pont afin de s’entourer d’un maximum de femme pour s’assurer d’éviter les conflits le plus possible.

Cette origine Hapienne se ressent naturellement dans sa manière d’envisager la stratégie militaire : Cyrène préférera naturellement faire usage de stratégie défensive et placera ses vaisseaux de guerre de tel façon a pouvoir créer une énorme concentration de puissance de feu a un endroit réduit pour détruire les vaisseaux pris dans la grille le plus vite possible. Cette préférence pour la puissance de feu supérieure se retrouve aussi lorsque sa flotte doit soutenir la progression d’une armée lors d’un assaut planétaire : elle essayera toujours de remarquer les points structurants la défense et les écraser sous une frappe orbitale dans une tactique qui évoque davantage l’académie impériale qu’Hapienne ceci dit, peut-être une leçon tirée de ses études des designs Rothaniens, plus proche des standards Impériaux que Corellien. A la bataille, elle donne des ordres clairs, précis et souvent bref afin d’être certaines d’être comprise par tout le monde et que sa stratégie s’appliqu comme un orchestre symphonique accomplirait son plus grand chef d’œuvre. Dure, Cyrène ne tolère pas qu’on lui dise non et ne laisse que peu de place a ses subordonnés pour modifier ses plans, ce qui lui permet de garder le contrôle, mais contraint ses flottes a une certaine rigidité, ce qui peut créer des faiblesses dans les situations les plus difficiles ou une plus grande indépendance de ses subordonnés améliorerait la réactivité de sa flotte.

Il y a quelque chose qu’il convient toutefois d’évoquer, un point énormément structurant dans la vie de Cyrène est la culpabilité qui la ronge a chaque instant : pour le peu d’intérêt qu’elle accorde aux hommes, elle a fini par comprendre que la manière dont les Matriarches Hapienne réduisaient ses derniers en esclavage n’était pas « juste ». Elle a fini par réaliser a quel point son comportement dans sa jeunesse, qui consistait simplement a jouir de ses immenses pouvoirs d’héritière d’une matriarche, avait fait du mal, notamment a une sœur ainée qui avait eue le malheur de naître avec une tare génétique et fut traitée comme un meuble et non une personne, était toxique et doit vivre avec ce poids sur ses épaules, qui ne la quittera sans doute jamais. Cette culpabilité la rend plus dure face a des situations dramatique sur le champ de bataille, lorsque l’on est incapable de se pardonner soi-même, comment pardonner aux autres après tout ? Alors que la République aime se poser comme le régime du droit et juger les criminels de guerre, il n’est pas rare qu’elle couvre ceux qui préfèrent les passer directement par les armes, et gagner sa confiance est une tâche très complexe. Même lorsqu’elle vous acceptera dans son entourage, il est fort probable qu’elle gardera toujours un œil sur vous, un trait exacerbé sans doute par sa nature Hapienne, la trahison étant une seconde nature chez les Matriarches comme au sein de leur famille. Elle essaye d’être quelqu’un de meilleur, mais a sa façon, ce qui signifie qu’elle ne fait pas toujours les choses bien, même avec les meilleures intentions du monde.

Il n’est de fait pas très difficile de comprendre comment la jeune femme se place face aux autres régimes galactique : pour des raisons évidente, la transfuge l’entretien plus beaucoup de bons sentiments pour sa patrie de naissance, même si elle conserve certains traits de ses origines. L’Empire n’est pour elle qu’une version allégée du Consortium tentant d’afficher un visage respectable, mais qui finira sans aucun doute par devenir comme lui, ciblant davantage les femmes que les hommes et réservant peu ou prou le même sort aux aliens, n’accordant aucune confiance a la haute noblesse impériale qu’elle perçoit comme un miroir de celle d’Hapès. Les Mandaloriens disposent de valeurs lui semblant plus respectable, mais il lui est difficile de comprendre une société s’étant entièrement tournée vers la guerre et en ayant fait le centre de l’existence. Pour l’Apex, ses sentiments sont les plus contrasté : d’un côté, elle négocie régulièrement avec certains de ses membres, car il faut toujours garder un lien avec l’autre monde galactique, celui qui s’affranchit de la légalité. Mais elle n’apprécie que très peu de nombreuses choses du monde criminel, même si vu son passé, elle se garde bien de formuler la moindre remarque en public. Elle n’est pas dupe sur certains des plus grands inconvénients de la République, mais la jeune femme considère qu’il s’agit du régime ou elle avait le plus de chance de se reconstruire selon ses aspirations et ne semble pas avoir fait erreur jusqu’ici.

Il reste a évoquer son rapport aux être sensible a la Force, qui n’a pas toujours été des plus facile : elle avait rencontrer quelques Sith au sein du Consortium et leur présence l’avait toujours rendu mal a l’aise. Elle percevait sans doute les ténèbres de leur âme et comprenait facilement les menaces pouvant se dissimuler derrière leur parole. Pour cette raison, être interrogée par une Jedi lorsqu’elle avait rejoint la République fut une surprise désagréable et durant un certains temps, même si elle répondit aux questions de cette dernière, elle se montra distante et sur ses gardes. A ses yeux, quelqu’un disposant d’un si grand pouvoir ne pouvait qu’en abuser et pas être un gardien de la paix, une expression qui lui semblait d’ailleurs bien futile après trois cent ans de conflits. Toutefois, côtoyer Arsenicia au quotidien a permis a Cyrène de vaincre une partie de ses réticences pour la maîtresse de l’ordre tout d’abord, avec qui elle partage désormais une relation amoureuse aussi passionnée que trop éloignée a son goût, mais également avec les autres Jedi, même si elle garde parfois une part de méfiance face a l’ignorance de leurs pouvoirs ou l’apparence particulière que les membres les plus marginaux peuvent arborer.

Si la rédemption dispose d’une définition claire, elle est difficile a atteindre et Cyrène tente d’y parvenir depuis plusieurs années, sans être capable pour autant de se pardonner elle-même pour ses propres fautes. Sera-t-elle capable de faire la paix avec elle-même d’abord et les autres ensuite, particulièrement avec sa sœur qu’elle recherche toujours ? Rien n’est moins sûr, mais jusqu’à présent, elle n’a pas abandonner et s’accroche a cet espoir avec conviction.

   

             
   
         
   

   

Histoire :


   

Enfance toute puissante et chute brutale [1471 – 1488] :

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Cyrène Solaris est née sur Ket, seconde fille de la matriarche de la maison Solaris et née sous une étoile contrariée : en effet, elle ne fut qu’un choix « par défaut » suite a l’échec de sa mère d’être capable de créer l’héritière parfaite pour accroître son prestige et sa position dans la féroce compétitions que se livrent sans cesse les Matriarches pour accroître leur pouvoir. Sa grande sœur est née avec des tares génétique, et comme il était nécessaire de s’assurer au moins une descendante, Cyrène est issue elle d’une reproduction naturelle avec l’un des nombreux membres du Harem destiné a servir sa mère. Cette origine laissera une enfance contrasté a l’exilée : d’un côté, en tant qu’héritière d’une Matriarche, elle accéda a une éducation riche et sophistiquée, qui lui permettait de toucher a de nombreuses connaissances, a des enseignements politiques et sociaux, ainsi qu’à l’idée qu’elle avait tous les droits sur les hommes et les aliens qui n’étaient pas digne d’obtenir le statut de citoyen, et qu’elle même était supérieure par sa naissance et son lignage a bien des femmes au sein de l’amas. De l’autre, une indifférence très marquée de sa mère, car elle comme sa grande sœur incarnait a ses yeux le visage de son échec dans ses expériences génétiques.

Il fallait dire que Ket n’avait pas grand-chose pour elle : la planète était en grande partie composé de désert ou vivait une espèce alien qui vivait très éloigné de la moindre préoccupation des Hapiens. Si la Matriarche disposait tout de même d’un train de vie confortable et pouvait de faire en faire bénéficier sa fille, elle n’avait sans doute pas eue le bras assez long pour obtenir toutes les connaissances dont elle aurait eue besoin pour mener son projet a l’œuvre et vivait son échec avec amertume. Les mots d’amour d’une mère pour sa fille furent aussi absent de la vie de Cyrène que de sa grande sœur Vesper, même si les deux femmes furent mouler dans des conditions bien différente : l’une devant perpétuer la lignée alors que l’autre était devenu un simple sacrifice a faire pour le trône afin de pouvoir trouver une utilité a un visage qui rappelait sans cesse a la matriarche son échec. Il n’est pas si difficile de prédire les résultats d’une éducation comme celle-ci : Cyrène s’est construite autant dans le rejet maternel que dans la flatterie et l’égo de l’espèce Hapienne, ce qui en fit un cocktail explosif d’arrogance, de suffisante et de cruauté. Dans sa plus tendre enfance, Vesper devint bien vite l’un de ses souffres douleurs favoris et apprenant vite ses faiblesses, elle n’hésita pas a les exploiter pour « épater la galerie » auprès des autres filles de nobles, après tout, elle en avait le droit, puisqu’elle était la deuxième femme la plus puissante de la planète ?

Cyrène ne remis jamais en cause son éducation jusqu’au début de son enfance, mais pourquoi l’aurait-elle fait ? Sa seule source de frustration était l’impossibilité d’obtenir la reconnaissance maternelle, jamais sa mère ne lui offrit un sourire ou une félicitation : une performance excellente était le « minimum requis » pour sa destinée, et l’enfant ressentait bien le manque de considération qui existait dans le regard maternel : il était évident que pour sa mère, elle ne restait qu’une solution de rechange destiné a limiter les dégâts de ses erreurs. Même si Cyrène ne comprenait pas vraiment tous les tenants et aboutissant des griefs de sa mère, elle avait assez entendu ses conversations pour savoir que Vesper était « responsable » de la colère maternelle, ce qui ne fit que l’encourager a se montrer plus cruelle encore avec sa grande sœur, qui représentait aussi un obstacle a l’amour maternel. Cet état de fait dura jusqu’à l’adolescence, car tant qu’elle vivait dans le même cadre, il était impossible pour une enfant qui n’était pas capable de penser autrement que selon le prisme de son éducation qu’elle puisse se tromper et vivre dans une société ayant des problèmes.

A l’adolescence, Cyrène quitta toutefois le cocon familial pour rejoindre une école préparant a l’académie militaire : si elle avait suivit de nombreux cours auprès de ses précepteurs, la vie par les armes lui avaient sembler le meilleur moyen de réussir et sa mère n’avait pas rechercher a la décourager : après presque trois cent ans de guerre, il était bien naturel qu’une carrière dans l’armée puisse offrir de l’avancement. Evoluer dans un autre univers fut brutal, car ici, elle était avec d’autres filles recherchant a faire carrière dans l’armée et elle n’était plus au sommet de la hiérarchie du pouvoir. Certes, certaines recherchaient sa compagnie, car être héritière d’une matriarche lui offrait un certain statut, mais d’autre héritière se moquèrent d’elle, de sa « mère incapable » et de son « caillou de sable sans valeur ». Elle se heurta a un mur de violence qui la poussa parfois, de frustration, a en venir en main, bande contre bande, mais aussi d’incompréhension : pourquoi certaines personnes se permettaient de ne pas respecter son statut ? N’était-elle pas censée être importante ? Elle remarquait bien que certaines personnes essayaient de se servir d’elle de la même façon qu’elle avait humilier sa grande sœur durant son enfance. Si cela forgea un sentiment d’effort face a l’adversité, cela éveilla un sentiment que la jeune adolescente n’avait jusqu’ici jamais connu : le doute.

Qu’est-ce qui la prédestinait réellement a être un « être supérieure » ? Pourquoi sa mère l’avait-elle sans cesse rejeter ? Pourquoi sa sœur lui était-elle inférieure ? Toutes ses questions sur des notions qu’elle avait accepté comme une évidence jusqu’ici pouvait être associer a une forme de crise d’adolescence, dans une société comme le Consortium de Hapès, elles étaient dangereuse et Cyrène eue l’intelligence de garder tout ceci pour elle. Ce qui traduit le plus ses doutes fut son éloignement soudain lorsqu’elle était chez elle, fuyant a n’importe quel prix la compagnie de sa grande sœur, de plus en plus incapable, au fur et a mesure que le doute rongeait son esprit, de faire face aux souvenirs des sévices qu’elle lui avait infliger durant son enfance. Cyrène devint froide, inquiète, et paranoïaque aussi bien chez elle qu’en classe. Sa mère ne s’en inquiéta guère, elle pensait qu’il s’agissait de qualité indispensable a l’exercice du pouvoir d’une matriarche Hapienne. Parmi les plus grandes sources d’inquiétude de la jeune adolescente, les Sith figuraient en bonne place, une inquiétude qu’elle étendit rapidement a n’importe quel sensitif, s’imaginant qu’ils étaient tous aussi inquiétant et cruel que ceux sévissant au sein du Consortium.

La découverte du harem lorsqu’elle eue l’âge de connaître le désir charnel fut ironiquement l’un de ses seuls échappatoire. Elle s’abandonna pleinement aux mains des hommes qui étaient élevé afin de devenir les esclaves de sa volonté. L’un d’entre eux attira davantage son attention, et il n’était pas rare qu’elle se réfugie en sa compagnie lorsque l’inquiétude ou le remord devenait trop fort. Entre ses mains, elle trouvait autant le chemin du plaisir que de la relaxation, les mots réconfortants et l’oubli derrière les sensations du corps qui lui permettait d’avoir une porte de sortie. L’on pouvait assimiler cela a une amourette d’adolescent, mais cela marqua Cyrène plus qu’elle ne voudra jamais l’admettre, la poussant même a faire de l’homme l’un des principaux complice de sa fuite. Une idée qui fut longtemps improbable, mais qui devint pourtant une évidente dans sa tête lorsqu’en 1487, sa sœur n’arriva pas jusqu’au palais royal : son convoi fut attaqué par des pirates de façon mystérieuse et cet échec provoqua la disgrâce de sa mère, ce qui faisait de Cyrène non plus une héritière, mais une vulgaire étudiante sans grand avenir… Fuir n’était plus un caprice du doute, mais une question de survie. Fort heureusement, comme elle y avait déjà réfléchit, elle fut capable d’établir rapidement un plan afin de pouvoir quitter le Consortium pour changer de vie a son tour.

Fuir a tout prix [1488 – 1490] :

Cyrène Solaris Cyrzon14

Le plan de fuite de Cyrène fut basé autant sur les actifs dissimulés de sa mère que de ses relations en dehors du Consortium:chaque Matriarche disposait d’un réseau de relations avec des individus des milieux criminels et sa mère ne faisait guère exception, lui ayant même présenter certain d’entre eux. Elle fit donc appel a un contrebandier, qui travaillait a l’époque pour les Cartels Hutts, et engagea une grande partie des réserves off shore de sa mère en guise de paiement pour se faire enlever elle-même et transporter au sein de la République. Elle choisit également de reprendre contact avec son favoris au sein du Harem pour disposer de ses services : l’homme devint ainsi son domestique officiel pour s’assurer que les préparatifs pour l’opération seraient accompli correctement et que la jeune femme pourrait emporter le peu qui lui restait dans sa fuite. Pourquoi avoir choisit la République ? Déjà parce qu’elle n’aimait pas l’Empire qu’elle ne voyait que comme un miroir tentant de conserver une face respectable du Consortium a cette période, mais aussi parce qu’elle avait calculée que ses chances de survies étaient bien meilleure au sein du régime Républicain. Elle n’avait en cet instant aucune idée de ce qu’elle ferait là bas si elle était capable de réussir a s’enfuir, mais cela n’allait pas l’empêcher d’essayer pour autant.

Puisqu’elle menait ses études au sein de la flotte, Cyrène choisit de profiter d’une sortie scolaire au sein d’une station spatiale hors de l’amas pour se faire la belle : alors que leur groupe était entrain d’inspecter les quais afin de pouvoir observer l’efficacité de la police aux frontières pour contrôler les vaisseaux, elle s’éloigna en profitant d’une démonstration grandiloquente pour disparaître dans la foule des voyageurs. Le temps que l’on constate son absence, il était déjà trop tard : la transfuge avait rejoint le cargo qui s’était empressé de se faire la malle avant que l’on ne s’intéresse a lui. Personne ne mena de recherche approfondi sur sa disparition : celle qui avait héritée de Ket avait la dernière épine de son pied hors du régime de toute façon : qu’elle soit morte ou vivante n’avait strictement aucun intérêt a ses yeux. Elle discuta durant le voyage avec son compagnon de fuite : l’homme était satisfait de sa liberté retrouvé, mais ne comptait pas s’installer dans la République : il avait l’intention de se créer un business très particulier en zone neutre, et visiblement, ses plans étaient déjà très avancé. Il souhaita bonne chance a Cyrène, et lui confia qu’elle pourrait toujours revenir le voir quand elle le désirait, avant de les quitter lors d’une escale sur Zeltros.

Le contrebandier déposa Cyrène sur le monde de Nanth’ri, qui, a l’insu de la transfuge, était dirigé par une Dame Jedi. Bien évidemment, elle fut emprisonnée dès que l’on entendit sa demande d’asile politique, mais alors qu’elle s’était longuement préparer a devoir faire face au debriefing d’un agent du renseignement, elle eue la désagréable surprise de faire face a une Jedi. Sa méfiance naturelle pour les utilisateurs de la Force la placèrent dans une situation inconfortable et sur la défensive, mais elle savait qu’il était tout de même dans son intérêt de coopérer et de ne pas rechercher a dissimuler quoi que ce soit : cette personne était désormais, que cela lui plaise ou non, seule maîtresse de son destin. Alors l’héritière déchu raconta son histoire, sans filtre, n’ayant plus rien a cacher. Ses fiertés, ses hontes, ses réussites comme ses échecs, ses regrets envers sa sœur qu’elle avait d’abord maltraitée, puis fuit avant de la perdre. Il est impossible de raconter toute son existence d’une seule traite et cela, elle en avait parfaitement conscience. Le jeu des interrogatoire s’étala dans le temps, entre chaque rencontre, Cyrène étudiait les documents que la Jedi, Arsenicia Ombrelune, lui offrait afin de passer le temps, puisqu’elle était toujours coincée dans une cellule.

Toutefois, elle parvint a gagner la confiance de la Jedi. Peut-être que cette dernière avait senti son désir de mettre son ancienne vie derrière elle et de vivre mieux, mais elle lui offrit sa chance, ce que personne d’autre n’avait fait jusqu’ici. Arsenicia l’amena avec elle sur Naboo, ou elle passa une version très accélérée du debriefing avec le renseignement avant d’obtenir enfin le droit d’asile qu’elle réclamait. Elle était soulagée, elle avait enfin chasser les inquiétudes posant sur sa vie, toutefois, il lui fallait encore trouver comment occuper cette vie et lui donner un sens. Elle songeait a rechercher sa sœur disparue, mais elle avait besoin de moyens pour cela, et Arsenicia semblait vouloir garder un œil sur le destin de l’exilée : elle lui proposa de rejoindre sa flotte, puis-qu’après tout, elle avait suivit une formation pour devenir officier sur un vaisseau, afin de pouvoir se rendre utile. Certes, cela allait la mener sans doute a devoir affronter les flottes du Consortium, mais Cyrène n’aurait aucun remords a affronter son ancienne patrie et  décida d’accepter la proposition : au moins, elle retrouverait une partie structurante de son ancienne existence, celle de la discipline militaire, ce qui ne lui semblait pas un mal.

Les principales difficultés auxquelles la jeune femme dû faire face étaient multiple : la première étant que contrairement au Consortium, elle n’avait plus personne pour la servir et devait tout faire elle-même. Mais ce ne fut peut-être pas le pire obstacle : ici, elle devait cotoyer régulièrement des hommes et des aliens, des individus qu’on lui avait appris a considérer comme des inférieurs destiné a accomplir ses désirs et s’effacer derrière sa volonté. Elle découvrit rapidement que contrairement au Consortium, la République elle était peuplé d’individu considérant les femmes comme inférieure aux hommes, ce qu’elle n’accepta bien entendu pas. Ses relations avec certains de ses nouveaux compagnons d’armes n’étaient donc pas toujours au beau fixe, d’autant plus que la transfuge ne se laissa pas faire, se montrant parfois cassante, voire ignoble avec ceux lui recherchant des problèmes. Elle accepta plus facilement les aliens que les hommes, peut-être simplement parce qu’eux aussi étaient parfois victime, même au sein de la République, de discrimination par rapport aux humains et qu’elle avait donc envie de les défendre plus naturellement. Bien entendu, il lui fallut adapter son enseignement militaire a la doctrine républicaine : contrairement au Consortium, la République se défendait avec des Star Destroyers et non des stations de combat, mais c’était un défi que la cadette des Solaris était capable d’accomplir.

Une nouvelle vie ? [1490 – 1501] :

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Vivre sur un destroyer Républicain était une expérience fort différente de celle des stations de combats Hapienne : bien que les designs originaire de Rothana s’était toujours caractérisé par une certaine excentricité technologique, ils ne misaient pas pour autant sur le confort et le luxe digne des palais des stations de combat Hapien : aucune dorure, aucun esclave chargé d’accomplir le moindre des désirs des commandants, ni même de harems était un changement radical, mais il avait quelque chose de réconfortant chez l’exilée : au moins, lorsqu’elle recherchait réellement la solitude, elle n’avait aucun mal a la trouver. La plupart du temps, c’était pour se pencher sur les doctrines d’emploi stratégique des destroyers ou lire les documents d’Arsenicia sur l’ordre Jedi. Son intérêt pour le dernier point était très mesuré : en réalité, elle pris le temps de les lire davantage parce qu’elle avait l’impression que la Jedi avait a cœur qu’elle le fasse, car la doctrine et le fonctionnement de l’ordre comme de la Force représentait des choses très abstraite a ses yeux : elle était loin d’être certaines que tous les Jedi partagent les valeurs que ses ouvrages vantaient avec tant de zèle, quand au fonctionnement, cela manquait de rigueur et d’une chaîne de commandement claire a ses yeux, même s’il était plus simple de comprendre le fonctionnement d’une assemblée de sage basé sur la confiance mutuelle aux séances du Sénat, ou les différentes sensibilité politique luttaient pour obtenir le pouvoir d’une façon qui n’était pas si éloignée des coups bas des matriarches entre elles pour gagner de l’influence, elle était bien placée pour le savoir.

La transfuge sut faire preuve de ses qualités en faisant preuve d’initiative a chaque fois qu’elle le pouvait : a chaque accrochage avec une flotte adverse, elle était capable de fournir une analyse claire de la situation et de conseiller une ou plusieurs manœuvres efficace. Bien entendu, il n’était guère difficile de percevoir une tendance naturelle aux stratégies défensives, étant donné sa formation initiale sur des flottes de stations de combat et non de destroyer, mais il était indéniable qu’elle savait manœuvrer de tel façon a attirer les bâtiments de guerre adverse dans la grille de défense qu’elle préparait en amont afin de maximiser la puissance de feu. Cyrène fut également une conseillère très utile pour comprendre les mouvements de flotte Hapien et mieux les anticiper, puisqu’elle était formée a la plupart de leurs formations et connaissaient donc leurs faiblesse. Elle apporta a la flotte de la Jedi un avantage certain dans nombre d’engagements, ce qui lui permit au fur et a mesure des conflits de gagner en considération et ainsi de pouvoir monter en grade. Ce n’était pas toujours bien vu, certains considéraient qu’une étrangère, et une traître en plus, devrait rester dans l’ombre, mais il fallait admettre que l’Hapienne n’était réellement a l’aise que dans la lumière et qu’elle donnait mieux les ordres qu’elle ne les appliquaient.

Sa progression dans la hiérarchie l’amena au fur et a mesure a prendre des mesures afin de pouvoir s’assurer de pouvoir commander de la façon dont elle théorisait la guerre : en premier lieu, écarter ses plus grands détracteurs et ceux qui l’avaient ouvertement critiqué pour s’assurer que personne ne viendrait questionner son autorité dans les moments les plus critiques. Certains membres de la flotte se sont ému de ce comportement, d’autant plus que ce jeu de chaise musicale visait le plus souvent des hommes, mais Cyrène défendit toujours ses décisions de la même façon : sous le feu de l’ennemi, les discussions politiques n’avaient pas leur place et il était nécessaire que les subordonnés obéissent aux ordres de la façon la plus rapide et fluide possible. La conséquence fut toujours la même : a chaque fois que Cyrène gagnait du galon et commandait un nouvel échelon ou prenait la tête d’un nouveau vaisseau, le pont se féminiser de plus en plus de tel sorte a ce que l’Hapienne soit certaine que personne ne vienne contester son autorité sur son genre ou ses origines. Si on l’accuse toujours aujourd’hui de faire appel a des vieux réflexes misandre pour tenter de mettre insidieusement sa loyauté envers la République en doute, il est tout de même intéressant de noter que Cyrène n’a jamais rechercher a éloigner les Aliens, dont elle accepte la présence sans aucun problème et qui sont donc présent en nombre sur le pont de son vaisseau, encore aujourd’hui alors qu’elle porte ses galons d’Amirale.

Une autre facette structurante de son existence fut l’évolution de sa relation avec Arsenicia. Avec le temps, les deux femmes trouvèrent chacune en l’autre une occasion unique de pouvoir nourrir leur réflexions avec des points de vue qu’elles ne pouvaient envisager seule, et un solide lien d’amitié se noua sans qu’elles n’y prêtent réellement attention. Arsenicia appris a Cyrène a tempérer certains des pires aspects de la culture Hapienne et a poursuivre ses efforts sur le chemin pour essayer de devenir la meilleure personne qu’elle voulait être sans pour autant rechercher a la rendre parfaite. Le plus important pour la transfuge était de disposer de quelqu’un qui croyait réellement en elle et l’encourageait : la Jedi devint une épaule solide sur laquelle elle pouvait se reposait lorsqu’elle doutait afin de pouvoir trouver une force supplémentaire, quelque chose dont elle avait désespérément besoin. De son côté, elle offrait une vision plus pragmatique des choses, sa lecture des complots au sénat, ou elle disposait d’une expérience solide et des réflexions militaire permettant a la Jedi d’ajuster ses tactiques et stratégie en combat. Mais les deux femmes tissaient malgré elle un lien de plus en plus solide et rapproché, commençant même a ressentir le manque de l’autre lorsqu’elles s’éloignaient pour accomplir leurs responsabilités respectives.

Dire laquelle les deux réalisa l’évolution des sentiments qu’elles ressentaient l’une pour l’autre la première est sans doute impossible, d’autant plus que la Jedi essaya un temps de réfréner ses propres émotions. Mais Cyrène était une femme persuasive qui savait ce qu’elle désirait : lorsqu’elle fut certaine de vouloir lier son destin a celui de la Jedi, elle exploita absolument toutes les faiblesses qu’elle avait remarquée chez sa compagne afin de la faire craquer, agrandissant sa collection de lunette de soleil de façon spectaculaire. Arsenicia fut incapable de résister très longtemps, et les deux femmes commencèrent a nouer une relation plus intime, d’abord dissimulée, puis plus assumée, lorsque Cyrène exprima le peu de considération qu’elle offrait a ceux qui, invariablement, diraient que sa progression rapide dans les rangs de la flotte n’était dû qu’au fait qu’elle fréquente la couche de sa supérieure. Sur ce point d’ailleurs, Cyrène mis a profit son expérience pour faire découvrir a sa compagne de nombreuses choses qu’elle ne connaissait pas, et les rencontre entre les deux femmes furent plus animés une fois qu’elles assumèrent leurs sentiments, même si malheureusement, les circonstances galactiques les rendaient de plus en plus espacées.

En effet, en 1500, Arsenicia accéda au titre honorifique de Maîtresse de l’Ordre Jedi, qui la contraint a quitter son monde et l’éloigna donc de sa compagne. Cyrène fut promu Amirale afin de la remplacer a la tête de sa flotte et se retrouva a commander un énorme Star Dreadnought, une perspective qu’elle n’aurait sans doute jamais atteint au sein du Consortium. La jeune femme demanda toutefois a la Jedi d’accepter de l’épouser et les deux femmes se marièrent, une façon de sceller leur engagement autant que de se promettre de de revoir le plus souvent possible ainsi que de fêter sa promotion. Depuis, Cyrène continue de sillonner l’espace de la République et d’assurer sa défense non sans ressentir une certaine anxiété : depuis Lord Over, le front est plus ou moins calme et elle a conscience, comme tant d’autre, d’une offensive majeure sera sans doute organisée, sans savoir qui frappera le premier. De plus, elle essaye toujours en utilisant son salaire pour financer des détectives privés de retrouver la trace de sa sœur aînée, jusqu’ici en vain, sans même savoir si elle souhaite réellement la retrouver. Que lui dire ? Comment se faire pardonner ? Était-ce seulement possible ? Des questions qui hantent la cadette des Solaris en proie a de nombreux doutes sur ce sujet, mais qui espère qu’un jour, elle pourra construire un semblant de relation familiale normale avec sa sœur.
   

   

             
   

   

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Cyrène Solaris Signac10
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Cyrène Solaris Empty Re: Cyrène Solaris

Sam 9 Juil - 21:05
Allez la pimbêche coureuse de Star Destroyers, je te valide !

T'as intérêt à te faire pardonner pour ce que tu m'as fait subir è_é


Cyrène Solaris Signat10
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