La guerre, la mort, le désespoir, la terreur... voilà la galaxie dans laquelle naquit Sadira...
Mais de tous ceux qu'elle préfère dans son enfance, cela devrait être l'histoire de la rencontre de ses parents. L'histoire de deux vétérans de guerre, celle de deux commandos qui s'affrontent durant des années. Sa mère, portant le nom de Salky Kudra, était une guerrière Zabrak du consortium éternelle. Chevronnée et totalement imbue de sa personne, elle se pensait meilleur que tout le monde. Elle en tua du monde! Ceci sans remords, ni regrets. Elle adorait tuer et massacrer. Mais un beau jour, ses ordres de missions furent de capturer un sénateur républicain. Une mission qu'elle réussit avec brio... ou presque! Elle entend encore le bruit de l'alarme d'abordage du vaisseau, elle attend encore les cris, des soldats du croiseur, qui couraient vers les hangars, en sortant de ses quartiers. Puis son regard en voyant l'armure républicaine, couverte de tir et de sang. L'homme qu'elle pensait mort apparu, en abattant un groupe d'harpien, avant de la regarder. Puis il fonça en direction de la prison. Elle se souvient aussi de son grognement, quand, elle se mit à courir après, telle une bête enragée. Oui, son père était ce genre d'homme... il aimait se faire passer pour mort, pour réapparaître quelque temps, après et toujours au meilleur moment! Le sénateur avait prévenu que Salky n'empêche. Son garde du corps n'était pas n'importe qui. Mais ce qu'il avait oublié d’annoncer, c'est qu'il n'avait pas choisit un clone pour sa sécurité, mais un chasseur de prime, expert en mission suicide, qu'il avait élevé au rang de commando.
Quand elle le rattrapa enfin il était déjà trop tard. Le vaisseau était perdu et le sénateur dans une capsule de sauvetage, Soufflant elle ne put que évacuer en se jurant de tuer se commando républicain, que l'ont surnommés: Crépuscule. Pourquoi ce nom? Car il agissait toujours à la dernière heure avant la fin d'une mission, même si c'était du suicide. Elle le traque, en trois ans, ils s'affrontent plus d'une cinquantaine de fois. Chacun narguant l'autre ou laissant un petit message quand ils se loupaient, jusqu'au jour où leur traque fut interrompue, les obligeant à s'entraider, contre un autre adversaire: l'Empire. C'est en se battant côte à côte qu'ils tombèrent amoureux, ses années de traques les avaient rapprochés, et se connaître comme personne. C'est surtout son tempérament suicidaire, ainsi que totalement aléatoire, qui avait séduit la commando du consortium. Cessant ainsi leurs petits conflits, Salky et Crépuscule ne réussirent à s'oublier. C'est, Erika: La futur belle-soeur de Sadira, qui les rassembla, sous l'égide de la culture mandalorienne, après avoir longuement parlé avec mon père de Salky, Sans que celui-ci puisse s'arrêter, elle leur servit, de messager durant quelques mois, car elle ne leur imposa pas ce choix, elle l’insémina, peut à peu, dans leurs esprits plutôt. C'est à peine un an après leurs intégrations, dans les Ori'Ramikade, que naquit Sadira CaTalyc.
Les premiers mots qu'elle prononça furent en mandalorien, ceci furent: "Vod" et "buir". Tous les deux avaient un lien avec sa famille, et quoi qu'il arrive elle utilise, uniquement, ceci pour les désigner, par signe de respect surtout. Et ceci, même quand elle utilisait la langue commune, qui fut sa seconde langue natale. Elle la mélange souvent avec le mando'a qu'elle connaît par cœur. Mais il faut bien respecter les traditions, c'est donc à cinq ans, à peine, qu'elle eut sa première arme entre les mains. Au début elle ne comprit pas ce que c'était, puis quand sa mère se mit à tirer, sur les cibles d'entraînement, avec une copie parfaite de celle qu'elle avait dans les mains, sur des bouteilles, elle l'observa quelque seconde à peine, sa buir puis les cibles avant de l'imiter, avec en effet, beaucoup plus de mal, mais aux fils des jours, et même sans instruction, elle s'améliorera. Se construisant peu à peu des appuis solides et une posture qui serait la sienne, Une fois que sa mère fut sûre de son envie d'apprendre; et de sa détermination, elle lança la suite de l'entraînement, que son père avait préparé un terrain vague, à proximité de la maison familiale. Afin d'entraîner sa fille comme une mandalorienne aguerrie, dès son plus jeune âge, le programme fut dur, si c'est pas dit, presque, impossible pour une gamine de cinq ans. Et les Ori'Ramikade qui assister à l'éducation intense, la lamentée auprès de sa belle-sœur, affirment que Sadira y arriverait.
Donc! Le parcours était fait pour une personne, beaucoup, plus âgée, mais surtout en fin de formation. Mais personne ne l'a dit à la petite, il furent même surpris de la voir tenter, jours après jours, d'aller toujours plus loin, et plus vite. Jurant un coup, avant de tout recommencer du début, à chaque chute, quoi qu'il lui arrive. La regarder se surpasser, devient une attraction dans le village, où elle s'était installée les Catalyc, afin de l'entraîner de leurs mieux. Grâce à cela, et au fil du temps, elle se renforça et devint plus agile, plus tenace. Elle ressasse le parcours, en allant de plus en plus loin, et à chaque fois plus rapidement. La seule récompense qu'elle recevait, en fin de journée, fut le sourire de sa Zabrak de mère, quand elle arrêtait au Crépuscule, voire beaucoup plus tard. Ceci, en ayant commencé au petit matin, mais aussi le bruit de l'argent, passant, de main, en main, lors des paris des mandalorien, qui commençait à arriver d'un peu partout, pour la regarder faire. La tenace gamine de cinq ans, puis six, puis sept, devient petit à petit une attraction. Ce qui faisait grogner ses parents, qui ne pouvait la protéger de ceci.
C'est le neuvième jour de sa huitième année, qu'elle réussit enfin à finir le parcours, sous les félicitations des certains Ori'Ramikade venus l'épier. Et la première marque d'affection de sa mère, depuis quelques années déjà. Un simple ébouriffage de cheveux, ainsi qu'une vraie leçon; celle de sa teinture de sang. Le reste de sa formation fut encore plus fastidieux, que le parcours, car beaucoup la voyait déjà comme une futur Ori'Ramikade. Elle devait refaire le parcours trois fois sans faute, chaque jours et cela au soleil levant, enchaîner sur une session de tir, jusqu'à ce que le soleil atteinte son zénith, puis renforcement musculaire, suivit de combat au corps à corps, contre d'autre jeune de son village jusqu'à la nuit tombée, et ceci sans jours de repos, Quel qu’il soit. Elle continue ainsi, jusqu'à ses dix ans. Une année déterminante pour elle, car elle commença, enfin, à s'imposer dans sa propre formation. Elle insista lourdement, pour que son père lui apprend à manier l'épée, et pour commencer, il lui donna sa première mission: se fournir elle-même sa première lame. Pour ceci on ne lui laisse que trois mois, avant qu'elle reprenne sa formation. C'est avec un sourire que tous la connaissait, qu'elle ira dans les mines de beskar, extraire de la roche, ce dont elle avait besoin, avec l'accord du contremaître de la mine bien sûr! Il suit une longue formation, qu'elle savait essentielle: forgeronne de beskar. Pour cela elle dû convaincre un forgeron, pour qu'avec son aide, elle réussisse à concevoir Kad de justesse, et dans les délais impartis, sans même se presser, ce qui la rend extrêmement fier..
Le résultat de cette réussite? Un entraînement encore plus intense! Son père avait placé la barre encore plus haute. L'entraînement à l'épée, ce fut en situation réelle avec des armes en bois, car ni elle, ni son père, n'y allaient de main morte. Chacun tentant de "blessé assez gravement" l'autre pour arrêter l'entraînement, afin que Sadira passe à autre chose. Mais, plus la petite s'entraînait, plus elle devenait meilleure, et cherchait de nouveau défi, jour après jour, nuit après nuit. Ceci, sa mère le lui offrit, deux ans plus tard, en lui offrant: Shadow Fall. L'arme Verpine posa de réel problème à la petite, vu qu'elle était conçue de manière différente qu'un blaster. La technique de tir était donc totalement différente, de ce fait Sadira dû tout réapprendre, d'elle-même. Dans la même période, les parents de Sadira, avaient décidé de chambouler ses habitudes, changeant le parcours chaque nuit, ainsi que l'ordre des exercices, pour voir si elle si habituait au changement, ce qui la déboussole au début. Elle reprit tout de même rapidement la main. S'habituant ainsi à des situations totalement différentes, tous les jours, franchissant chaque nouvelles épreuves avec ténacité et brio.
Elle atteint ses quinze ans, sans le remarquer, ayant perdue la notion du temps. Et c’est à cet âge là, que son épreuve de passage, commença vraiment. Une chasse à l'homme en solitaire. Un cours de traque avec sa belle-sœur et une photo plus tard, elle dû se débrouiller seule ensuite. Son périple commença par Nar Shaddaa, plaque tournante du crime, elle savait que c'est là-bas, qu'elle trouverait ses premières informations. C'est ainsi qu'avec du temps, de l'entrain et de la persévérance, elle reçoit peu à peu la confiance de certains groupes, de la planète criminelle. Se créant ainsi un petit réseau de contact, secret. Petit réseaux, bien tissé, qui lui apportèrent des réponses, en échange de quelque service: telle de la messagerie, ou de l'extermination de rival. Elle apprit ainsi que sa cible se trouvait sur Lorrd, et qu'elle n'était pas la seule à la traquer, un groupe de mercenaire, faisait traquait la même cible qu’elle. C'est ainsi que pressée par le temps, elle s'y précipita, afin d'attraper sa cible avant qu'on la lui pique.
Finalement elle la loupa de peu, tout comme l’autre équipe, qui examinée déjà les lieux, et c'est après une grenade fumigène, que Sadira rencontra ce qui serait ses compagnons de traques, les débuts furent difficiles, entre elle et le groupe, mais elle trouva peu à peut sa place, au sein de celui-ci. Et surtout une amie, en qui elle pourra avoir confiance: Maïa, une cyborg, assez mystérieuse, et pleine d’énergie. Le groupe était composé de cinq personnes de tout horizon de la galaxie; voyageait sur plus d'une dizaine de monde. Ce qui fit nouer des liens à Sedira envers chacun d'eux, elle appréciait plus particulièrement la Mécano, du vaisseau qui lui apprit les rudiment de la technologie spatial et des droïde, ainsi que la pilote qui lui enseigna aussi quelque trucs avant de la laisser tenté de prendre les commandes, une expérience… qui ne se reproduira pas, au vu du style de pilotage de Sadira, assez casse-cou. Et finalement l'experte en explosion, une autre Cyborg, quasi jumelle avec Miïa, du nom de Loka: qui lui apprit à faire une bombe, avec trois fois rien.
Au final, elle s'intègre plutôt bien au contingent, essentiellement féminin, qui avait pour chef Miïa. Mais, après une course poursuite, de plusieurs sur planète, qu'elles attrapèrent leurs cibles, mais surtout de bonne tranche de rire, des mois bien remplis en sensation forte, et amicale qu'elle se quittèrent. Sadira garda de l'équipe, une photographie d’elles souriantes et amicales. Et une d'elle en train d’éclater la tête de sa proie contre un mur. Qui finalement était un ancien commando impérial cathar, traqué pour haute trahison, sur tout le territoire de celui-ci. On lui offrit également une caisse de marchandise, qu'elle avait interdiction d'ouvrir, avant d'avoir atteint Mandalore, de la part de la pilote. Mais, malheureusement avant même de pouvoir rentrer, et après un dernier verre, avec ses contacts de Nar Shadaa, elle tomba dans une embuscade, orchestrée par un gang assez farouche, mais opportuniste. Elle ne se laissa pas faire, mais même son entraînement, et son expérience, ne purent venir à bout d'un groupe d'adversaire, largement en trop grand nombre, et armé comme il faut, pour capturer une personne. Elle fut réveillée le lendemain matin en plein viol, d’elle même. C'est dans un accès de rage, causé par cette vision, qu'elle massacra tout ce qui lui tomba sous la main, dans le bâtiment ou elle se trouvait, c'est une fois calmée qu'elle chercha ses affaires, et soupira en trouvant ses vêtements déchiquetés. Tout ce qu'elle réussit à faire, c'est attraper le premier com'link qu'elle trouva, et appeler sa mère, c'est uniquement quand celle-ci décrocha, qu'elle tomba en pleure se recroquevillant sur elle-même... de honte.
Salky, n'attendit pas une seule seconde, pour aller chercher sa fille en territoire APEX, afin de la ramener à la maison. Sadira n'avait pas bougée depuis son appel, totalement immobile, mais, ses pleurs s'étaient éteints. A présent elle hésitait, entre abandonnée, tout ce pour quoi elle s'était battue jusque là, ou continuer et surmonter cette épreuve, au risque que ça lui retombe dessus. C'est sa mère, en arrachant le couvercle de la caisse de marchandise, offert par la pilote mercenaire, qui fait cesser ses doutes, qui durent depuis déjà quelques jours, sans manger, ni boire, ni bouger. A l'intérieur une armure mandalorienne et un sac, contenant un nécessaire de survie, en tout temps, ainsi que quelques trucs supplémentaires. Sadira attrapa le bras tendue par sa mère, en apercevant ceci, puis commença à s'en équiper. Elle venait de prendre la plus grande décision de sa vie. Elle vivrait celle-ci à fond jusqu'à sa mort quoi qu'il arrive, c’est en mandalorienne, qu'elle retourna sur Mandalore, taisant au passage cette histoire, vu que plus personne ne pourrait en parler, à part elle et sa mère.
C'est une fois rentrée sur mandalore, que Salky fut obligée, de mettre au courant le père de Sadira, mais que sa fille reprit l'entraînement une dernière fois, se dépassant plus que jamais. Une fois ceci fait c'est à son paternelle, qu'elle demanda une épreuve pour faire ses preuves, afin de rejoindre les Ori'Ramikade. Il ne fit que sourire et la lui donna, sous la forme d’un datapad, contenant ses infos de chasse Dxun, elle n'avait qu'à y aller et tuer du Zakkeg. Hocha tranquillement, Sadira passa quelque temps avec sa famille au calme pour une fois avant de repartir. Cela faisait longtemps qu'elle n'avait pas eu de temps libre pour être avec ses parents, et son frère, ainsi que sa belle-sœur! Qu’elle suivit dans de nombreuses cantina, de la galaxie. Un lapse de temps pour décompresser et s'assurer que tous allaient bien au niveau de son organisme interne. Elle décida de partir pour une semaine, quelque mois avant ses seize ans. Ayant appris au passage, que son épreuve de confirmation, n’était de traquer une proie seule, mais savoir trouver de l'aide pour. Car la plus grande force du guerrier n'est pas d'être capable de tout faire seul, mais de pouvoir se reposer sur d'autres, afin d’encaisser plus de coups.
Sadira part donc pour le système Japarël, une fois ses courtes vacances, achevées. Avec pour objectif, de rejoindre Dxun et tuer quelques Zakkegs. Tout ceci en une semaine au grand maximum. Malheureusement, il y a toujours un couac, dans n’importe quelle aventure. Effectivement, sur le chemin menant à l'astroport, qui abritait les navettes Onderon-Dxun, elle fit une étrange rencontre, qui la fit désobéir aux autorités pour une fois. Cette nouvelle mandalorienne est très à cran sur le respect des consignes. Préféra contourner un cordon de sécurité harpien, en passant par les toits, afin de voir ce qu'il protégeait. Et elle fait bien! un groupe de commando Harpien, prit en joue un autre groupe, composés celui-ci d'Ori'Ramikade, de différents clans, Encerclé les mando'ade, piégé, au milieu d'un place, étaient à découvert, comparé à leurs adversaires. Si les hostilités commençaient, ils se feraient massacrer, n'aillant aucune issue pour fuir. C'est donc au quart de tour, après cette vision dangereuse, que Sadira descendit la cage d'escalier, quatre marche à la fois, pour tenter de créer une brèche dans l’embuscade, refermée depuis un moment. Le seul fait que les munitions n'avaient pas commencé à siffler, c'est que les deux chefs de groupe argumentent sur la raison de leurs présences ici.
Sadira déboula dans un groupe de trois commandos du consortium, afin d'ouvrir la voie à ses frères de mandalore. Et ceci en avait profité amplement de l’occasion, pour se mettre à l'abri, derrière les anciennes couvertures des morts. C’est, tandis que Sadira retirait sa lame des entrailles, du dernier combattant adverse qui lui faisait face, qu'ils purent se replier de manière stratégique, vers l'astroport le plus proche. Évitant méthodiquement de se faire remarquer par les patrouilles de soldats, appartenant au consortium, qui quadrillent la zone, ainsi que leurs droïdes de surveillance. La suite fut un vol de vaisseau qui leur permit de s'échapper de la planète, ce qui fut une réussite, également. Et c'est en soufflant un bon coup, que l'équipe Ori'Ramikade remercia Sadira, de leur avoir sauver les miches, avant de la déposer sur Dxun, tellement elle fut insistante pour y aller. Ce qu'elle ne savait pas, c'est que les mandalorien, qu'elle avait sauvée, venaient de finir une mission de vol de donnée militaire confidentielle, et étaient sur le chemin du retour.
Notre jeune combattante passe donc une semaine de survie en totale autonomie, contre la faune hostile de Dxun. Affrontant: du Boma, à sa cible lors de cette chasse, tout en passant par le Maalraas. Elle tua trois de ses proies, qui n’était autre que le Zakkeg, en sept jours, ce qui était largement suffisant. Comme preuve de bravoure, elle coupa sur leurs cadavres les oreilles gauches uniquement. Elle les plongea dans un tube de bacta chacunes, qu’elles ne quitteront plus jamais la hanche droite de son armure. Cette semaine de sa vie, fut une des plus éprouvantes, pour elle, mais elle lui prouva aussi, que sa formation, ne servit pas à rien, car elle eu recoure à tout ce qu'on lui avait appris:
La course de parkour lui sert énormément pour naviguer dans la jungle, lors de course poursuite.
Le tir: lorsqu'elle avait besoin de nourriture, pour subvenir à ses besoins.
Et le corps à corps: lors d'embuscades sauvages, de certains prédateurs.
Dans tous les cas, elle jugea que son choix passé, été le bon, et qu'elle avait bien fait de devenir une mandalorienne.
C'est une fois la semaine terminée, qu'elle quitta enfin Dxun, afin de rentrer chez elle, le sourire aux lèvres. C'est sa belle-sœur qui la récupéra à la fin d'une de ses missions, pour la ramener dans le village familial. Village qui n'avait pas pris longtemps pour prendre Salky comme représentante. Mais encore une fois, Sadira, demanda de faire un détour vers la capitale de Mandalore. Elle voulait apporter une bonne nouvelle supplémentaire à ses parents, avant de les revoir. Ou savoir ce qui lui restait à faire, pour prouver son bravoure. C'est donc sans surprise, que sa destination fut le quartier général des Ori'Ramikade. Elle entra dedans, après un moment d'hésitation, comme à chaque fois qu'elle devait prendre des responsabilités, jetant quand même un oeil derrière elle, pour voir sa belle-sœur disparaître, sûrement vers la cantina du coin, ce qui la fit soupirer, elle devrait sans doute retourner la chercher, une fois qu’elle sera bourrée. Elle s'annonça donc volontaire, une fois qu’elle eut rejoint le comptoire. et après quelque minute, à attendre, que le mandalorien en poste vérifie son dossier. Il l’informa qu'il n'y avait sûrement aucun problème au vu de sa recommandation. Ce qui la surprit amplement... comment ça une recommandation?!
Effectivement, le groupe mando’ade qu'elle avait assistée, lui avait laissé un message des plus encourageant, pour la suite de ses aventures. La décrivant telle un éclair meurtrier, qui a surgit de nul part, pour les sortir d’une mauvaise passe. C'est donc avec un petit sourire, qu'elle intégra les Ori'Ramikade, et qu'elle put annoncer la nouvelle à ses parents, affirmant ainsi qu'elle avait trouver sa place, grâce à eux, et ceci avec une joie immense, Sautant dans leurs bras pour la première fois de sa vie. Mais, elle n’eut pas le temps pour célébrer cette nouvelle avec sa famille, qu'on lui assignait déjà une première mission en solitaire, en terre républicaine: la destruction d'un laboratoire de recherche, qui tentait de créer chimiquement du beskar. L’objectif premier de Sadira: ne pas se faire remarquer, le second de supprimer toutes les recherches et enfin le dernier de tout détruire.
L’infiltration fut compliquée et longue, car, comme le plus souvent, quand un site était secret, ils mettaient le moins de moyen possible dans le personnel, non ont cherchait la qualité, pour ne pas attirer l’attention et éviter les fuites. Sadira eut donc besoin de longue nuit d'observation avant de pouvoir passer les défenses externes. Le plus difficile fut de trouver une entrée directe pour l’intérieur du bâtiment, sans actionner les alarmes. Mais à force de chercher, elle le trouva, par les toits, avec une petite pensée. Que personne ne protégeait, jamais, ses saloperies de toits... et qu'une équipe de sniper, même d'élite, ça suffit pas! Enfin bref, le plus facile et toujours de rentrer, par contre ressortir... ça serait une autre affaire. Sadira s’en fichait un peu, il lui fallait atteindre l’ordinateur central, sans se faire repérer. Et pour cela, elle préféra commencer par le poste de sécurité, histoire de désactiver les caméras. Les aérations offrait une bonne couverture à leurs champs de visions, même si elle se sentait un peu à l’étroit dedans.
Une fois cette étape franchie, elle n'eut plus qu’à explorer le complexe, neutraliser les quelques gardiens des forces spéciales. Ce qui lui vaut quand même un tir de blaster dans le dos. Histoire d’être tranquille, pour faire ce qu’elle avait à faire. Mais le hic arrive devant l’ordinateur central... qui n’en était pas vraiment un... en effet la réalité était toute autre… Elle avait affaire à une IA... Soupirante, elle savait qu'effacer les données allait être plus compliqué que prévu. Puis au bout d'un moment une idée lui vint. Vu qu'elle était dans un laboratoire top secret républicain et qui fallait tout détruire... Autant faire ses courses! Et c'est ce que Sadira fit, il ne lui fallut pas longtemps pour trouver de quoi extraire l'IA des serveurs, afin de pouvoir envoyer le virus dévoreur de données ensuite, en toute sécurité dans le réseau du centre de recherche. Ce fut assez simple d'extraire une IA enfermée, sans accès au monde extérieur. Elle se précipita dans sa clef de transport quand Sadira passa la carte magnétique du chef des travaux, pour confirmer l'ordre de son transfert. De là, il lui suffisait juste de ranger celle-ci dans son armure, puis d'enchaîner, par la clef de transport du virus.
Sadira fit une drôle de tête, quand elle comprit ce que voulait dire, effacer toute les recherches... Elle devait aussi s'occuper des scientifiques, et tout le personnel, en s'assurant que sa passe pour un accident... “pas cool”... voilà les seuls mots qui sortent de sa bouche, tandis qu'elle regarde la confirmation de fin de travail du virus. Elle se retourna vers le groupe scientifique, puis le laboratoire et enfin leva les yeux au ciel... pas une bonne idée de désobéir pour sa première mission. C'est à ce moment-là qu'elle se dirige vers ce qui ressemble à un générateur portatif, relié au réseau électrique du laboratoire, sûrement pour l’éteindre en cas d’urgence, et ainsi empêcher de montrer une surconsommation d'énergie de la zone. Enfin pour elle c'était plus une bombe parfaite, juste à bidouiller quelque fil, pour le surcharger ainsi que tous les appareils de la pièce, et vu les hautes technologie de l'endroit le boom allait être sympas.
Mais pour ne prendre aucun risque Sadira préféra chercher également d'autre source d'énergie pour tenter de créer une réaction en chaîne. Ce qu'elle réussit à programmer à l'aide de la centrale électrique du laboratoire. Et de là, elle préféra amplement se mettre à courir, utilisant son chemin d'entrée, au vu de la taille de la bombe, dont elle venait de déclencher, avec son minuteur instable. L'explosion pu se voir à des kilomètres à la ronde... et ressentit sur une centaine de mètres au moins! Heureusement Sadira avait à peine atteint le distance de sécurité quand tout explosa. Elle se réveilla trois jours plus tard, dans une grotte, avec un sacré mal de crâne, visiblement elle s'était traînée là avant de perdre connaissance. Il lui fallait rentrer à présent, sa mission réussit, mais elle avait oublié que l'IA était encore dans son armure. Bien que non connectée à elle, mais effectivement rangée, dans une de ses sacoches. Elle la retrouvera sur le chemin du retour, fronça les sourcils de surprise avant de sourire, avec pour idée en tête, de la faire reprogrammer chez un de ses collègues Ori'Ramikade. Ainsi elle adopta: jate'kara, ou chanceuse, comme elle aime l'appeler. Qui devenue une IA assez autonome, suivant Sadira partout ou elle allait lui permettant de faire beaucoup plus qu'une mandalorienne de combat normal.
Sadira continua, ensuite sa vie, en voguant ou le vent l'entraîne, ainsi que les missions. Elle sera ballottée de groupe en groupe. Sans que ça ne lui déplaise. Effectivement, ce qu'aimait Sadira dans sa nouvelle vie, n'était pas le fait de se battre, mais de rencontrer un nombre conséquent de ses confrères. et d'échanger leurs expériences passées, de vive voix. ainsi que comparé leurs réactions, selon les situations, et ainsi s'améliorer, en les défiants en duel. Ceci, jusqu'à sa dernière mission en date:
Elle est deux autres mandalorien avait pour objectif d'enquêter sur des disparitions d'enfants, se déroulant sur une planète du consortium. Aucun des groupes de mercenaires envoyés, enquêter n’était revenues, disparu eux aussi. Les employeurs avaient donc décidé d'engager parmi les meilleurs. Sadira qui avait entendu parler d'enfant, s'était portée volontaire directement, tout comme les deux autres. L'équipe nouvellement formée était partie à la hâte, au cas où, que les derniers enlèvements deviennent dramatiques... Leurs premier objectif fut de retrouver les mercenaires, ce qui fut plus simple, que seulement chercher les enfants, ce qui fut un sacré coup de pouce. La plupart des groupes mercenaires avaient disparu au même endroit, et la cartographie de la zone signalait de nombreuses grottes dans les environs. Ils n'eurent pas à réfléchir longtemps, avant de partir explorer les galeries souterraines de la montagne.
Le réseau de grottes, tunnels et cavités était gigantesque. Devant courir sur plusieurs kilomètres de long, tout comme en large, ils prirent des heures à tourner et virer dans ce labyrinthe de roche de granite. Avant d’enfin trouver, ce qu'ils n'avaient pas vu avant: une sorte de grande porte, taillée à même la roche montagnarde. Les trois se regardèrent, surpris, visiblement leur agacement avait faillit faire que Sadira tape un de ses camarades, de mission. Après quelque minute, à s’excuser, ils rentrèrent, dans ce qui ressemblait à un temple, et à peine le temps de refermer la porte,que des cris stridents se firent entendre, derrière eux. C'est uniquement après un regard en arrière, qui suivait, un échange de ceci, qu'ils virent la vision d’horreur.
Les... les... les... enfants... tous des monstres. Sadira était tétanisée, à la vu de ses créatures, aux griffe longue de dix centimètre, à la place des doigts, des crocs aiguisés, qui déformé leurs bouches ressemblant, à présent à des mandibules, et des pointes osseuse sortant de leurs dos... Leurs capacités physiques semblaient amplement décuplées par cette transformation... Mais le pire c'est que l'on aurait pu, les croire morts, du fait qu'ils l'apprennent de cadavres. Se déplaçant accroupie en permanence et visiblement affamés. C'est en se rendant compte de ceci, avec un regard, qui passa, de la surprise à la colère, qu'elle dégaina Kad. Prête à sauver leurs âmes et les venger. Mais avant ceci elle devait les tuer, tout, jusqu'aux derniers! Un simple “couvrez moi” suffit à Sadira pour faire comprendre qu'elle gère l’assaut, et qu’il lui fallait un simple appuis feu. C'est en pleurant, de rage, qu'elle élimina les enfants transformés, un par un.
Une fois son massacre fini, elle prit le temps de les honorer, pour les laisser reposer en paix, avant de se diriger vers le fond de la grotte. Psychologiquement? Elle aurait pu frapper un mur à coups de poings jusqu'à ce qu'il se brise. Avec Sadira? il vaut mieux ne pas toucher à des mineurs. car sinon, elle se consumait, elle-même, de colère. Celui qui avait fait ça allait morfler. Sadira avança, dans ce qui ressemblait, à une vieille tombe oubliée, tandis que les autres mandalorien, eux, brûlaient les corps des victimes, préférant la laisser explorer seule, pour l'instant, et sûrement exposer sa rage, vu les jurons et malédictions qu'elle proférée. Sa petite balade ne dura pas plus de dix minutes, avant qu'elle tombe sur une salle de rituel, remplit d'artefact, et de matériel sith. C'est intriguée, qu'elle met en joue, avant de commencer à analyser la pièce, en marchant vers le grimoire posé sur ce qui ressemble à un petit autel. Elle peut à peine lire quelque ligne, arme le long de la cuisse. Ce qui lui était possible grâce aux enseignements actuels de sa mère qui lui enseignait à présent des connaissances plus intellectuelles. Vu aussi que Salky recevait avant ses ordres écrits dans ce langage.
C’est une fois ses quelques lignes lu, qu’une lueur rouge entra dans son champ de vision, elle baissa lentement les yeux, emplis de surprise, sur le sabre laser, qui lui avait perforée l’abdomen à quelque millimètre, à peine de tous les organes vitaux. Elle eut, également, à peine le temps de tomber à genoux, sur le sol froid de la grotte, tout en se tenant la blessure, sous la douleur, qui arriva d'un coup une fois le sabre éteint. Qu'un sith la retourna sur le dos, et venue appuyer de son pied, la main de Sadira, sur la blessure lui faisant lâcher un grognement de douleur. Il la maintenait au sol comme ceci, le temps d'ouvrir son armure, dans le but de la torturer, tentant en vain de la faire hurler, mais elle en rigolait, jurant qu'elle le tuerait. C'est une fois lassé de ne rien avoir en retour de sa torture, que le sith retira son pied, pour l’achever. Sadira, brûlée grièvement à certain endroit et parfois mutilée, le fait tomber d'un coup puissant dans ses jambes, le faisant tomber, avant de lui prendre le cou, et l'immobilise totalement contre elle tout en l'étouffant, d’une jambe. Bien contente que le sabre ne soit plus un danger, malheureusement l'adapte sombre de la force l'éjecte au loin rapidement.
Elle se releva avec difficulté, tira de nouveau Kad de son fourreau en regardant le sith, un petit rire moqueur s'échappant de ses lèvres. Le duel dura peu de temps, à cause de l'état de Sadira qui dû se sûr-ménages pour tenir le coup. Le temps que les autres membres de son groupe, qu'elle avait sifflée, arrive à elle, pour l'aider, ou plutôt lui permettre de vivre. Elle s'effondra rapidement de nouveau au sol, un fois le sith neutralisé, par quelques tirs dans le corps... ou plutôt deux chargeurs entiers, suivi d'une décapitation de la part de Sadira. Elle se réveillera, deux mois plus tard, dans une cuve de bacta.