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Lun 26 Fév - 2:49



Equipement :


Blaster custom "Zenith"
Le Zenith est un pistolet blaster d'une puissance tout à fait commune. Il est unique, tant par son esthétique, que par son nombre d'exemplaire ayant été fabriqué par mes soins lors de mes premières années de chasseur de primes. Un mécanisme passif implanté dans la crosse rendra l'arme inerte pour toute autre personne.

 

Description physique :


Ma stature imposante, mesurant un mètre quatre-vingt, témoigne d'une présence physique bien entretenue, musclée, mais marquée par les cicatrices des nombreux combats de ma carrière. Les vestiges organiques de mon corps sont rares, arborant des cicatrices témoignant d'une vie agitée et de multiples opérations.

Ma chevelure noire, coupée court et coiffée vers l'arrière, encadre un visage marqué par une cicatrice hexagonale sur le front, souvenir de l'implantation de mon implant neuronal. Les implants oculaires dorés confèrent à mes yeux une lueur artificielle perçante, véritables points de reconnaissance. Aux tempes, des mécanismes abritent des lunettes tactiques rétractables, contrôlées par mon implant neuronal. Une mâchoire carrée et prononcée renforce l'expression fermée et sérieuse qui caractérise mon visage. Une barbe bien entretenue, marquée par trois griffures sur une joue, complète mon allure, évoquant des souvenirs de missions dont je préfère ne pas parler.

Le reste de mon corps, majoritairement cybernétique, s'aligne parfaitement avec la silhouette humaine, grâce à des prothèses qui simulent efficacement la musculature d'un homme. Mes bras cybernétiques confèrent à mes épaules une largeur imposante. Une particularité appréciable est que mes mains cybernétiques, habilement dissimulées sous des manches longues, donnent l'illusion d'une musculature osseuse apparente.

Côté vestimentaire, je privilégie des tenues sobres et noires. Bottes tactiques, treillis commun, haut thermique noir remontant en col roulé composent généralement mon attirail. Les vêtements longs sont privilégiés pour dissimuler mes prothèses, une vieille habitude héritée d'une époque où je devais rester une ombre. Le manteau noir, tombant quasiment jusqu'au genou, devient l'élément distinctif de ma garde-robe. Outre son aspect esthétique, il dissimule astucieusement de l'équipement, notamment mon holster sur la jambe gauche.

En résumé, mon apparence tactique et discrète réussit à concilier l'élégance nécessaire aux codes sociaux avec la fonctionnalité exigée par mon mode de vie. Un équilibre subtil entre le monde du combat et celui de la discrétion.

   

Description mentale :


Mon parcours a façonné ma psychologie d'une manière complexe. Les premières années ont instillé en moi un profond sens du devoir envers mes proches. Les protéger a été le fondement de ma morale, créant un lien indéfectible entre la responsabilité et la sécurité de ceux que j'aime. Des événements douloureux ont introduit une dualité en moi, marquant ma psyché de manière profonde. La recherche de justice personnelle a teinté ma morale d'une nuance sombre, tandis que mes expériences en tant que chasseur de primes ont laissé des traces de violence qui ont laissé leur empreinte sur ma conscience. La transition vers une vie plus paisible a été marquée par une tentative d'équilibre entre le besoin d'une existence tranquille et le désir de contribuer positivement à la société. Mon code moral s'est développé consciemment, ciblant des individus que je considère comme néfastes pour la communauté. Mon désir croissant d'influence et de légitimité révèle une quête de reconnaissance sociale et un désir de jouer un rôle significatif.

Lorsque je fais face aux péripéties de la vie, mon attitude prend souvent une teinte cynique, accompagnée d'une pointe de sarcasme. Les vicissitudes de mon passé ont forgé en moi une certaine distance vis-à-vis des événements, un mécanisme de défense peut-être, ou simplement une manière de ne pas laisser les circonstances m'engloutir. Mon cynisme transparaît dans mes observations acerbes sur la nature des individus et les méandres de la galaxie. La confiance n'est pas une monnaie que je distribue légèrement, et mon sarcasme devient parfois un bouclier derrière lequel je me retranche pour dissimuler des émotions plus profondes. Cette distance n'est pas un signe de désintérêt, mais plutôt une stratégie d'auto-préservation. Les expériences passées m'ont appris à ne pas m'attacher facilement, à maintenir un détachement prudent pour éviter d'être vulnérable aux fluctuations de la vie.

En somme, ma psychologie est le produit d'une évolution complexe, oscillant entre la protection des proches, la recherche de justice personnelle et le désir de contribuer positivement à la société. Ma morale est un tableau nuancé, façonné par les circonstances de ma vie. mon approche distante des situations est à la fois une armure et une manière de composer avec un univers imprévisible. Mon cynisme, mon sarcasme, et ma distance sont des facettes de ma personnalité forgées par les épreuves, des outils que j'utilise pour naviguer dans un monde où la confiance peut être une monnaie rare et précieuse.

Parlons-en de ce monde ! Nous vivons une période à la fois étrange et fascinante. La galaxie a toujours été un vaste champ de bataille, et je suis persuadé que les siècles de paix ont simplement dissimulé les préparatifs des prochains conflits d'ampleur. Certaines puissances persistent, qu'elles soient ressuscitées ou construites sur les cendres d'autres.

La République, c'est comme cette personne téméraire qui, malgré les critiques incessantes, les défaites répétées et les moments où elle semble à genoux, trouve toujours la force de se relever pour retrouver sa grandeur passée. Elle incarne la résilience, la capacité à surmonter les épreuves, et on ne peut que la respecter pour cela. Si elle n'avait pas accompli toutes ses prouesses par le passé, il est plausible que nous serions aujourd'hui soit morts, soit réduits en esclavage. Cependant, ce cycle de triomphes et de défaites souligne une réalité incontournable : l'idée d'un monde en paix, où chaque individu est égal et libre, reste un rêve difficile à concrétiser. Même à une échelle plus restreinte, que ce soit au niveau planétaire ou au sein d'une ville, les défis sont nombreux et les institutions censées apporter la justice peuvent être submergées, voire incompétentes. En extrapolant cela à une échelle astronomique, la perspective d'une République galactique devient une utopie, un symbole puissant, mais aussi une vision difficilement réalisable. Malgré ses succès passés, elle demeure un rêve, une aspiration noble, mais peut-être pas un avenir concret. Il reste à espérer que l'Histoire ne répète pas les erreurs du passé, et que la grande armée de la République ne se retourne pas contre elle-même, et ultimement, contre nous tous.

L'Empire, c'est un véritable mystère, une énigme à part entière. Militairement parlant, il possède tous les éléments nécessaires pour écraser la Galaxie tout entière. Des vaisseaux de guerre redoutables, des troupes bien entraînées et loyales, une population presque endoctrinée dès la naissance. Pourtant, malgré cette puissance apparente, l'Empire semble se contenter de déplacer quelques pions sans réellement passer à l'offensive. Il est évident qu'une raison les retient d'agir de manière plus agressive, et cela suscite en moi une certaine inquiétude. Plus les impériaux patientent, plus il devient difficile de leur faire face. Cette retenue apparente dissimule peut-être une menace latente, prête à éclater à tout moment.

Le Consortium Éternel, selon moi, représente probablement le régime galactique le plus redoutable de notre époque. Je le considère comme l'ennemi numéro un, une force qui ne cherche rien d'autre que le Pouvoir et la Domination, motivée par le Côté Obscur. Leur détermination les rend particulièrement dangereux. Bien que ma propre moralité puisse être discutable, je me sens presque vertueux en comparaison. C'est une histoire tragique, comme chaque fois que les Siths s'immiscent dans les affaires. Malheureusement, il semble que nous soyons impuissants à les aider, sinon en nous assurant que le Côté Obscur disparaisse pour de bon. Les jeux de pouvoir entre l'Empire, la République, les Mandaloriens, et même APEX, peuvent sembler insignifiants en comparaison. Contre le Consortium, nous devrions, malgré nous, nous unir et éliminer cette menace Sith.

Il me semble avoir entendu dire qu'un jour, quelque part, la guerre ne meurt jamais. Qui aurait pu être assez perspicace pour inventer une telle expression ? Autant que je m'en souvienne, le monde dans lequel nous vivons a toujours été en proie à la guerre, seule la dimension de celle-ci a évolué. Aujourd'hui, nous parlons de Guerre Totale. Les origines de ce conflit colossal me semblent si lointaines et embrouillées que je peine à me rappeler comment tout a commencé, qui en était à l'initiative et pourquoi. La prospérité d'antan semble n'être qu'une illusion soigneusement construite. À mon niveau, il est difficile de comprendre toute l'étendue des enjeux d'une guerre aussi démesurée. Cela a certes créé des opportunités pour des individus de mon genre, mais je me demande parfois si ces factions se souviennent encore des motifs qui ont déclenché ce conflit. Ne serait-ce pas, au fond, une guerre par procuration entre les Jedis et les Siths, ces guerriers aux sabres laser capables de persuader, manipuler, tuer, de faire tomber des vaisseaux de guerre du ciel par la simple force de leur volonté ? Les véritables coupables de ce bain de sang depuis la nuit des temps ? À leurs yeux, je ne suis qu'une particule, et je peine à comprendre la portée de tout ce qu'ils représentent et peuvent accomplir. Néanmoins, je suis convaincu qu'ils incarnent ce que le commun appelle le Bien et le Mal, chacun persuadé d'incarner le Bien tandis que son adversaire représente le Mal. Tout n'est qu'une question de point de vue, et pour moi, ces êtres sont peut-être les responsables de tous nos problèmes, des illuminés qui se croient investis d'une mission divine.

Ce qui m'amène aux Mandaloriens. À mes yeux, ils sont les véritables maîtres de la Galaxie. On se met rarement à tabasser une personne à plusieurs si celle-ci est incapable de faire saigner ses adversaires. L'Histoire a montré qu'ils étaient des guerriers puissants et redoutables, surtout pour ceux sensibles à la Force. Et si autant d'empires et autres puissances majeures ont voulu les éradiquer à plusieurs reprises, je doute que cela soit juste pour les mondes Mandaloriens. Je porte un profond respect envers leur histoire et leur culture, et j'espère un jour prendre le temps d'explorer ces mondes et de rencontrer ces guerriers hors du commun.

Enfin, pour ce qui est d'APEX, disons que ce coin de la galaxie est ma maison depuis assez longtemps pour que je puisse oublier que je suis d'ailleurs. Ayant appris le sens du travail rapidement via mes parents et plus tard à gagner mon dû sans jamais baisser les bras, le principe de méritocratie est ce qui me semblait le plus correspondre à mes valeurs. Tu souhaites évoluer ? Prouve que tu en es capable, mérite-le. Les règles de ces mondes se comptent aisément sur les doigts, cela peut avoir des conséquences dangereuses sur le quotidien mais, n’est-ce pas plaisant de pouvoir faire ce que bon nous semble pour gagner sa vie, du moment que tout ce que tu fais rentre dans le peu de cases exigées ? J’ai beau être entouré par des individus tous plus étranges et dangereux les uns que les autres, je me sens en sécurité et chez moi. C’est curieux et ironique, de voir qu’avec une poignée de règles et beaucoup de bon sens, nous pouvons créer une Nation à peu près fonctionnelle et prospère. Je suis curieux de voir l'impact que la situation galactique va avoir à terme sur APEX. Chaque camp est déterminé à écraser l'autre et pour l'instant, nous, héritiers de l'espace Hutt, regardons cela comme n'importe quelle autre banalité dans les médias. Arrivera un jour où ma patrie devra faire un choix et je saurai répondre présent, d'une manière ou d'une autre.



         

Histoire :



I. Learn to Fly

Je suis né sur Ord Mantell, de parents contrebandiers chevronnés. Dans ma prime jeunesse, je les accompagnais à travers la galaxie. La nécessité de rester à bord était impérative pour mes parents, qui étaient déterminés à me protéger des dangers inhérents à leurs activités. La galaxie était un lieu imprévisible, et le vaisseau familial était le sanctuaire où ils pouvaient garantir ma sécurité. Amoureux de leur planète d'origine, nous faisions régulièrement escale vers ce que nous appelions notre port d'attache. La présence impériale rendait ces séjours paradoxales: cela n'entravait pas seulement nos activités illégales, elle les rendait plus audacieuses et lucratives. Beaucoup avaient peur des représailles du régime en place, ce qui nous laissait davantage de contrats à disposition et une meilleure marge de négociation.

Ce paradoxe nous fut favorable pendant quelques années, jusqu'à ce qu'un officier impérial décide d'être plus rigoureux dans le contrôle de nos allers-retours fréquents. Cet officier avait compris la nature de nos activités, nous laissant avec deux options : nous faire immédiatement arrêter ou accepter de poursuivre nos activités en versant soixante pour cent de nos revenus à cet individu. Il était clair que cet officier était plus intéressé par l'argent que par sa loyauté envers l'Empire. Ainsi, mes parents ont accepté de reverser cette somme importante, supposant que ma vie serait plus facile sans que je sois le fils de deux contrebandiers recherchés, ou pire, emprisonnés, voire morts. Nous avions désormais une affiliation locale à une société impériale fantôme spécialisée dans le fret. Cela nous a permis de nous affranchir de quelques contrôles, du moins d'en avoir de moins rigoureux. A quel prix..

Même confiné à l'intérieur du vaisseau, je développais mes compétences en ingénierie en observant attentivement les réparations et modifications que mes parents effectuaient. Mon éducation ne se limita pas seulement aux enseignements pratiques de mes parents, mais fut également enrichie par ma curiosité innée. La technologie du vaisseau spatial familial devint mon terrain de jeu, stimulant ma soif de compréhension des mécanismes complexes qui propulsaient notre vie itinérante. J'étais fasciné aussi par ce que j'appelais le "monde extérieur", cette vaste étendue au-delà des vitres du cockpit qui s'étendait à l'infini. Peu après mes huit ans, mon désir d'exploration dépassa les limites du vaisseau. Il m'arrivait fréquemment de m'éclipser clandestinement pour découvrir les environs avant que mes parents ne reprennent leur voyage. Les escapades furtives que je menais finirent par éveiller les soupçons de mes parents, qui comprirent rapidement ce que je faisais. Conscients des dangers inhérents à notre mode de vie, ils prirent la décision pragmatique de canaliser mon énergie et ma curiosité en me mettant au travail à bord car bien que désireux de me protéger, mes parents ne voulaient pas entraver mon développement. Ils me confièrent des tâches simples et sûres, me permettant de contribuer aux opérations du vaisseau tout en garantissant ma sécurité. J'appris ainsi les rudiments de la maintenance et de la gestion du vaisseau, mettant à profit mes compétences en ingénierie.

À mesure que je découvrais ce monde extérieur, une réflexion intérieure émergeait, mettant sommairement en cause la surprotection de mes parents. Leurs précautions, bien intentionnées, semblaient parfois étouffer ma croissance personnelle. Je commençais à remettre en question la nécessité constante d'être confiné à bord du vaisseau. Progressivement, mes parents, conscients de ma croissance, me laissèrent explorer le monde extérieur avec une liberté nouvelle. Des virées solitaires dans les ruelles animées des villes, des soirées à découvrir les recoins les plus secrets des planètes visitées, et des rencontres qui élargissaient mes horizons jusque-là limités.

Cependant, cette nouvelle liberté ne s'accompagnait pas sans heurts. Le lien social était pour moi un territoire inexploré, car mes parents avaient toujours été mes seuls compagnons. Les relations avec mes pairs étaient souvent maladroites, teintées d'une certaine méfiance acquise au fil des années de surprotection parentale. Les conversations étaient parfois hésitantes, les interactions sociales semblaient étranges, et il m'était difficile de me fondre dans la toile complexe des relations


II. All Along the Watchtower

Le cours de ma vie bascula à l'âge de dix-sept ans, lorsque mes parents trouvèrent la mort dans des circonstances étranges. Une mission de contrebande qui avait mal tourné, un piège tendu par des rivaux, les détails étaient flous, mais l'issue claire. Gravement blessé, laissé pour mort dans les débris de notre vaisseau sur Sleheyron, je fus miraculeusement découvert par un groupe attiré par le crash, qui me recueillit. Mon corps portait les stigmates de l'agonie, la majorité de mes membres gravement touchés, laissant présager une convalescence longue, difficile et peut être improbable. Le groupe ayant accès à des connaissances en chirurgie et en cybernétique, décida alors de prendre des mesures radicales pour me sauver la vie. Mes jambes, mes bras et organes vitaux endommagés furent remplacés par des augmentations cybernétiques rudimentaires, fusionnant la chair et la machine pour me redonner une chance de vivre.
A la fois sous le choc d’apprendre la mort de mes parents et reconnaissant envers mes bienfaiteurs, je me retrouvai redevable de ma vie. Ils imposèrent un accord strict : je devais travailler pour eux jusqu'à ce que ma dette soit payée. Mon existence, désormais marquée par des parties de moi-même issues de la technologie cybernétique, était entre les mains de ceux qui m'avaient arraché des griffes de la mort. Ainsi débuta ma nouvelle vie, façonnée par la dette, la technologie, et la volonté de me racheter aux yeux de ceux qui m'avaient offert une seconde chance.

Les premiers temps avec mes nouvelles prothèses cybernétiques furent ardus. L'adaptation à ces membres artificiels demandait patience et persévérance. Le groupe qui m'avait sauvé, conscient de mes limites, m'assigna à des tâches de bas niveau, entretenir machines et vaisseaux au quotidien. Cela me permettait de garder un niveau de compétence, tout en me familiarisant avec ma nouvelle condition.
La flamme de la vengeance ne cessait de brûler en moi. Ayant acquis une certaine maîtrise de mes augmentations, je réclamai la chance de m'impliquer davantage, de prouver ma valeur au sein du groupe. Les travaux de bas niveau ne suffisaient plus, je voulais m'immerger dans des missions complexes et dangereuses, aux côtés de mes bienfaiteurs ainsi qu’affirmer ma détermination à traquer ceux responsables de la mort de mes parents.

C'est ainsi que je découvris le sentiment d'avoir entre les mains une arme, une puissance nouvelle. L'entraînement au tir devint une obsession, marqué par des gestes maladroits et une précision incertaine au départ. Mais au fil des mois, chaque mission devint une occasion d'affiner ces compétences, de mieux maîtriser mes prothèses et apprendre les subtilités du maniement d'un blaster. Les missions plus périlleuses, que j'accomplissais aux côtés du groupe, devenaient aussi des opportunités de parfaire mes connaissances du monde, de comprendre les subtilités particulières de la contrebande et de la chasse aux primes.

Au fil des mois et des années, mon habileté avec mes prothèses cybernétiques et mon maniement du blaster s'affinèrent, faisant de moi un élément indispensable de l'équipe. Ma détermination à venger mes parents restait inébranlable, mais désormais, elle s'accompagnait d'une expertise grandissante. L'univers où la frontière entre l'homme et la machine devenait floue n'était plus un mystère pour moi. Je me forgeais une réputation dans ces cercles clandestins, combinant ma soif de justice personnelle à une maîtrise croissante des outils technologiques qui avaient sauvé ma vie. Chaque mission me rapprochait de l'objectif ultime : découvrir la vérité derrière la mort de mes parents et infliger une justice implacable à ceux qui en étaient responsables.


III. Killing Strangers

À l'âge de vingt-six ans, après des années d'efforts et de missions risquées, j'avais finalement réussi à payer l'intégralité de ma dette envers le groupe qui m'avait sauvé la vie. Cette dette, qui avait débuté comme un fardeau, s'était transformée au fil du temps en liens indéfectibles. Le groupe était devenu ma famille, détraquée mais sincère, et nos années passées ensemble avaient tissé des liens que le simple remboursement d'une dette ne pouvait dissoudre. Cependant, avec l'intégralité de ma dette acquittée, je sentais le besoin de prendre mon envol. Ma vendetta personnelle, bien que partagée par le groupe qui m'avait mentoré, devenait une quête plus personnelle. Pour préserver la main de ceux qui m'avaient élevé, je décidai de poursuivre ma traque en solitaire. Profitant de l'aura et de la réputation forgées au sein du groupe, je me lançai dans mes premiers boulots en solo. Sous couvert d'activités illégales, chaque mission était une opportunité pour moi de poursuivre ma quête de vérité, d'aiguiser mon savoir-faire et d'améliorer mon équipement. Mes anciens mentors devenaient mes alliés tacites, me fournissant les contacts et les opportunités nécessaires tout en ignorant parfois la véritable nature de mes desseins. Je portais sur mes épaules non seulement la mémoire de mes parents, mais aussi les enseignements et les liens qui m'avaient été offerts par ce groupe singulier. Mon chemin était tracé par la quête de justice, ainsi que par une loyauté indéfectible envers ceux qui m'avaient donné une seconde chance. Chaque jour était une avancée vers la vérité et la rétribution.

Je trouvai domicile sur Nar Shaddaa, la lune des contrebandiers. Mon appartement, une combinaison de vieilleries et de modernité, reflétait l'intersection entre mon passé et le monde qui m'entourait. Grâce aux enseignements de mes mentors, les opportunités de travail étaient régulières, relativement aisées et bien rémunérées.
Un bar non loin de mon domicile devint ma station hebdomadaire, un lieu où les rumeurs circulaient aussi facilement que les boissons. En tendant l'oreille, je pouvais obtenir certains noms, parfois de nouveaux clients, et surtout, comprendre les méandres de l'environnement dans lequel j'avais élu domicile. Je devins rapidement un habitué des lieux, une présence silencieuse que personne ne prétendait vraiment voir. Les contacts informels que je tissais dans l'ombre du bar ajoutaient une dimension supplémentaire à mes activités, élargissant mon réseau d'informations et de clients potentiels.

J'en apprenais aussi davantage sur APEX, la faction tenant tous les anciens systèmes Hutt, façonnée par le chaos et la méritocratie. Une organisation où seuls les compétents et les déterminés trouvaient leur place. J'ai senti une certaine liberté dans cette neutralité affichée, une opportunité de mettre à profit mes compétences sans être entravé par des loyautés politiques. La promesse d'une existence sans les entraves du passé. Je comprenais mieux la raison poussant mes anciens camarades à rester dans ce coin de la galaxie, cette politique était parfaite. Le vent tournait donc en ma faveur, un nouveau départ au sein d'Apex, où je pourrais mettre à profit mes compétences. Une chance de prospérer dans le désordre organisé et poursuivre ma chasse personnelle sans trop attirer l'attention.

Au fil des mois, la routine des contrats avait transformé mon existence en une série ininterrompue de défis mortels. La vue du sang et l'acte d'ôter la vie ne me répugnaient plus ; au contraire, ils devenaient des stimuli, une part intégrante de ma nouvelle réalité. Cependant, quelque chose en moi avait évolué. Mes motivations ne résidaient plus simplement dans le remboursement d'une dette ou la poursuite de ma vendetta personnelle. Désormais, je me considérais comme une force de justice, une lame tranchante dirigée vers ceux qui ne méritaient pas de continuer à souiller la galaxie.
Je choisis soigneusement mes contrats, décidant de n'éliminer que ceux que ma morale jugeait indigne de vivre. Les criminels, les profiteurs, tous ceux qui abusaient du pouvoir pour opprimer les faibles se trouvaient sur ma liste. Mon travail illégal devenait une forme de justice personnelle, un moyen de redresser les torts d'une galaxie corrompue.
Avec les récompenses gagnées "honnêtement", je m'efforçais d'améliorer mon corps. Les prothèses simples évoluèrent rapidement vers des augmentations cybernétiques de niveau militaire, renforçant ma force, ma vitesse et ma résistance. Chaque amélioration était un investissement dans ma survie et dans ma capacité à poursuivre ma quête avec une efficacité toujours accrue. Mon corps, désormais un mélange complexe de chair et de technologie, était devenu l'instrument de ma justice personnelle, une arme prête à châtier ceux qui avaient trahi les principes moraux que je m'étais fixés.

Trois années s'écoulèrent, marquées par une traque incessante qui me rapprochait irrémédiablement d'un groupuscule d'anciens rivaux que mes parents avaient apparemment abandonnés lors de ma naissance. La découverte de cette connexion ajouta une dimension choquante à ma réalité déjà tourmentée. Mes parents étaient morts non pas en dépit de moi, mais à cause de moi.

Cette révélation m'assaillit comme une tempête intérieure, faisant naître en moi un tumulte d'émotions contradictoires. Le poids de la culpabilité et de la trahison s'ajouta aux flammes vengeresses. Mes parents, jadis des contrebandiers endurcis, avaient laissé derrière eux des ennemis qui semblaient avoir patiemment attendu leur revanche.

La traque approchait enfin de son terme. Pendant des mois, j'avais exercé une pression implacable sur les meurtriers de mes parents, traquant et isolant chaque membre du groupuscule. Chaque nouvelle victime présentait un défi plus grand, mais ma détermination à les voir payer pour leurs crimes ne faiblissait pas. Lorsqu'il ne resta plus qu'un seul individu, le leader de ce groupe malfaisant, je savourai chaque moment de sa longue agonie. Autrefois puissant et arrogant, cette ordure m’ayant tout prit se trouva réduit à implorer la pitié et le pardon. Dans ses yeux, je lisais la terreur et le désespoir, une reconnaissance tardive de la destinée implacable qui le frappait.

Puis, le néant. Lorsque le dernier souffle quitta le corps du leader, un mélange étrange de sentiments s'empara de mon esprit. La victoire, longtemps recherchée, se mêlait étrangement à une mélancolie profonde. La traque était terminée, dix ans passés à parcourir la galaxie en quête de vengeance touchaient enfin à leur fin. La réalité de cette victoire était lourde de significations. Ma quête personnelle, qui avait guidé chacun de mes pas, trouvait maintenant sa conclusion. La justice, du moins telle que je la concevais, était rendue. Mes parents étaient vengés, et le groupe responsable de leur mort avait été anéanti. La mélancolie n'était pas simplement le deuil des années perdues dans la poursuite de la vengeance, mais aussi la réalisation que cette quête avait défini ma vie pendant une décennie entière. Avec le leader gisant sans vie devant moi, je ressentis un écho d'émotion complexe, un adieu silencieux à la mission qui avait défini mon existence. Mon esprit était tiraillé entre le triomphe et la perte, un équilibre fragile entre la fin d'une ère et la promesse d'un nouveau chapitre, laissant dans son sillage un vide qui demandait à être comblé.


IV. Heathens

De retour sur Nar Shaddaa, les journées passèrent sans saveur ni sens. La victoire amère sur mes ennemis avait laissé un vide, une absence de but. Les ruelles familières qui avaient été le théâtre de ma traque semblaient désormais dénuées de toute signification.

Un soir, alors que je me trouvais dans mon bar habituel, les bruits étouffés de la vie nocturne m'environnaient, et c'est là que l'éclair de la vérité me frappa. Je me souvins de ce que j'aimais faire avant de devenir une arme de vengeance, avant que ma vie ne soit définie par le meurtre. L'étincelle de la passion que j'avais autrefois pour les machines, les vaisseaux spatiaux, et les engins mécaniques jaillit à nouveau dans mon esprit.

C'est ainsi qu'une occasion se présenta : un petit hangar que je décidai de consacrer à l'entretien des vaisseaux. Ouvrir mon propre garage n'était pas seulement un nouveau départ, c'était une manière de tirer un trait sur ma vie sanguinaire. J'utiliserais les compétences que j'avais acquises avant que la violence ne devienne mon quotidien. Mon garage devint un sanctuaire, un lieu où je pouvais canaliser mes connaissances en ingénierie et en mécanique spatiale vers quelque chose de constructif, loin des ombres du passé qui continuaient de me hanter. En faisant revivre cette passion oubliée, j'aspirais à trouver un sens nouveau dans cette vie qui, un soir, avait changé pour toujours.

Les années s'écoulèrent paisiblement, façonnant une nouvelle existence pour moi. À l'âge de trente-deux ans, la routine du hangar était devenue ma réalité, et cette vie plus calme, plus simple, semblait me convenir. Chaque journée avait un sens clair, éloigné des méandres sombres de ma période de chasseur de primes impitoyable. Seuls mon blaster et les augmentations cybernétiques qui marquaient encore mon corps me rappelaient régulièrement le chemin que j'avais parcouru. Ces vestiges du passé étaient comme des cicatrices visibles, témoignant des épreuves qui avaient forgé l'homme que j'étais devenu.

Pourtant, malgré ma retraite apparente, d'anciens clients et connaissances ressurgissaient parfois. Ils semblaient hésiter entre la conviction que j'avais vraiment tourné la page de ma vie violente et l'idée persistante que tout cela n'était qu'une habile couverture. Mon nouveau métier, ce quotidien, pouvait être perçu comme une façade, une opportunité pour eux de s'assurer que je n'avais pas abandonné totalement mon ancien métier de chasseur de primes. Ces visites m'offraient aussi l'occasion de rester informé, les registres des machines entretenues devenant une source subtile d'informations et de contacts dans cet univers où le passé ne me laissait pas tout à fait partir. Mon hangar était devenu un lieu d'équilibre fragile entre le passé et le présent.

Un jour, une femme entra dans mon hangar. Son allure était imposante, une assurance teintée d'une aura mystérieuse. Ses cheveux d'un roux magnifique tombaient autour de son visage, encadrant des yeux d'un vert perçant qui semblaient capable de sonder l'âme. Son visage était sculpté avec des traits forts, mêlant une beauté séduisante à une détermination indomptable. Elle portait une armure légère d'un blanc impeccable, un contraste saisissant avec l'environnement métallique et brut du hangar. Sa silhouette athlétique et gracieuse exprimait une puissance calculée, chaque mouvement révélant une confiance en soi assumée.

Il était évident qu'elle ne se trouvait pas ici pour une simple tâche sur son cargo. Elle se présenta comme étant Jill, membre de ce groupe qui m'avait autrefois sauvé la vie. L'atmosphère dans le hangar devint plus dense, chargée de souvenirs. Jill exposa la raison de sa visite: le groupe avait une requête, une mission spécifique, et ils imaginaient que j'accepterais, compte tenu de notre passé commun. Son discours était habile, mêlant la familiarité des souvenirs partagés à l'urgence de la nouvelle mission. Pourtant, je refusai une première fois, justifiant que j'avais clos ce chapitre de ma vie et que je destinai la suite à quelque chose de plus simple, loin du crime et de mes pulsions meurtrières. La femme insista, son regard portant le poids d'une vérité difficile à ignorer. Elle révéla que le mentor qui m'avait tout appris autrefois avait été tué par un trio dissident, qu'ils se cachaient désormais sur Klatooine et que mes frères réclamaient justice. L'homme qui m'avait guidé, formé, et façonné, mort par ses propres frères de sang. L'idée de laisser impunis ces traîtres résonna en moi comme une discordance insupportable.

La conviction de Jill s'enracinait dans la vengeance pour un homme que nous avions tous deux considéré comme un mentor. Les liens du passé se révélaient plus forts que mes vœux de tranquillité. Après un moment de silence, je consentis, poussé par un devoir de loyauté envers celui qui m'avait tout enseigné. Je récupérai mon équipement, ressentant le poids familier de mon blaster contre ma cuisse. Suivant Jill dans l'inconnu, je me préparais mentalement à replonger dans une quête de vengeance, acceptant ainsi de rouvrir temporairement un chapitre que je croyais fermé à jamais.

Le retour au Bastion était étrange, oscillant entre le plaisir de retrouver les siens et une profonde peine palpable dans chaque regard. Le trio de commandement temporaire me salua sommairement, puis me briefa sur la situation. Les traîtres se retrouvaient retranchés dans une planque sur Klatooine, lourdement défendue par des systèmes majoritairement automatisés et quelques mercenaires fraîchement engagés. Un assaut direct serait suicidaire. C'est là que Jill et moi entrions en jeu. Fort de nos compétences complémentaires, l'infiltration de la forteresse était notre mission. Jill utiliserait ses talents de tireuse d'élite pour diriger habilement mes mouvements et éliminer les menaces, pendant que je devais me faufiler entre les défenses pour en désactiver un maximum. Le reste de la force ferait diversion, prêt à intervenir dès que le gros des défenses automatisées serait désactivé. L'opération était prévue pour le lendemain à l'aube. Il me restait seulement quelques heures pour me préparer à replonger dans le sang, à affronter une réalité que je pensais avoir laissée derrière moi.

Le lendemain, l'infiltration puis l'assaut se déroulèrent sans accroc. Jill excellait dans le rôle prévu, un sentiment de sécurité particulièrement agréable compte tenu que mes compétences de combat avaient perdu en expertise avec le temps. De mon côté, j'étais le coup inattendu, glissant comme une ombre à travers les défenses ennemies, élimant aussi quelques sbires sur mon chemin. La sécurité fut rapidement désactivée et le trio rapidement localisé, capturé puis sommairement exécuté. Leur forteresse fut ensuite pillée puis réduite en décombres. Dans ce déroulement calculé, je retrouvai le professionnalisme du groupe que j'avais apprécié autrefois. Malgré le succès de la mission, un voile de regret obscurcissait la victoire. Les cadavres jonchant le sol, les vies que j'avais ôtées, résonnaient comme une mélodie sinistre dans ma conscience. Mes vieux démons se délectaient de ce retour à la violence. La journée avait connu sa victoire, mais elle avait également réveillé des pulsions que je croyais enterrées. Le prix de la vengeance était lourd, et même dans le triomphe, une part de moi regrettait d'avoir embrassé à nouveau ce côté sombre de ma nature.

Je participai à la cérémonie en l'honneur du chef décédé, célébrant son départ vers l'au-delà selon les traditions du groupe. Pendant la cérémonie, l'idée de revenir au sein de cette famille fut évoquée. Une part de moi ressentait cette nostalgie, ce manque de liens profonds que seul ce groupe particulier pouvait offrir. Mais une voix intérieure rappelait les raisons pour lesquelles j'avais choisi de m'éloigner. La vie loin de ce désordre permanent représentait une barrière essentielle pour empêcher mes pulsions meurtrières de ressurgir à nouveau. Le dilemme entre la chaleur des liens familiaux et la nécessité de préserver ma propre paix intérieure persistait, créant une tension intérieure difficile à ignorer. La cérémonie marquait un point de transition, laissant le choix entre deux mondes, chacun portant ses propres fardeaux et récompenses.

J'avais pris la décision de rentrer chez moi sur Nar Shaddaa, et Jill m'avait offert de me ramener. Le voyage avait duré quelques heures, pendant lesquelles nous avions échangé profondément sur ce qui venait de se passer et sur ce qui pouvait advenir. Je percevais un regret dans la voix de ma partenaire, une nuance peu familière de sa personnalité. En arrivant à bon port, Jill m'offrait pour la dernière fois la possibilité de rentrer avec elle. Un geste touchant que je refusai à nouveau. La déception dans son regard puis un sourire, aboutirent par un baiser sur ma joue ainsi qu'un message simple, la porte serait toujours ouverte pour moi. La tireuse d'élite reparti aussitôt.


V. Creep

Les dernières années se sont ainsi écoulées pour moi. Le quotidien tranquille de la mécanique spatiale, une modeste existence sans bain de sang. Ce boulot permettait de jouer une infime part dans le système d'APEX, il est vrai que la majorité de ma vie avait peu apporté à ce système jusqu'ici. Une partie de moi appréciait cette tranquillité retrouvée, du moins c'est ce que je me disais. Au fond, la nostalgie de me rendre utile, de faire ma justice, de démanteler des groupes, me manquait. Mon bref retour au travers de l'attaque de Klatooine n'avait fait que stimuler cette partie de moi endormie depuis des années. Je maintenais mes contacts dans le monde de la contrebande et du crime. Nar Shaddaa était, après tout, loin d'être un coin paisible. Je préférais rester vigilant, m'assurer que personne ne me tenait rigueur. J'avais tout de même tué beaucoup d'individus pendant mes années de traques.

Des passages réguliers à ce fameux bar d'une autre vie, des relations entretenues avec une ancienne clientèle regrettant mon absence. C'était la seule véritable manière de vivre que j'avais connue. Peut-être que ce quotidien apaisant n'était qu'une passion à la fois utile et nostalgique de mes parents. Mes doutes me faisaient songer à revoir mon avenir, tel que je l'avais entrevu après ma vengeance personnelle. La question de savoir si cette tranquillité était véritablement ce que je voulais me hantait de plus en plus.

Je savais que la proposition de mes frères, mise en œuvre à travers les derniers mots de Jill il y a quelques années, devait toujours être d'actualité. L'envie était tentante, mais je désirais quelque chose de plus grand, plus ambitieux, et surtout plus enclin à s'intégrer dans les rouages du pseudo-gouvernement qui gérait Nar-Shaddaa. Une activité qui légitimerait davantage mes actions souvent proches de la limite, où mes compétences et augmentations seraient véritablement utiles.

Le dilemme persistait entre retourner à l'action directe, aux combats et à la chasse aux primes, et embrasser une voie plus subtile, une influence indirecte dans les affaires galactique. Le désir de jouer un rôle significatif dans les mécanismes d'APEX grandissaient, alimentant une quête de légitimité au-delà des simples contrats clandestins. C'était le début d'une réflexion sur la manière de réorienter ma vie vers quelque chose de plus grand, tout en restant fidèle à ma morale qui avait toujours guidé mes actions.




Derriere l'écran :



Prénom/pseudo : Guillaume

Age : 28ans le mois dernier, quasiment jour pour jour d'ailleurs.

Comment avez vous découvert le forum ? : Une recherche google à vrai dire ! Et trouvé dans les premiers résultats

Petit Plus ? : Eh bien, bonjour ?  Very Happy Cela fait clairement une éternité que je n'ai pas écris de RP,  je suis vraiment rouillé  Razz Fan absolu de Jurassic Park, amateur de SF, d'Escalade, de Guinness (L'Irlande c'est top, sauf quand on joue contre eux au Rugby..) et geek à mes temps perdus. Peut être reconnaîtrez-vous toutes mes inspirations d'ailleurs ! J'ai pu écrire sur des forums Stargate, Mass Effect et Terra Nova (petit ange de Spielberg parti trop tôt), il y a longtemps encore une fois.


Dernière édition par Arcturus Adama le Lun 4 Mar - 14:55, édité 5 fois
Arcturus Adama
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Fenn Vrei
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Lun 26 Fév - 23:05
Hop là !

Double post pour prévenir que ce premier jet est terminé, vu l'heure à laquelle je l'ai posté, je préférai vérifier ! Prêt à recevoir la sentence !
Arsenicia Ombrelune
Arsenicia Ombrelune
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Maître de l'Ordre
AdministratriceMaître de l'Ordre

Arcturus Adama Empty Re: Arcturus Adama

Mar 27 Fév - 1:51
Salut à toi et bienvenue Smile Si tu n'es pas déjà sur le Discord, tu es le bienvenue pour papoter !
On regarde ta fiche le plus rapidement possible !


Arcturus Adama Signau11
Arsenicia parle en #00ffff - Fiche de suivi - Predef : Arya Lÿrargent
Vhell Kanata
Vhell Kanata
Administratrice
Verd'ika
AdministratriceVerd'ika

Arcturus Adama Empty Re: Arcturus Adama

Ven 1 Mar - 15:01
Bonjour Smile

Voici le retour du Staff concernant ta fiche. Celle-ci est globalement de bonne facture, donc ça va être assez simple.

Le premier commentaire concerne la psychologie. Tu as oublié de donner l'avis sur le Consortium.

Le second est un peu plus technique et va te demander un tout petit peu de réécriture : Avec la marine Impériale présente près de Ord Mantell, la contrebande est un milieu plus dangereux qu'à l'accoutumée. Nous aimerions voir cela se refléter dans ton écrit. Les parents de Arcturus ont dû passer de sales moments à échapper aux Impériaux.

Si tu as des questions, n'hésites pas à passer par la FAQ du Discord Smile



Arcturus Adama Vhells10
Vhell parle en #ffccff - Irina parle en 00ccff - Fiche de présentation - Fiche de suivi
Arcturus Adama
Arcturus Adama
Fenn Vrei
Fenn Vrei

Arcturus Adama Empty Re: Arcturus Adama

Ven 1 Mar - 23:10
Hello, merci pour ces retours Smile

Les modifications sont faîtes. J'ai donc ajouté une partie concernant le Consortium dans la description psy, juste après le paragraphe sur l'Empire. Et j'ai aussi modifié le début de l'Histoire pour intégrer mon approche des impériaux et les parents d'Arcturus. En supposant que le corruption soit plausible. Very Happy
Arsenicia Ombrelune
Arsenicia Ombrelune
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Maître de l'Ordre
AdministratriceMaître de l'Ordre

Arcturus Adama Empty Re: Arcturus Adama

Sam 2 Mar - 2:28
On va relire tout ça et on te revient. J'ai oublié de te notifier un truc  : Tu peux prendre des prothèses avancées puisque tu es rang 2. Tu dois te fier à ton niveau et ta classe pour le nombre de celle-ci Smile


Arcturus Adama Signau11
Arsenicia parle en #00ffff - Fiche de suivi - Predef : Arya Lÿrargent
Arcturus Adama
Arcturus Adama
Fenn Vrei
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Arcturus Adama Empty Re: Arcturus Adama

Sam 2 Mar - 21:02
Effectivement ! Initialement il était Citoyen, je l'ai fais step-up d'un rang sans lui donner davantage d'augmentations. Je viens donc d'ajouter trois augmentations de rang II;

  • Implant Oculaire Avancé
  • Bouclier Cinétique
  • Module de piratage 1
Vhell Kanata
Vhell Kanata
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Verd'ika
AdministratriceVerd'ika

Arcturus Adama Empty Re: Arcturus Adama

Lun 4 Mar - 14:47
Parfait. Une dernière remarque : retire la mention " suggérant que ses supérieurs l'avaient envoyé sur Ord Mantell comme une sorte de punition "
Comme la souligné Aerys en zone Staff, Ord Mantell n'est pas une planète qu'on peut qualifier de punition. ^^




Arcturus Adama Vhells10
Vhell parle en #ffccff - Irina parle en 00ccff - Fiche de présentation - Fiche de suivi
Arcturus Adama
Arcturus Adama
Fenn Vrei
Fenn Vrei

Arcturus Adama Empty Re: Arcturus Adama

Lun 4 Mar - 14:55
C'est fait !
Vhell Kanata
Vhell Kanata
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Verd'ika
AdministratriceVerd'ika

Arcturus Adama Empty Re: Arcturus Adama

Lun 4 Mar - 14:56
Te voilà validé, amuses toi bien Very Happy



Arcturus Adama Vhells10
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