Quand Star Lady entre dans la salle d’entrainement, Rumi ne la regarde même pas. Elle connait sa lapine de femme. Elle est en mode « je ne te mérite pas » et donc… Elle reste furieuse et blessée, dans sa petite bulle d’enfer personnel. Miss Raton sait comment pense sa femme. Rumi, on l’a dit, se considère comme la protectrice de leur petit groupe. Et elle prend extrêmement mal le fait que quelqu’un ait été sévèrement blessé sous sa charge. Oui, elle n’était pas là, ce serait un argument des plus rationnels… Mais quand la lapine est dans cet état, le rationnel n’est pas au rendez-vous. Définitivement pas. Donc mieux vaut ne pas trop chercher à argumenter, en fait… Elle est comme ça, Rumi. Toute sa vie, elle a été une combattante, une survivante. Mais elle n’arrive pas à laisser le passer complètement derrière elle. Il est temps pour elle de vivre mais… Voilà.
Quand Star Lady lui demande de lui parler, la lapine répond « qu’il n’y a rien à discuter ». Ce qui est, évidemment, un mensonge. Elles le savent toutes les deux. Sauf que si la vie était logique, la galaxie serait un endroit bien différent. Rumi frappe, frappe et frappe encore… Tentant d’évacuer une frustration qui refuse de partir. Star Lady peut presque sentir sa femme bouillir de rage. Puis, d’un coup particulièrement puissant, elle finit par éventrer le sac avant de laisser entendre une série de jurons que la bonne morale nous empêche d’écrire. Oh elle est furieuse. Pas après Star Lady. Après elle. Elle aurait désespérément besoin d’un câlin, de se faire cajoler en se faisant dire que tout va bien aller… Mais mentalement, en ce moment, elle est loin de cette « étape ». Tout ce qu’elle est capable de concevoir, c’est son échec. C’est la seule chose qui lui vient en tête.
Encore une fois, au risque de se répéter, elle n’était même pas avec Star Lady et Star Lady ne voulait pas qu’elle vienne parce que c’était précisément ce que King aurait voulu. Vous imaginez Rumi, kidnappée par ce sociopathe, gardée dans un champ de stase comme un trophée, impuissante à échapper à son sort? Cela l’aurait probablement brisé… Mais bon. On ne le dira jamais assez : si la logique avait dominance dans la galaxie… Rumi est tellement furieuse qu’elle tremble de rage. Ce n’est même pas une figure de style, c’est au sens littéral. Elle n’est VRAIMENT pas contente. Et là elle passe en mode « Rumi dans sa bulle qui marmonne ce qui lui traverse l’esprit ». Elle se traite d’idiote, d’incapable, d’incompétente même pas foutue de protéger sa femme… Star Lady sait que c’est risqué d’intervenir à ce stage mais si elle ne le fait pas, Rumi va juste se refermer comme…
Une huitre… Tout garder en elle, s’empoisonnant l’esprit et devenant une véritable bombe à retardement. Elle va faire semblant que tout va bien, que rien ne la dérange, que tout est en ordre et refuser catégoriquement d’aborder le sujet. Donc si Star Lady veut agir, c’est maintenant. Quitte à faire mal à la lapine. Mieux vaut s’assurer que le poison soit dehors plutôt que dedans, non? Même si le faire sortir va faire mal à Rumi. En même temps, personne n’est parfait ou invincible, chacun a ses faiblesses. Et Rummi, en tant que femme dévouée, sait comment amener Rumi à se confier. Ce n’est pas facile mais elle a appris avec le temps. Ce n’est jamais facile de faire parler la lapine. Trop habituée à être la « dure de dure » du groupe. Et donc, une badass, ça ne se plaint pas, ça agit. Sauf que voilà, même les badass peuvent souffrir, même si Rumi voudrait prétendre le contraire…
Quand Star Lady lui demande de lui parler, la lapine répond « qu’il n’y a rien à discuter ». Ce qui est, évidemment, un mensonge. Elles le savent toutes les deux. Sauf que si la vie était logique, la galaxie serait un endroit bien différent. Rumi frappe, frappe et frappe encore… Tentant d’évacuer une frustration qui refuse de partir. Star Lady peut presque sentir sa femme bouillir de rage. Puis, d’un coup particulièrement puissant, elle finit par éventrer le sac avant de laisser entendre une série de jurons que la bonne morale nous empêche d’écrire. Oh elle est furieuse. Pas après Star Lady. Après elle. Elle aurait désespérément besoin d’un câlin, de se faire cajoler en se faisant dire que tout va bien aller… Mais mentalement, en ce moment, elle est loin de cette « étape ». Tout ce qu’elle est capable de concevoir, c’est son échec. C’est la seule chose qui lui vient en tête.
Encore une fois, au risque de se répéter, elle n’était même pas avec Star Lady et Star Lady ne voulait pas qu’elle vienne parce que c’était précisément ce que King aurait voulu. Vous imaginez Rumi, kidnappée par ce sociopathe, gardée dans un champ de stase comme un trophée, impuissante à échapper à son sort? Cela l’aurait probablement brisé… Mais bon. On ne le dira jamais assez : si la logique avait dominance dans la galaxie… Rumi est tellement furieuse qu’elle tremble de rage. Ce n’est même pas une figure de style, c’est au sens littéral. Elle n’est VRAIMENT pas contente. Et là elle passe en mode « Rumi dans sa bulle qui marmonne ce qui lui traverse l’esprit ». Elle se traite d’idiote, d’incapable, d’incompétente même pas foutue de protéger sa femme… Star Lady sait que c’est risqué d’intervenir à ce stage mais si elle ne le fait pas, Rumi va juste se refermer comme…
Une huitre… Tout garder en elle, s’empoisonnant l’esprit et devenant une véritable bombe à retardement. Elle va faire semblant que tout va bien, que rien ne la dérange, que tout est en ordre et refuser catégoriquement d’aborder le sujet. Donc si Star Lady veut agir, c’est maintenant. Quitte à faire mal à la lapine. Mieux vaut s’assurer que le poison soit dehors plutôt que dedans, non? Même si le faire sortir va faire mal à Rumi. En même temps, personne n’est parfait ou invincible, chacun a ses faiblesses. Et Rummi, en tant que femme dévouée, sait comment amener Rumi à se confier. Ce n’est pas facile mais elle a appris avec le temps. Ce n’est jamais facile de faire parler la lapine. Trop habituée à être la « dure de dure » du groupe. Et donc, une badass, ça ne se plaint pas, ça agit. Sauf que voilà, même les badass peuvent souffrir, même si Rumi voudrait prétendre le contraire…