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Leucinia T'Soni
Leucinia T'Soni
Al'verde
Al'verde

Leucinia T'soni Empty Leucinia T'soni

Dim 23 Jan - 21:52



Equipement :



Armure Mandalorienne :
Une armure traditionnelle mandalorienne de couleur rouge et noir.  Celle-ci n'est pas constituée de JetPack, ni d'aucun morceau de tissu comme un Kama ou un poncho. Seul le casque est customisé pour terminer en pointe à l'arrière du crâne, là où est situé l'antenne de communication. Celui-ci possède la légendaire visière en T mandalorienne qui se reconnait entre mille. Pour le principal, elle dispose de nombreuses lames dissimulées dans l'armure. Elle était équipée de deux lances flammes rechargeables par cartouche.
Armement :
Blaster Verpine.
Fusil Sniper à Accélération Magnétique.
Explosifs maisons disposées sur sa ceinture.


         

Description physique :



Comme il est dit dans les âges, les yeux sont les fenêtres de l'âme. Pouvant passer par une myriade de couleur, ils peuvent parfois nous éblouir de par leurs mélanges. Ne disposant pas de cet attrait, les personnes qui lui font faces sont toujours plus interloquées par le bandeau qui masque ses orbites vides que par la profondeur de ses iris. Ce morceau de tissu d'une hauteur de quelques centimètres, qui lui donne un air impénétrable, encercle totalement son tour de tête pour disparaître dans des cheveux épais rejettes en arrière. D'une couleur rouge profond, ils sont coiffés en queue de cheval, laissant ainsi son front dégagé. Nombre de personne lui dirait qu'elle pourrait faire une coiffure qui la mettrait bien plus en valeur, mais elle préfère faire ainsi. Pour simplement plus de simplicité. Ses cheveux terminent un visage légèrement rond qui présente un nez allongé et pointu. Sa Bouche quant à elle est étroite. Cherchant à prendre soin de sa peau, elle ne met que très peu de produit de beauté sur son visage.

Malheureusement pour la jeune femme, sa peau est constituée d'une pigmentation assez claire. Du coup, elle ne peut se prélasser sur une plage de sable fin pendant des heures sans avoir mis un minimum de protection solaire. Bien que réchauffant, voir reposant, rester trop longtemps au soleil la ferait devenir rouge comme une écrevisse. Dans cette optique, elle évite autant que possible de passer sur le célèbre monde de sable qu'est Tatooine. Pour un mètre quatre-vingts, la jeune femme pèse soixante-deux kilogrammes et non elle n'est pas grosse ! La Miraluka présente un corps svelte et sportif qu'elle entretient avec de longues séances de gainages et de musculation au poids de son corps. Et le gainage ça fait mal. Elle pourrait avoir ce que l'on nomme communément le six-pack mais cela lui serait improbable. Bien que maîtrisant son alimentation sans être une fanatique au point de surveiller chaque gramme ; notre amie adore les bons p'tit plat. Elle présente des mensurations du type 91-64-91 qui font qu'elle ne passe pas toujours inaperçu. Ce physique qui peut être des plus plaisants à voir pour certains, pose autant d'avantages que d'inconvénients. Dans la culture mandalorienne, ce détail n'a pas d'importance puisque pour lier sa vie, les mando'a cherchent avant tout un égal sur le plan martial que beauté. Mais dans le reste de la galaxie ou sa plastique peut apporter un avantage, elle a appris à se servir des formes de son anatomie. Il apparait qu'il est parfois utile d'utiliser ses charmes pour obtenir certaines choses. Mais attention au retour de bâton, restant mandalorienne dans son cœur, ceux ayant voulu abuser 'de son charme' se sont souvent retrouvés à l'hôpital. Malgré ce fait, cela ne l'empêche pas d'impressionner ses interlocuteurs par sa démarche ferme et le fait qu'elle se tienne toujours droite ; ce qui montre généralement aux gens son entraînement militaire.

Vocalement parlant, on entend très vite lorsque la jeune femme tente de plaisanter, de raconter une blague à deux francs et lorsqu'elle est sérieuse. Lors de séance d'humour, l'intonation de sa voix peut autant être plus douce comme plus grave suivant le rire qui émane avec même si son intensité reste faible. Toujours le timbre clair, sa voix devient très vite beaucoup moins douce lorsqu'elle parle d'un sujet important.

Corporellement, la jeune femme présente de nombreuses cicatrices dû à ses entraînements, ses expériences parfois foireuses avec les explosifs et son passé. Les échecs forment l'expérience et le savoir. Un tatouage est dessiné sur son dos, elle ne le montre qu'à peu de personnes. Partant de la base de ses trapèzes et du haut de ses omoplates, il descend le long de son dos jusqu'au bas de son bassin. Continuant sur ses obliques et les parties extérieures de ses fessiers, il termine sur le haut de ses abducteurs. Fait de deux ailes en motifs de plumes d'anges, il lui couvre tout le dos ainsi que les nombreuses cicatrices qu'elle a reçus lors de son enfance sur cette vieille station spatiale.

Lorsque l'on croise Leucinia, on voit une simple Miraluka portant un haut blanc laissant voir un décolleté profond. Ce haut est recouvert d'un léger manteau sombre présentant une fine couche de beskar à l'intérieur des tissus (les merveilles des nanofibres) qui lui descend jusqu'aux coudes. Le tout ajusté par un pantalon en cuir noir avec une paire de botte. La jeune femme apprécie néanmoins de porter de la bonne lingerie. Pas parce qu'on est Mando'a qu'on ne doit pas avoir de goût. Celle-ci lui permet de jouer de ses charmes, d'avoir un certain confort, un certain bien-être tout en ayant un bon maintient lors d'épisodes sportifs. Niveau armement, tous verront qu'elle ne porte qu'un blaster rangé dans un holster. Celui-ci vient se poser sur sa jambe droite via une ceinture. La seconde arme qu'elle porte plus discrètement est un karambit situé à l'arrière de sa ceinture. Elle présente néanmoins de nombreuses petites poches où sont disposées des explosifs artisanaux. Son avant-bras gauche est recouvert par un bracelet datapad tandis que sa main droite est recouverte d'un gantelet.

         

Description mentale :



La faiblesse... Un mot qui peut être décrit par une multitude d'action et d'interprétation. Ceux qui penseraient Leucinia faible ne serait pas digne d'intérêt. On ne pouvait passer sa vie à plaire aux autres. Il ne fallait point nier que l'incident lors de sa dernière mission chez les mando'a lui portait ombrage. Mais à qui cela ne porterait pas défaut ? Une faille ? Elle avait survécu par la force de sa volonté, son désir de survivre. C'est cette force qui l'avait fait devenir mandalorienne, qui la poussait à aller de l'avant. Toujours droit devant sans jamais regarder derrière. C'est de cette manière qu'elle avait quittée cette vieille station spatiale pour débuter une vie nouvelle. Lui permettant de réussir dans l'adversité. Celle-ci avait commencé par une petite voix intérieure lors de son enfance. Tracassée et apeurée face aux moqueries d'enfants comme celles des adultes. Sa situation sociale de pauvreté et le bandeau qu'elle portait en étant les causes principales, elle était apparue. Lui disant de résister et que demain serait un jour meilleur. De ne pas céder à la tentation des vices. De rester sur la bonne voie. De résister à l'adversité. Mais face à cette volonté se trouve une peur grandissante. Pour certains il s'agirait de la peur de l'inconnu. Du changement ? D'aller de l’avant ? Non ici, il était tout autre. La peur de la honte. De la déchéance. De la trahison. Elle qui avait été recueillie, elle avait fait tout ce qui était en son possible pour ne jamais trahir et ne jamais déshonoré les siens. Hélas, ce qu'elle redoutait le plus au monde avait finis par arriver. Depuis ce jour, elle vit avec ce sentiment de culpabilité. C'est pour fuir face à ce sentiment et se venger qu'elle s’est déclarée Dar'manda.

D'autre part, Leucinia est quelqu'un d'extrêmement tenace. Cette ténacité se voit dans les nombreux entraînements qu'elle reçut pour apprendre la voie du guerrier. Pour la suivre et l'appliquer. Lorsqu'elle est au tapis sous une prise dont elle ne peut se défaire, elle refuse d'abandonner le combat. Ce qui la conduisit plusieurs fois dans les bras de Morphée. Cette capacité, si on pouvait la nommer ainsi lui permis d'acquérir une certaine renommée face à ses adversaires. On dit d'elle qu'elle n'abandonne jamais. Ce quel que soit l'exercice ou la mission. D'autres vous diraient qu'elle est simplement butée et bornée. Le clan lui a attribué le surnom de Demolition Woman. Capable d'une grande concentration et d'une grande habileté, elle est capable de faire un explosif à partir de ce qui lui tombe sous la main. Cette épopée commença lorsqu'elle déroba quelques produits chimiques qu'elle relia à deux câbles dans les toilettes d'un bâtiment. Planquée dans le couloir, elle alluma le petit dispositif crée, ce qui eut quelques répercutions inattendues. Une volée des plus magistrale de la part de sa mère après sa sortie de l'hôpital pour avoir rasé une partie d'un étage... A peine sortie de l'hôpital qu'elle y retourna.

N’ayant confiance qu’en peu de gens dans cette galaxie, elle pose majoritairement son jugement sur le fait que tout le monde ment. Malgré ça, elle aime avoir du dialogue avec les personnes qu’elle rencontre. N’étant pas froide comme un glaçon hormis lors d’une traque, mais là on parle boulot… La jeune Miraluka apprécie l’humour et celui-ci ne vole généralement pas très haut. D’un autre côté, elle apprécie le fait d’être seule et de flotter en apesanteur dans son vaisseau. Cette sensation lui procure un sentiment de bien-être, de zénitude profonde.

Pouvant paraître pour une personne calme et raisonnée. Voir ouverte d'esprit et aux discussions cultivées. Les personnes qui la connaissent n'hésiterons pas à vous dire qu'elle peut avoir un vrai caractère de merde. Non cela n'a rien à voir avec le fait de vivre la tête dans un casque. Parfois fixée sur une idée, il peut être difficile de l'en défaire sans une argumentation convaincante et qui ne l'ennuie pas sur le moment. A cela se présente un caractère de soupe au lait. Il peut lui arriver de s'énerver quelques secondes et de revenir à son calme uniquement parce que quelqu'un lui a emprunté un outil et qu'il n'a pas été remis à sa place. Un milieu de travail bien rangé est la clef du succès. Présenter comme dit, cela peut paraître stupide et simple à vivre. Mais au quotidien, bons nombres de personnes en sont devenus exaspérées. Répondant simplement 'Ce n'est rien, Leuci pète sa pile, revient dans dix minutes'. Il existe un cas où l'on peut faire entrer Leucinia dans une rage folle. Lorsqu'elle est qualifiée de Laandur. La jeune femme n'apprécie guère ce mot qui la place dans une posture de faiblesse par rapport aux autres guerriers. Le tout simplement de par son anatomie. Entendu lors d'entrainement de part d'adversaire orgueilleux ou simplement par taquinerie, la Miraluka n'a pas hésité à chaque fois à porter un crochet du droit. Déjà ça calme les ardeurs et ça permet de se défouler au passage. Se considérant l'égale des autres, il lui parait inconcevable qu'elle soit prise pour une personne délicate qui tiendrait plus à sa plastique qu'à son honneur. Cette dénomination a commencé vers ses quinze ans. Au départ cela l'agaçait prodigieusement. Pour ne plus être appelé ainsi, elle n'avait pas hésité à se couvrir la poitrine de bandage pour qu'elle paraisse moins grosse. Surprise par sa mère un matin, elle entama alors une longue discussion sur la condition des femmes. Oui elles étaient des guerrières. Non elles ne devaient pas délaisser leurs corps et de le masquer. Après tout, ce n'était pas parce qu'elles vivaient à longueur de temps dans une seconde peau en beskar qu'elles devaient sentir le bouc ! Même en tant que mandalorienne, Leuci n'hésite pas à prendre soin de son corps et de ses atouts morphologiques. Le tout en bottant quelques culs.

Aujourd'hui elle a quitté le Clan des Skirata et elle reporte son nom d'origine. Si jamais Mand'Alor ou le clan lui-même lance un appel, Leucinia sera l'une des premières à réponde présente. Bien que l'exil qu'elle s'est imposée lui interdise de revenir, elle sait que son peuple lui ouvrira les bras. Probablement pas de façon directe, mais il le fera. La jeune femme donnera sa vie pour le Clan. Aujourd'hui, elle subsiste dans une galaxie en proie à la folie et aux flammes. Les Hutts sont tombés. Laissant la place à l'Apex. Les superpuissances continuent de s'affronter jusqu'à ce qu'il n'en reste plus qu'un. Qui gagnera ? Là était toute la question. La jeune femme ne s'en occupe guère pour le moment, tant que les contrats tombent. Même si elle a une préférence pour la République. Pour le moment, Mand'Alor ne soutiens personne. Cette situation ne pourra rester comme telle dans les temps à venir. Même si elle comprend parfaitement ce que la neutralité de son monde avait permis d'obtenir, il lui faudra un jour prendre parti. La Miraluka espère qu'il ralliera la République... Mais qui pouvait savoir ?


     
         

Histoire :


Sortant de l'hyperespace, le vaisseau approchait de l'atmosphère d'une petite planète rouge. Une petite planète sans importance. Le clan avait un contrat à exécuter et une équipe qui avait disparu. Son premier commandement et sa première escouade. L'excitation était là. Connaissant chacun des membres de son équipe, la mission à remplir n'était qu'une formalité et serait pliée à la fin de la journée. Souriant à une des petites narrations du blagueur de service, Leucinia se mit à regarder les étoiles depuis le hublot avant que l'appareil ne rentre dans l'atmosphère. Cette vue la rendit nostalgique quelques secondes. Assez longues pour lui faire remonter des souvenirs à la surface. Qui elle était et d'où elle venait...




Depuis plusieurs décennies, les Miraluka ont été une espèce malmenée. Cela passe par la grande Purge Jedi sous l'ancien Empire Galactique comme lors de la guerre des vongs. Il était possible à quiconque aujourd'hui d'apprendre ces récits à l'école ou dans des holo-livres. Peuple mystérieux et réservé, peu de Miraluka quittaient Alpheridies. Vivant paisiblement et profitant de leur vie, très peu d'entre eux partaient à l'aventure parmi les étoiles. Au fil des siècles, une petite poignée le firent. Vivant tel des nomades. Suivant cette envie de découverte et d'aventure, Oklar quitta son monde avec sa compagne. La galaxie ne fut pas tendre avec eux. Tombant d'échec en échec dans toutes leurs entreprises, ils finirent malheureusement par regretter leur monde natal. Un jour, un espoir apparu. La naissance d'une petite fille aux cheveux d'un rouge profond. Cette source d'espoir ne fut qu'éphémère. Le Miralukien vit sa tête mise à prix pour une historie de crédit. Fuyant pour leur survie, le couple trouva refuge dans une des immondes stations spatiales qui peuplaient la galaxie. Profitant de quelques temps de calme dans cet endroit perdu, tous deux décidèrent qu'il était temps de rentrer sur leur monde d'origine. L'espoir les animait de pouvoir offrir une vie meilleure à leur fille. La grande roue de la vie décida qu'il en serait autrement. Survivant parmi les non-voulus de la galaxie et la racaille, le Miraluka fut retrouvé par un chasseur de prime. Tué alors qu'il tentait de fuir, son corps fut jeté dans un conduit à ordure. Ce fut la dernière fois qu'on le vit. C'est l'histoire qui se répandit tandis qu'une petite fille attendait le retour de son père. Mais la vérité pouvait paraître bien différente suivant les angles de vues. Une revint plus souvent que les autres, on ne trahissait pas l'Empire. La mère de Leucinia tenta les petits boulots afin de subvenir à ses besoins et ceux de sa fille. Malgré la présence de l'enfant, le chagrin était présent à chaque instant et finit par l'emporter quelques années plus tard. Âgée de six ans, la petite fille se retrouva dans un monde hostile et inconnu...

Se retrouvant seule. Expulsée du chez soi qu'elle connaissait. La jeune Leucinia se retrouva à la rue. Tentant de survivre en faisant la manche et en volant. Les journées n'étaient pas faciles. Le manque de nourriture et de chaleur familiale lui était des plus compliqués. Hélas, elle devait rajouter à cela la moquerie des autres enfants des rues dû à son bandeau sur les yeux et l'histoire qui tournait sur sa famille. Les mois passèrent et elle commença à se débrouiller pour survivre. Réalisant par-ci par-là quelques petits vols ou emplois pour des personnes peu voire non recommandable. Un beau jour, alors qu'elle était sur le toit d'une des boutiques de la rue commerçante à se demander ce que lui réserverait cette journée, la jeune fille aperçut une équipe d'homme en armure. Ils attirèrent sa curiosité. Les gens semblaient s'écarter lors de leur passage. Qui était ce petit groupe qui semblaient tant les troubler. Une chose était sûre, ce n'était pas les guguss du Hutt. Non, lui et sa clique étaient trop occupés à vivre comme des rois dans la tour principale de la station. Se levant, elle passa sur les toits afin de voir dans quelle direction ils partaient. Elle se mit à les suivre. Probablement l'avaient-ils vu, elle ne savait pas. Tout ce qui l'intéressait en cet instant, c'était de les approcher d'assez près pour les toucher. Ecoutant des bruits qui se transformèrent en rumeur, elle appris que des mandaloriens étaient présents sur la station. Des Mandaloriens ! Leucinia n'en revenait pas. Elle avait entendu tant d'histoire sur ces guerriers. A ses yeux, ils représentaient la crème de la crème. Mais qu'est-ce que les rêves d'une fillette face à la réalité d'une galaxie ? Elle suivit le groupe pendant une bonne demi-journée, passant de toit en toit, se faufilant dans les ruelles sombres et sordides de certains quartiers. L'avaient-ils repéré ? Certainement. S'en souciait-elle ? Nullement. Le petit groupe entra dans ce qui semblait être un vieil immeuble abandonné. Elle vit disparaître leurs armures dans l'entrée sans lumière du bâtiment.

Se souvenant de la première fois dont elle avait entendu parler d'eux, elle revoyait ce passage dans l'holopage. 'Les Mandaloriens n'attendent pas après leurs rêves, ils les attrapent aux creux de leurs mains et les réalises'. Cette petite phrase l'avait fait rêver pendant des semaines. C'est tout ce qu'elle pouvait faire parmi la crasse et les immondices. C'était décidé. Il fallait qu'elle se rapproche davantage. Seule dans la rue, elle fixa ledit bâtiment. Elle ne pouvait pas entrer par la porte d'entrée. Il lui fallait un autre moyen. L'idée lui apparut comme le nez au milieu de la figure. Ni une, ni deux, elle passa par un autre immeuble à l'abandon pour entrer dans celui qui l'intéressait. Descendant les étages le plus silencieusement possible, elle finit par tomber dans un piège... Voyant plusieurs pommes posées à même le sol, son appétit pris le dessus. Attrapant les pommes, elle se retrouva la tête en bas sans comprendre pourquoi. Sur le moment peu lui importait, elle avait ses pommes. Un large sourire sur le visage, elle croqua la pomme à pleine dent. C'est ainsi la bouche pleine qu'elle fit sa première rencontre avec un mandalorien. Ses yeux bien qu'intimidés par la vue du casque et de l'armure brillaient de joie. Sans dire mot, elle resta silencieuse et se laissa décrocher du piège. La personne qui lui faisait face semblait être une femme. Il était facile de le deviner face au double détail figurant sur son torse. La suivant, elle trouva le reste du groupe tout en se cachant derrière la mandalorienne à leur vue. Elle qui avait absolument tenu à les suivre, elle n'avait pas la moindre idée de comment les aborder ni leur parler. Finalement, elle réussit à délier sa langue et leur parla. Les heures se mirent à passer. Tandis que le groupe s'affairait à mettre sur pied ce pourquoi ils étaient venus, Leucinia jouait avec un casque sur la tête. Celui-ci était clairement trop grand pour la jeune fille mais peu lui importait, elle s'amusait. Jetant un oeil sur le plan qu'ils avaient, elle leur indiqua quelques passages qui ne figuraient pas sur les cartes. Des passages qui permettaient de rejoindre le palais du Hutt en toute discrétion. Tous la regardèrent. Et oui. Après avoir passé pratiquement un an dans la rue, on commençait à connaître quelques trucs. Sans le savoir, elle venait de permettre aux guerriers d'accomplir leur travail ; ce qu'ils firent le lendemain. La jeune fille ne sut pas vraiment quel était ce fameux travail et n'en avait que faire, elle était plus préoccupée par la demande de la mandalorienne. Devenir sa fille et partir avec elle sur Mandalore... Quitter cette station de malheur pour une vie d'aventure et de danger. Le lendemain matin, elle partait.

C'est ainsi que la petite Miraluka atterrit sur le sol mandalorien quelques jours plus tard. Laissant son passé derrière elle pour faire face à un avenir nouveau. La voie du guerrier fut compliquée et parsemée d'embûche. Comptant sur sa nouvelle mère et son courage pour évoluer, elle découvrit un monde où il fallait se surpasser et ou les différences étaient inexistantes. Le clan lui apporta tout ce dont elle avait besoin pour devenir une mandalorienne digne de ce nom. Il lui permit aussi d'en apprendre plus sur sa propre race et son don avec la Force. Un don qu'elle fut incapable d'exploiter comme elle aurait pu le faire avec un maitre Jedi. Durant les longues années qui découlèrent de son arrivée, elle devint une fana d'explosif et une combattante hors pair. Son but était simple. Devenir comme sa mère ; une Alor'ad. L'acquisition des compétences martiales fut des plus compliqués. Parfois la jeune femme profitait du fait d'être sensitif et voyait le coup à l'avance. Ou était-ce l'habitude de l'entraînement ? Cette question restait toujours en suspens dans son esprit. Elle apprit la réponse à cette question bien plus tard. Lorsqu'elle combla les lacunes sur sa propre espèce. Suivant le codex Super Commando que lui inculqua sa mère, Leucinia appris le Resol'nare de façon stricte et rigoureuse afin d'être fier de porter le nom du Clan Skirata. Le clan était la famille, sa famille. Vint enfin le jour de l'épreuve. Devenir une mandalorienne et d'être reconnu comme tel par ses frères et soeurs. Dépendant du clan et de la volonté de ses parents à savoir sa mère, la jeune fille s'attendait à devoir aller à la chasse ou à foncer sur un engin à la dérive. Le choix fut tout autre. On lui annonça que le Clan recevait d'anciens soldats clones qui étaient démobilisés. Son rôle consisterait à les prendre en charge et à les installer. Bien que déçu elle accepta et accompagna les clones lors de leur arrivée. Bien que les membres blessés étaient une chose des plus courante dans la vie d'un mando'a, la vue des anciens républicains la titilla. Voilà ce à quoi elle ressemblerait lorsqu'elle serait une vieille peau. Un corps mutilé et estropié... C'est la première notion qui lui traversa l'esprit en voyant que certains avaient perdu un membre. Portant une prothèse à la place. Ayant besoin d'aide pour se déplacer. Comment un guerrier pouvait-il accepter ce fait et continuer de vivre ? Après les avoir conduits dans un petit village du clan pour leur installation, elle n'alla pas par quatre chemins et leur posa directement la question. Depuis ce jour, elle se souvient parfaitement du regard de l'un des clones. Même ayant une prothèse et un oeil en moins, la flamme du mandalorien brulait dans on oeil. Elle aurait pu la voir danser dans son oeil. Il lui répondit simplement que même estropié, il mourrait un blaster à la main sur la terre des braves s'il le fallait. Ravalant sa parole, elle termina d'installer cette petite poignée d'homme qu'elle put appeler ses frères à la fin de la journée. Marquée par cette expérience dans sa jeunesse, les récits qu'ils lui racontèrent et l'aide qu'elle du apporter à certains de par leur besoin médicale lui fut très bénéfique. Rêvant d'idées saugrenues plein la tête, elle redescendit sur terre à leur contact. Une question profonde se posa sur son avenir. Il lui était alors plus qu'évident qu'elle devait devenir comme sa mère. Même si elle avait un but à atteindre, cela ne l'empêcha pas de s'intéresser à d'autres domaines. Les soins sur le terrain ou bricoler un peu de technologie pour s'en sortir en cas de pépin. Ce dernier l'aida beaucoup dans ses petits bricolages explosifs... Ayant gardé un oeil et un contact avec ces clones, l'un d'eux lui appris son savoir sur une arme particulière. Le sniper. Ainsi entre son métier se serveur et ses cours, elle passa son temps libre à s'entrainer avec cette arme qui devint son arme de prédilection. Le calme du moment lorsque l'on vise. Voir la cible à des centaines de mètres. Voir beaucoup plus. Sentir le vent. Le prendre en compte; Sentir cette attraction de la gravité et tirer en conséquence. De nombreux paramètres à prendre en compte pour réaliser un tir parfait qui termine sa course dans la cible.

Le moment arriva où après maintes opérations pour la République, elle se vit accorder le rang des Alor'ad. Elle reçut un présent de sa mère lors de la reçut de ce titre. Un fusil sniper à accélération à particule. Une arme des plus mortelle et des plus rares. Face à l'arme, son âme d'enfance revint et elle ne put s'empêcher de l'exprimer. Extrêmement fière, ce jour qui arriva durant l'année de ses vingt-quatre ans. Mais elle n'eut que peu de temps pour en profiter. Le Clan décida de l'envoyer avec ses guerriers afin de vérifier un petit avant-poste mandalorien. Ledit poste semblait ne plus répondre. La mission était simple. Aller sur place. Voir ce qu'il se passait. Y remédier et revenir. En somme, la routine. Le groupe arriva sur la petite planète retirée de la galaxie. Ils y découvrirent alors un site vide de toute occupation mais intact. Leucinia décida de rester un peu plus longtemps sur le site afin d'en apprendre un peu plus. On ne disparaît pas sans laisser de trace... La nuit tomba. La jeune femme fut déstabilisée quelques secondes lorsqu'elle sentit une colère et une haine venir vers leur position. Son entrainement pour devenir Alor'ad l'avait préparé à de tels évènements. Le tout par de longues séances de résistance à la tortue physique, mentale et aux intrusions des êtres sensibles à la Force. Elle fut néanmoins surprise. Prenant position en hauteur du petit camp à flanc de falaise et activant sa vision thermique. Elle vit une masse d'énergie corporelle arriver. Ordonnant les ordres, chacun se plaça dans l'attente du moment fatidique. Ce fut le déchainement des enfers. L'escouade du se défendre d'un nombre indéterminé d'Armadid. Des créatures puisant dans la Force dont les yeux rouges brillaient dans la nuit. En clair, des sales bestioles. La défense fût des plus féroces. Les guerriers retenaient les créatures de façon admirable à travers la nuit étoilée. Soudain, une explosion se produisit. Un morceau de falaise tomba sur le camp. Sans avoir pu le temps de réagir, Leucinia vit ses hommes se faire écraser ainsi que les Armalids. L'explosion la fit tomber de sa position et ce fut à ce moment-là que son jetpack refusa de marcher correctement. Même s'il lui permit de ne pas s'écraser tel une crêpe sur le sol, son contact fut des plus violents sur les décombres de la falaise. Maîtrisant mal l'atterrissage, elle roula de pierre en pierre pour finir sur le niveau du sol. Se relevant, elle sentit qu'elle avait deux côtes fêlées. Son bras était en sang et son épaule déboitée. Ravalant sa douleur, elle alla directement contre un flanc pour se projeter l'épaule dedans. L'idée était de se la remettre en place. L'opération réussit. Elle regarda alors le tas de gravats... Sous celui-ci gisait ses hommes avec qui elle combattait depuis trois ans. Tombant sur ses genoux, elle n'y croyait pas. Comment ce bordel avait-il était possible ? Trop sûre d'elle ? Une mauvaise analyse du terrain ?

Ce fut le calme. Plus aucune sensation. Plus aucun bruit. Uniquement les craquements de son corps. Murmurant le nom de chacun de ses mando'a, se promettant de les venger ; elle vit un prédateur fuir. Celui-ci semblait moins en forme qu'elle. Il se vidait de son sang. Voulant bondir pour lui cavaler après, les douleurs de l'atterrissage la rappelèrent à l'ordre. Se décidant de le suivre, elle le traqua sur un bon demi-clik pour arriver à un petit campement. Il n'y avait que des cages. Au milieu se trouvait deux hommes et un vaisseau. La bestiole avait rendu l'âme six cents mètres avant. S'approchant discrètement, elle fit face aux deux hommes. Pensant s'en débarrasser facilement, son corps la ramena à la raison en vue des nombreuses blessures qu'elle avait reçues. Ne réagissant pas, elle prit une décharge plasmique dans les côtes gauches. Prenant le datapad d'un des deux morts en espérant obtenir des réponses plus tard, elle laissa les deux cadavres fumants derrières elle. Gagnant le vaisseau, elle se dit qu'il était temps de quitter ce monde.


...


Avançant d'un pas lent et ralentit, elle retira sa main qui faisait compression sur sa huitième et neuvième côte gauche. Du sang gicla légèrement. Regardant sa paume de main, celle-ci était couverte de sang. Sa main aussi. Le sien. La situation n'était guère encourageante. Montant la passerelle, elle pénétra dans le vaisseau. Ne cherchant pas à faire la visite des lieux, elle entra sur une pièce vaste et presque circulaire. Assez grande pour stocker du matériel. Probablement plusieurs swoops voir un chasseur monoplace. Pour aller vers le cockpit, il lui fallait monter. Voyant deux échelles et sachant son état, il lui était impossible de les prendre. Montant grâce à ce qui ressemblait à un monte-charge, elle arriva à ce qui devait être l'étage du bâtiment. Longeant les parois pour éviter de tomber dans le vide sur le côté droit de la passerelle qu'elle empruntait, elle fit le tour de la zone par laquelle elle était entrée. Passant une porte, elle arriva sur une sorte de poste holographique. Longeant un long couloir, elle sembla arriver à ce qui devait être le cockpit. Celui-ci était vaste. Grand. Spatieux. Ce trajet qui ne faisait probablement qu'une trentaine de mettre sembla lui durer une éternité. Marcher lui était de plus en plus difficile. Mais la jeune femme réussie à atteindre le siège du pilote. Prenant une pause pour souffler, elle regarda les commandes qui étrangement était conçu de façon à ce que ce tas de ferraille puisse être commandé par une seule personne. Pivotant sur elle-même, les commandes étaient réparties de façon circulaire autour du siège. Elle passa sa main sur le pupitre de contrôle. Celui-ci s'illumina pour lui laisser taper les différentes instructions pour entamer le décollage. Il n'y avait aucun bouton, tout semblait tactile. Un léger tremblement se fit sentir lorsqu'elle activa les propulseurs. Soulevant un nuage de poussière, le vaisseau décolla tout en secouant les cages de ferrailles qui l'entouraient. Laissant cette terre désolée derrière elle et ayant entré les coordonnées de Mandalore, l'appareil disparu dans un saut hyperspatiale.

Somnolant dans le siège tout en se laissant bercer par cette spirale lumineuse bleue et blanche qu'était ce tube de voyage lumière ; elle se rappela qu'elle devait soigner sa plaie. Dans le cas contraire elle aurait raison de Leucinia. Ses pensées étaient floues. Elle se sentait fatiguée. Epuisée. Se levant, la tension qu'exerça son corps sur ses tissus la fit crier de douleur. Sa main appuya aussi fort qu'elle le pouvait sur sa blessure tandis que l'autre se crispait sur le haut du siège. Enfin debout sur ses jambes, la jeune femme se décida d'aller à une infirmerie. Enfin s'il y en avait une. S'aidant des différentes cloisons en s'appuyant dessus pour avancer, elle traversa le couloir par lequel elle était arrivée un peu plus tôt. Sans chercher à s'attarder sur la déco qui avait probablement été refait à neuf, elle ne laissa dans son sillage qu'une légère traînée de sang sur le sol. La douleur eu raison d'elle. La Miraluka commença à perdre l'équilibre. La gravité artificielle fit le reste. La pauvre tomba entre la cloison du mur et celle de la passerelle où existait un vide d'un bon mètre. La chute fut raide. Allongée sur le sol et crachant du sang par la bouche, elle semblait plus morte que vif. La situation était des plus désespérées. Allait-elle mourir à bord de ce vaisseau inconnu ? Seule dans une mare de sang...

La vision trouble. Elle tentait de faire le point. Sa tête tournait. Un goût prononcé de sang dans la bouche. Celui-ci lui coulait abondamment sur les lèvres. Glissant son bras pour tenter de poser sa paume sur le sol pour vouloir se relever, celle-ci glissa dans son propre sang. Ce mouvement produisit l'ouverture d'une porte. Trouvant le moyen de réunir ses forces, elle se hissa jusque dans cette salle. Une infirmerie ! Voyant ce qui semblait être un lit d'opération, elle avança jusqu'à lui. Se roulant sur le côté en appuie sur son bras, elle réussit à monter dessus. Comatant. Avec une difficulté immense, elle enleva le haut de sa combinaison qui lui servait de seconde peau. La jeune femme fixa sa blessure tandis que son sang continuait à couler. La décharge plasmique du tir avait été arrêté par l'armure. Enfin le plus gros. Mais la plaque de beskar ne l'avait pas empêché de traverser la combinaison et de finir dans sa chair. La température du plasma avait cautérisé la majeure partie de la blessure mais un léger mais continue afflux sanguin coulait maintenant sur sa peau. Cette blessure ne faisait pas référence aux autres par lequel du sang coulait aussi. Laissant son corps s'écrouler pour de bon sur le lit de l'infirmerie, son esprit se perdit dans l'immensité de l'inconnu. Tandis qu'elle partait à la dérive, le système automatisé de l'infirmerie fit un scan de son corps lorsque deux bras circulaires balayèrent le lit de long en large. Des doses de bactas lui furent déposés sans qu'elle ne le sache...


...


Se réveillant à Kyrimorut, elle se vit enlacer de bandage. Pas tous les jours qu'on ressemble à une momie. Après les sept plaies d'Egypte, les sept plaies de Mandalore. La jeune femme redescendit assez vite sur terre en voyant sa mère. Assise en face d'elle, elle lui appris qu'elle venait de passer un mois dans le coma. Des membres du clan l'avaient trouvé en orbite de Mandalore. Reprenant à peine ses émotions qu'un Al'verde entra dans la pièce. Sa demande fut direct, que c'était-il passé? Ni bonjour ni rien. Sa réponse fut simple et direct. D'un ton sec, elle expliqua qu'elle avait merdé. N'ayant pas analysée le terrain suffisamment, une attaque les avaient ensevelis. S'en suivit alors un débriefing assez long. Son supérieur sortant, elle finit par se retrouver seule. Les heures passèrent puis ce fut des jours. Quelque chose n'allait plus en Leucinia. Plongée entre remord et vengeance. Certes la mort était une chose courante chez les Mand'oa, mais elle ne pouvait s'empêcher d'avoir des remords et une envie de vengeance. Dès qu'elle fermait les yeux, elle revoyait la scène, se souvenant de ce silence de mort... Le clan continuait à vivre tandis qu'elle n'arrivait pas à avancer. Une conviction se mit à s'installer dans son esprit. Elle avait brisé le Resol'Nare. Elle avait échoué à protéger sa famille, à savoir les guerriers sous sa responsabilité. Son premier commandement et elle avait merdé. Contre le gré des siens, elle se déclara Dar'Manda et quitta le Clan Skirata. Remontant à bord du vaisseau qu'elle avait trouvé sur ce monde de déchéance, elle mit les gazes. L'engin quitta Mandalore. Son choix était fait. Elle ne reviendrait pas parmi les siens tant qu'elle n'aurait pas la tête des responsables pendant dans sa main. Le datapad qu'elle avait obtenu n'avait que des lieux de livraisons. Aucun nom, aucune adresse et l'unité centrale du vaisseau était vide. Des gens bien organisés. Trop organisés... Aujourd'hui, elle soupçonne que les mandaloriens étaient visés. Choisissant de se venger et de laver son honneur, elle a retiré son armure. Se trouvant indigne de la porter, elle ne la revêtirait que le moment venu. Si elle devait réussir cette entreprise, elle se devait de le faire avec honneur. De regagner son titre de Mandalorienne. Cachant son passé aux yeux de la galaxie, elle survit en tant que contrebandière et chasseuse de prime à la recherche de piste.



     

Derriere l'écran :



Prénom/pseudo : Skiraha (mon pseudo sur la toile), dessinateur à ses heures perdu. Un lvl blague de merde assez haut, casse bonbon notoire, aime profiter de la vie, des échanges. Aime dormir sous un arbre. Gamer Solo quand ça lui prend. Bercé dans le monde de Star Wars depuis l'âge de quatre ans et mon épisode préféré est le VI. Fan de la saga Mass Effect ayant parcouru le forum Mass Effect Reborn pendant moins d'une année. Bien que passionné par la saga et l'univers, je n'arrive pas à écrire dessus. J'ai trainé sur un forum rp Star Wars pendant huit ans.

Age : 31 ans

Comment avez-vous découvert le forum ? Une connaissance un peu folle sur la grammaire. Very Happy

Petit Plus ? : J'aime la mangue. La mangue c'est la vie !!
Concernant mes disponibilités RP, mon temps libre peut être assez variable, donc si je le peux, je peux rp tous les jours comme uniquement une fois en quinze jours voir une fois dans le mois. Je ne peux malheureusement pas prévoir sur le long terme travaillant actuellement dans une start up. Donc même si je passe régulièrement, cela ne veut pas forcément dire que j'ai le temps de RP (petite précision qui peut être utile).



     
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