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Lor Soraaj
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Sam 9 Sep - 1:15



Equipement :




-Pistolet blaster modèle standard. Acheté dans une boutique républicaine, c’est un modèle de blaster comme on peut en retrouver n’importe où. La seule particularité de l’arme est un manche modifié pour offrir plus de confort dans la prise en main.

-Deux vibrolames format couteau. Ces deux petites lames de combat peuvent être utiles dans toute sorte de situation. Généralement, il en garde une cachée dans une botte et l’autre dans une manche.

-Grenade flash, grenade fumigène et détonateur thermale. Chacun de ces modèles fut acquis légalement auprès de divers vendeurs, destinés à des cas d’urgence.

Prothèse de bras chirurgical : Il s’agit d’une prothèse entière imaginée et conçue par Lor pour lui faciliter le travail Lorsqu’il s’occupe d’un patient ou d’un droïde. Si la première partie du bras allant par-delà le coude est semblable à n’importe quelle prothèse, l’autre partie change drastiquement. Il s’agit d’un assemblage d’une multitude d’outils chirurgicaux et de cybernétique interchangeable, selon les besoins du moment. Grâce à cette prothèse, Lor peut exécuter une intervention plus rapidement et plus précisément.

Bottes de vol : Paires de bottes ne quittant jamais Lor. Elles disposent de petits réacteurs permettant un véritable envol à leur utilisateur. Très utile pour éviter une chute mortelle, la fuite ou la poursuite

Combinaison de combat : Une armure de combat de récupération. Si elle est loin d’être de première jeunesse, elle reste encore fonctionnelle. Efficace également contre les matières chimiques, le vide spatial et les profondeurs marines.

Masque : Un masque pouvant se coupler avec la combinaison de combat. Offre une autonomie d’oxygène de plusieurs heures, équipé d’une comlink et d’un modulateur de voix. Lor s’en sert parfois quand il travail ou pour dissimuler son identité.

3 Droïdes sondes : Modèle de droïdes sondes standard, utilisé pour surveiller les environs quand Lor est en déplacement sur une autre planète, afin d’éviter les mauvaises surprises.

Droïdes


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Il s’agit d’un astro-mécano que Lor a acheté, il y a de très nombreuses années. S’il s’agissait d’un modèle standard d’astro-mécano à l’origine, il a beaucoup changé depuis. Son maître lui a apporté de nombreuses modifications. Ainsi, en plus de l’équipement standard, on peut également retrouver des propulseurs installés dans les jambes du droïde pour lui permettre de se déplacer dans les airs. À cela s’ajoute une pique électrique et un cutter à fusion. Comme dernière surprise, Lor a ajouté un diffuseur de gaz anesthésiant. En termes de personnalité, cet astro-mécano est généralement joyeux, joueur, malicieux et direct dans ses propos. Par contre, pour une raison inconnue de son maître, c’est également un énorme pervers ne se gênant jamais pour faire des remarques sur les dames. Excellent en mécanique et en entretien de tous les genres de machines, il est très efficace en piratage.



Spark
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Tout premier droïde de Lor. Il s’agissait à l’origine d’un droïde conçu avec les moyens du bord et sans corps. Il fut plus tard installé dans le corps d’un droïde commando. Il est ainsi programmé pour le combat, capable de manier n’importe quelles armes de tirs. De tous les droïdes de Lor, il est celui ayant subi le plus de modifications, esthétiques comme techniques. Tout d’abord, ses mains et ses pieds sont équipés de puissant système magnétique, afin qu’on ne puisse pas lui arracher son arme des mains ou le projeter dans les airs. Son blindage est densifié pour lui permettre de mieux résister aux tirs ennemis. Son agilité et sa capacité de saut ont été également optimisés. Il est équipé des différents modes de vision disponible. Lor l’a également équipé d’un système de camouflage optique, afin qu’il puisse se rendre invisible. Disposant également d’amélioration de droïde protocolaire, il peut comprendre et s’exprimer dans plusieurs millions de langues. Finalement, Spark possède quelques protections en cortose. Ayant eu l’occasion d’observer comment les utilisateurs de sabre laser éliminent les droïdes, et disposant alors d’un budget limité, Lor a ajoutés des plaques de cortose à Spark, les positionnant stratégiquement. Ainsi, on retrouve le cortose au niveau des mains, des coudes, des genoux, du cou et des épaules. Le tout dissimulés par une bonne couche de peinture.

Spark est un droïde sérieux et direct, ayant parfois un comportement de grand frère envers son maître. Il a une fâcheuse tendance à évoquer tout haut des statistiques peu rassurantes en lien avec la situation actuelle. En termes d’armement, le droïde utilise trois armes différentes. Son arme de prédilection, un blaster modèle fusil d’assaut. Viens ensuite une grande vibrolame. Sa dernière arme, qu’il utilise assez peu est un disrupteur modèle sniper.


Lynch
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Troisième et dernier droïde de Lor. Ce droïde a été conçu avec un concept de base en tête : pouvoir affronter les utilisateurs de la Force. Pour la conception de ce droïde, Lor c’est fortement inspiré des légendaires YVH, les droïdes tueurs de Yuzaang Vong. Droïde humanoïde de presque 2 mètres de haut, rapide, agile et très fort physiquement. Des programmes de combats et de chasse très avancées pour pouvoir traquer et combattre l’ennemi. Il possède les différents modes de vision et des répulseurs. Tout comme Spark, ses mains et ses pieds sont équipés de puissant système magnétique, afin qu’on ne puisse pas lui arracher son arme des mains ou le projeter dans les airs. Son blindage est densifié pour lui permettre de mieux résister aux tirs ennemis. Il possède également un système de camouflage optique. Lor a également put lui donner le même genre de renforcement caché en cortose que Spark. Parmi ses autres équipements, on peut ajouter que Lor l’a équipé au bras gauche d’une plaque en duracier pouvant servir de bouclier contre les tirs ennemis. Cependant, cette défense est également prévue pour combattre un utilisateur de sabre laser, car au cœur de cette plaque se trouve une petite réserve de cortose. Une tactique destinée à offrir une mauvaise surprise à un sith/jedi/chevalier ennemi, tout en évitant de voir le cortose réduit en miette au premier affrontement venu. Dans le bras droit, il est équipé d’un petit canon blaster dissimuler. En termes d’armement, le droïde préfère le corps à corps, ayant reçu une panoplie de programme de techniques de combat rapprochés, aussi bien armé qu’à mains nues. Il manie un bâton en acier chantant (steelsong) quand il le peut, s’en servant pour parer les coups ennemis ou simplement pour les frapper et leur rompre les os. Lorsqu’il doit combattre à distance, il utilise ce qu’il trouve. Toutefois, l’arme à distance de Lynch, sa préférée, demeure un canon blaster, aimant la puissance de feu énorme de ces armes. À long terme, Lor aimerait donner un corps en Laminanium régénérant à Lynch.

Lynch est un droïde assez peu bavard, ne parlant que s’il le juge nécessaire. Ce n’est pas forcément une mauvaise chose, car pour une raison indéterminée, le droïde s’exprime en basic avec un étrange accent, probablement dû à une erreur de programmation ou un vocabulateur problématique. Malgré son apparence effrayante, c’est plutôt un gentil géant quand il n’a pas à être en garde. De temps à autres, il disparait pour aller nourrir des animaux errants. Toutefois, si les combats commencent, toute forme de pitié disparait chez lui.

**Note importante** Lor a un profond attachement envers ses droïdes. Il sauvegarde régulièrement leur mémoire par précaution. Surtout, il a pris des mesures dans l’éventualité où quelqu’un en aurait pris le contrôle d’une manière ou d’une autre. Ainsi, chacun de ses trois droïdes possède une commande de désactivation par commande vocale, installé au cœur de leur programme. Ainsi, il est possible de les désactiver, à condition de connaître le code de désactivation.


           

Description physique :



Quand un individu vient au monde, il n’est pas très différent de ses congénères, à quelques traits près. C’est en grandissant que les différences physiques se multiplient et grandissent, menant vers un individu plus proche d’être unique que jamais. Ainsi, chaque individu à ses petites touches qui font de lui un être différent des autres.

Un premier aspect physique particulier que l’on pourrait considérer chez Lor est lié à son héritage génétique. À n’en pas douter quand on le regarde, il a l’air d’un humain comme les autres, malgré le fait qu’il soit né d’une mère twi’lek. Il n’a donc pas hérité à première vue de grand-chose du physique de ce côté de la famille. Toutefois, un trait physique qu’il partage avec eux, c’est son estomac de fer. En effet, Lor a développé son système digestif dès son plus jeune âge, n’ayant accès parfois qu’à des aliments à la qualité discutable. Aujourd’hui, il peut manger des aliments qui donneraient des problèmes digestifs divers à bien des humains.

Un autre aspect notable chez lui, c’est sa carrure. Là où un humain mâle moyen mesure dans les 1m75, Lor n’atteint que le 1m70, pour un poids de 75kg. Il considère que la faible quantité de nourriture à laquelle il avait accès dans son enfance a eu pour effet de diminuer sa croissance physique. Quant à son poids, Lor est quelqu’un de très actifs physiquement, si bien que sa masse graisseuse est dans les paramètres d’un homme en santé. Tandis que sa masse musculaire est légèrement développé, assez pour qu’on puisse remarquer les courbes des muscles, mais loin de se rapprocher d’un culturiste.

Poursuivons de haut en bas. Viens tout d’abord la chevelure du jeune homme. Des cheveux bruns dont il prend soin, tâchant de les garder toujours en ordre et courts, ne désirant pas posséder une longue chevelure. Après cela, on peut noter d’épais sourcils noirs, apparemment hérité de son paternel. Nous pouvons cependant nous intéresser à ses yeux. À sa naissance, Lor possédait deux yeux aux iris brun noisette, comme sa mère. Cependant, suite à un affrontement, il perdit son œil gauche qui fut remplacé par une prothèse oculaire. Avec le temps, il la modifia afin d’incorporer divers modes de vision. Cela eut un certain effet sur la prothèse. En effet, si en temps normal l’iris artificiel à la même couleur que son œil biologique, il change en fonction du mode de vision. Le reste du visage de Lor est simple, accompagné de deux grains de beauté, l’un sous l’œil droit et l’autre près du coin supérieur gauche de sa bouche. Le jeune homme n’est peut-être pas un canon de beauté, mais il se défend dans le domaine malgré une certaine maigreur du visage.

Passons au corps de notre homme. Comme cela fut évoqué, il possède une musculature légèrement prononcée. Son ventre presque plat n’est que légèrement rebondit grâce à ces abdominaux développés. C’est cependant son bras gauche qui a de quoi attirer l’attention. Comme son œil, Lor l’a perdu il y a de nombreuses années. La partie naturelle de son bras cessant aux trois quarts supérieurs du biceps. Évidemment, le membre fut également remplacé par une prothèse. Le jeune homme a cependant apporté une modification pour lui permettre de retirer le membre et le remplacer par un autre lorsqu’il le juge nécessaire. Sa prothèse de bras de tous les jours a subi quelques modifications, afin de rendre la surface plus lisse, surtout au niveau de la main. Heureusement, le jeune homme a conservé ses mains de chirurgien malgré son remplacement de membre. Il possède également un troisième bras, un servo bras plus précisément. La plupart du temps, Lor préfère le maintenir dissimulé.

En ce qui concerne le dos de Lor, ce dernier le montre rarement à autrui, car il est une démonstration de son passé d’esclave. En effet, le dos du jeune homme est couvert d’une multitude de cicatrices, généralement dû à des coups de fouets et de bâtons. Il en possède un grand nombre à travers tout le dos.

Attaquons-nous à son style vestimentaire. Dans ce domaine, on peut constater que Lor a un style extrêmement varié. Dans ses moments de détente et de repos, il préfère porter des vêtements souples, n’entravant ni ses mouvements et ne se serrant pas trop contre son corps, pour un confort maximal. Surtout que lors de ces moments, toute notion d’harmonie disparait complètement. Ainsi, ses vêtements peuvent avoir des couleurs et des agencements d’une laideur atroce.

Les choses sont toutefois très différentes lorsqu’il travaille. Il opte alors pour des tenues plus adaptées à ses fonctions. Lors des jours où il prévoit se consacrer à la médecine et aux cyborgs, Lor porte plutôt une tenue composée d’un pantalon, d’une chemise et d’une veste sans manche, tous de couleur kaki. Ajouter à cela une grande ceinture disposant d’une multitude de sacoche de rangement pour y stocker diverses nécessités et une paire de bottes noires. Dans ses jours tournés vers les droïdes ou la mécanique, il possède une grande tenue orange de mécanicien sans manche sous laquelle il porte un simple chandail blanc. Son dernier style est celui qu’il adopte lorsqu’il doit faire des rencontres importantes diverses. Cette tenue est un costume trois pièces. Tout d’abord, une chemise rouge, par-dessus une veste sans manche de couleur blanche, le tout surmonté par un veston blanc disposant de diverses parures dorés et rouges. Un pantalon dans le même style que son veston et encore ses habituelles bottes noires.

             

Description mentale :



La vie d’esclave peut avoir deux grands effets chez un individu. Soit, cela le brisera et il perdra goût à la vie, devenant pratiquement une machine exécutant ses tâches, le regard vide et dénué de toute forme d’espoir. Soit, cela renforcera l’individu refusant de plier et cherchant à atteindre une meilleure vie. Lor fait partie de cette seconde catégorie. Il n’a pas laissé son statut d’esclave déterminé son avenir. Il s’est accroché autant que possible à tout ce qu’il pouvait pour ne pas sombrer. Cela aura démontré qu’il est quelqu’un possédant une grande détermination.

La plupart du temps, Lor est un individu calme, très patient et méticuleux, des traits importants pour son travail. C’est également le genre à se montrer discret, ne cherchant pas à attirer l’attention sur lui, sauf si malheureusement si on l’engage dans un sujet qui le passionne, il peut alors se transformer en moulin à paroles sans fin. On peut ajouter à cela que Lor est quelqu’un de plutôt direct, la plupart du temps, préférant dire les choses plutôt que de faire des détours à n’en plus finir. Évidemment, il n’est pas dénué de compassion et de bon sens, sachant parfaitement que certaines choses ne se disent pas ou du moins, pas sans prendre des gants. De plus, le fait de mentir n’est pas vraiment quelque chose le troublant personnellement, sauf envers des êtres chers. Il est par contre doué pour savoir quand quelqu’un ment.

Lor a longtemps combattu sa position d’esclave, pas avec ses poings, mais bien avec son esprit, ne se limitant pas au peu de connaissance que son maître voulait bien lui transmettre. Un trait qu’il garda une fois qu’il devint un homme libre. Grâce à cela, il devenu quelqu’un de très instruit dans une multitude de domaines et développa son intelligence en général. Il a notamment appris plusieurs langues, devenant un polyglotte accomplit. Ainsi, il maîtrise le basic, le ryl (Twi’lek), le Shyriiwook (wookie), le jawaese version commerce, le langage des droïdes et connait le langage des lekkus. Pour ce dernier, Lor a l’habitude d’utiliser ses mains pour répliquer le langage. Il possède des connaissances dans bien d’autres langages, mais pas de maîtrise à proprement parler, mais tente d’apprendre plus chaque jour. C’est un expert dans le domaine cybernétique, que ce soit pour les droïdes ou encore les cyborgs, ayant été exposé à ces domaines dès son très jeune âge. Il a également pu ajouter à son arc quelques connaissances en mécanique. D’ailleurs, il possède une règle personnelle qu’il refuse catégoriquement d’enfreindre lorsqu’il travaille en cybernétique ou en mécanique : On fait bien le travail ou alors on ne le fait pas. Un perfectionniste dans l’âme, en somme, trait qu’il a développé à cause de son passé d’esclave, où la médiocrité était punie. La médecine fut un autre élément qu’il étudia, commençant par un survol du domaine, avant de suivre de véritables études. En tant que médecin, il fera toujours tout ce qu’il peut pour ses patients, même si cela peut lui coûter très cher. Lor a déjà eu des ennuis par le passé, pour s’être montrer quelque peu extrême en ce qui concernait le bien-être de ses patients. Quelques soit la situation dans laquelle il se trouve, il n’hésitera jamais à offrir des soins à ceux en ayant besoin.

Un problème lié à son érudition, c’est que sans qu’on ne lui ait rien demandé, il peut parfois se lancer dans de long monologue vomissant un flot d’information presque sans fin. Du moins jusqu’à ce que quelqu’un le fasse taire. On peut ajouter cela qu’il déteste être interrompu pendant son travail et le prend très mal quand on remet en question ses réalisations ou ses évaluations de spécialiste. Un problème particulier qu’il a vient du fait que l’on peut considérer le basic et le ryl comme ses deux langues maternelles, ce qui l’amène parfois à passer d’une langue à l’autre sans s’en rendre compte.

On peut également noter que Lor a un comportement particulier en ce qui concerne les femmes. Respectueux envers les dames, il peut toutefois devenir gaffeur ou bafouiller dans ses paroles lorsqu’il est en présence d’une femme pour qui il éprouve de l’intérêt. Cela est particulièrement vrai si cette dernière est entreprenante. Même s’il a du mal à résister aux femmes lui faisant des avances, il possède des principes forts. Notamment que jamais il n’abusera de femmes en positions de faiblesse.

En ce qui concerne les enfants, Lor est presque toujours d’une nature douce et protectrice envers eux. Toujours des friandises en poches destinés aux enfants, ce n’est pas le genre à se montrer autoritaire envers eux, sauf si nécessaire. C’est particulièrement vrai envers sa nièce où il a un comportement d’oncle gâteau.

Profondément gentil, courageux, fiable et téméraires, mais parfois extravagant, la plupart des gens connaissant son passé ont du mal à croire qu’il était un esclave. Cela peut cependant se voir par moment dans son comportement. Notamment, du travail acharné à l’extrême, une incapacité à jeter de la nourriture même si elle est périmée et une tendance à rechercher une propreté extrême dans sa vie. De plus, il a une tendance prononcée à vouloir que tout soit ordonné, dans la mesure du possible. Heureusement, Lor n’est pas un cas critique dans cet aspect de sa vie.

Très protecteur envers ceux et celles en qui il tient, il n’hésitera jamais à accomplir des choses moralement/légalement discutables pour les protéger. Cela concerne aussi bien sa famille, ses droïdes et ses amis. C’est également l’une des raisons pour laquelle il est la dernière personne à qui demander un affrontement à la loyal. En effet, quand Lor doit se battre, il faut s’attendre à toutes sortes de sales coups. Ce n’est pas non plus le genre à se laisser marcher dessus, pouvant démontrer un caractère susceptible et grossier quand on le pousse à bout ou qu’on s’attaque à des êtres auxquels il tient. Il faut également se méfier de lui dans les jeux d’argent, c’est un énorme tricheur. Avec ses anciennes activités de vol, il a plus d’un tour dans son sac pour obtenir ce qu’il veut.

On peut également noter chez lui un comportement assez hostile envers certains groupes d’individus. Plus précisément envers les esclavagistes et les individus n’hésitant pas à trahir les leurs pour se sortir d’une mauvaise passe. Dans les deux cas, son opinion personnelle est assez simple : ils méritent tous de mourir. Malgré ce trait, Lor n’est pas un homme cruel, détestant les gens qui le sont. Torturer des gens, à moins que cela soit absolument nécessaire, c’est un tabou pour lui.

Parlons un peu de ses positions politiques. Déjà, Lor est un républicain dans l’âme. Il sait bien que la république est loin d’être parfaite, mais il respecte les idéaux et les valeurs qu’elle défend. Donc, la république et ces défenseurs les jedis sont à ses yeux le meilleur des grands régimes politiques dominant la galaxie. Pour ce qui est de l’empire, il n’a pas une vision défavorable de ce dernier, le voyant davantage comme un régime politique différent. De son point de vue, si la République et l’Empire pouvaient chacun faire taire leurs éléments les plus extrémistes, une certaine forme de cohabitation pourrait exister. Pour ce qui est des MandaLoriens, c’est plus complexe, car d’un côté ils peuvent être des fauteurs de troubles, mais de l’autres, ils sont généralement honorables. De plus, ils ont fourni les éléments ayant mené à la création des armées de la République. Peut-être qu’avec le bon chef, les choses pourraient s’améliorer? Ce qui est sûr c’est qu’il vaut mieux éviter de les provoquer inutilement.

Vient ensuite le cas de l’APEX. Lor aime bien cette organisation, la liberté, les richesses et les opportunités qu’elle offre. Il n’est pas dupe, le jeune homme sait parfaitement que l’APEX possède des facettes sombres. Toutefois, l’organisation criminelle reste moralement meilleure que l’ancien cartel des hutts. De plus, le fait que ce soit une organisation permet justement de mieux organisés les choses, au lieu d’avoir des groupes criminels apparaissant comme de la mauvaise herbe et causant des problèmes à tout bout de champs. Évidemment comme il en fait partie, il tente de toujours se montrer amical envers les autres membres, du moins selon leur secteur d’activité ‘’commerciale’’. S’il s’agit de marchands d’esclaves, aucune politesse de sa part, ils devraient se considérer heureux de rester en vie.

Finalement, son opinion sur le consortium éternel, les hapiennes et les siths est très simples : Il vaudrait mieux tout cramer. Lor a eu l’occasion de découvrir les horreurs commises par les siths, les hapiennes et leurs serviteurs dans leur coin de la galaxie. Il a vécu une partie de sa vie dans la terreur et la souffrance causé par ces individus. Sa terreur évoluant cependant en haine par la suite. Voilà pourquoi il est désormais persuadé que le consortium devrait être anéanti.


         
         

Histoire :


Lor naquit en l’an 1465 après la bataille de Yavin, sur le monde de Deysum, alors contrôlé par le consortium éternel. Il est né de l’union de deux esclaves, un humain et d’une twi’lek, Irsu Soraaj. C’était le second enfant du couple, précédé par une fille, Meera, qui avait surtout hérité de la génétique de sa mère. Lor avait plutôt eu droit à celle de son père. Père qui au final abandonna sa famille sans hésitation ni remord lorsqu’une occasion de fuir son statut d’esclave se présenta.

Aussi loin qu’il s’en souvienne, Lor a toujours été en contact avec la cybernétique. Dans son souvenir le plus ancien, il se voit, alors âgés de 3 ou 4 ans, en trains de nettoyer des pièces de rechanges de droïdes. Quand est-ce qu’il a commencé à travailler sur les droïdes? Il ne saurait le dire. Si on lui demandait son avis, il répondrait que c’est probablement ce sur quoi les surveillants du seigneur sith le possédant l’ont mis au travail dès qu’il fut capable de comprendre des instructions simples. Pourquoi la cybernétique au lieu des champs, du nettoyage ou d’autres tâches très basiques? Mystère. Avait-il démontré des dispositions, ou bien c’était simplement le hasard qui l’y a amenés? Encore aujourd’hui, il l’ignore.

C’est donc depuis sa tendre enfance que Lor se retrouva forcer à travailler dans le domaine de la cybernétique, là où des enfants normaux auraient profiter de leur journée pour jouer et faire des bêtises. À cette période de sa vie, le déroulement des jours étaient tous les mêmes. On se levait tôt, on mangeait ce qu’on voulait bien nous donner et on commençait à travailler. Les enfants, jusqu’à un certain âge, travaillaient pendant la matinée, puis étaient envoyés dans une école pour le reste de la journée. Contrairement à d’autres siths, leur propriétaire désirait avoir des esclaves avec un certain niveau d’éducation, probablement pour les rendre plus efficaces. C’est à l’âge de 5 ans que l’on mit le jeune homme au travail sur son premier droïde, servant d’assistant à d’autres esclaves plus expérimentés. Ces derniers n’étaient guère ravis de la chose. Leur maître avait mis en place une politique simple : les plus performants étaient récompensés et les moins performants punis. Le but étant de mieux faire travailler les esclaves et de les mettre en compétition pour éviter toute coopération entre eux. Ainsi, les vétérans devant le former se retrouvait à être ralenti, sans parler de former un rival potentiel, mais contraint de le faire quand même.

Le jeune homme se découvrit rapidement un talent insoupçonné et intuitif pour ce domaine, absorbant les enseignements des vétérans à une vitesse folle. Sans surprise, le contact constant avec les droïde l’amena à apprendre rapidement leur langage. Deux facteurs particuliers alimentaient sa croissance. Tout d’abord, un intérêt pour la chose, combiné avec la reconnaissance que lui témoignait les différents droïde qu’il remettait en état. Ensuite, le simple fait que le travail bien fait lui évitait les châtiments des surveillants. Si les récompenses étaient rares, les punitions étaient très fréquentes. Les années défilèrent, Lor apprenant de plus en plus, se retrouvant lentement mais sûrement à travailler seul. Il répara seul son premier droïde à l’âge de 7 ans et cela attira l’attention de quelques surveillants.

Entre le travail et l’école, un des rares moments de repos dont disposait Lor était lié à son maître, Darth Nodd. Le sith prenait plaisir à faire venir à lui un grand nombre d’esclaves et de serviteurs pour les faire assister à des combats entre lui et plusieurs droïdes de combats. Sans surprise, le but du sith était de se mettre en valeur, de flatter son égo, les esclaves ayant l’obligation d’acclamer leur maître. De temps, à autres, Darth Nodd laissait d’autres siths combattre, des apprentis ou autres. Un moment de repos destinés à flatter l’égo d’un connard narcissique, mais un repos quand même, du coup Lor ne s’en plaignait pas vraiment.

Peu de temps après, sa vie scolaire prit fin, ayant atteint la fin des connaissances offertes par les écoles ‘’généreusement’’ fournie par leur maître. Sa mère prit sur elle de poursuivre l’éducation de son fils, comme elle le faisait déjà avec sa fille et d’autres enfants. Ainsi, à chaque fin de journée et des quelques jours de repos accordés aux esclaves, Lor poursuivait son éducation grâce à sa mère, qui transmettait tout le savoir qu’elle avait acquis grâce à d’autres l’ayant précédé. Lor, sa sœur et quelques enfants absorbaient les connaissances comme des éponges, espérant améliorer leurs conditions un jour, là où d’autres avaient déjà perdu espoir. Ces moments furent très apaisants pour le jeune garçon, mais également très révélateur. Là où avant il ne voyait rien, car elle le dissimulait bien, Lor voyait enfin tous les sacrifices que sa mère s’imposait pour ses enfants. Elle n’hésitait jamais à donner ses faibles rations à Meera et Lor, son confort la nuit et bien d’autres. C’est cette vision qui amena le garçon à faire ce qu’il n’avait jamais osé faire avant : voler. Son tout premier vol fut un peu de nourriture et il se fit facilement repérer, prendre, puis corriger par des surveillants. Toutefois, cela s’avéra plus bénéfiques que prévu, car il fut approché par d’autres esclaves, qui comme lui avaient décidés de se tourner vers le vol et qui avait profité de sa pitoyable performance pour s’accaparer un butin bien meilleur. Ils l’intégrèrent dans leur petit groupe et lentement mais sûrement, Lor apprit de nombreuses choses fortes utiles grâce à eux, comme le crochetage, le vol à la tire et autres. Des domaines assez pratiques pour s’emparer de diverses nécessités et qui à travers les années permettrait au jeune homme de prendre les affaires de divers esclaves trop coopératifs avec leurs tourmenteurs. Toutefois, il finit par se séparer du reste du groupe après la mort du chef, car si ce dernier avait de l’éthique et des limites, son successeur n’en avait aucune. Heureusement, il ne croisa plus jamais le chemin du groupe.

Toutefois, grâce à eux, le garçon avait réussi à voler quelques pièces de droïde encore en bon état et fabriqua avec ces dernières un droïde… ou du moins un droïde sur le papier. La création se résumait presque à une paire d’yeux et un vocabulateur. Nommé Spark, le ‘’droïde’’ ne disposait que d’une intelligence très basique, mais ce n’était pas bien grave, au moins cela faisait un peu de compagnie pour le jeune homme. Surtout, c’était le premier droïde qu’il fabriquait par lui-même.

C’est à l’âge de 10 ans que la vie de Lor prit un tournant quelques peu inattendu, mais bienvenue. Pendant jour semblable aux autres, les surveillants ramenèrent un droïde gladiateur pour réparation. La chose était étrange, car ce genre de droïde de valeur aux yeux de leur maitre était normalement confié à des esclaves ayant une plus grande expertise. La couleur fut rapidement annoncée, les experts étaient occupés avec des éléments plus importants et il fallait réparer le droïde avant la fin de la semaine. En cas d’échec, le ou les réparateurs seraient exécutés. Sans hésitation, plusieurs esclaves plus âgés décidèrent de sacrifier Lor dans cette opération. Tout ce que le concerné pouvait faire, c’était travailler, croire en ce qu’il connaissait et espérer. La chance fut de son côté en fin de compte, parvenant à rendre le droïde assez fonctionnel, quelques heures avant la fin du délai. Ce à quoi il ne s’attendait pas, c’est que quelques jours plus tard, des surveillants vinrent le chercher et le transférèrent dans un autre complexe, celui occupé par les meilleures experts esclaves en droïde. Visiblement sa performance avait suffi à démontrer ses aptitudes et valut une forme de promotion. Grâce à cela, sa famille eu droit à des conditions de vie légèrement meilleures qu’avant. Sans parler du fait que ce genre d’esclaves subissaient moins les châtiments que les autres.

L’apprentissage de Lor se poursuivit, se retrouvant affectés avec divers autres esclaves ingénieurs, chacun finissant toutefois par le chasser, refusant de perdre leur temps à former un nouveau venu. Par la force des choses, il se retrouva à travailler seul dans un coin, à proximité d’un wookie, pas franchement amical, mais au moins il n’était pas hostile contrairement aux autres, juste distant et froid.

Les mois s’écoulèrent, Lor cherchant sans cesse à apprendre davantage et obligé de le faire sans aide. Il n’était pas rare qu’il soit l’un des premier arrivés et l’un des derniers à quitter les ateliers à la fin d’une journée de travail. Cela finit par attirer l’attention de son voisin wookie, amenant les premières discussions avec ce dernier, facilité grâce à un droïde protocolaire en attente de réparation. C’est ainsi que Lor apprit que le wookie s’appelait Chrurr et démontrait un mépris envers les autres esclaves de l’atelier. Il n’aimait pas leur attitude passive et presque sans vie, se contentant de travailler, sans rien espérer ou désirer. Lor avait cependant attiré son attention grâce à son travail, non pas mécanique tel un droïde, mais guidé par une véritable passion. Les discussions se poursuivirent avec le temps, le wookie aida le jeune homme à apprendre davantage en cybernétique, ainsi que sa langue, le Shyriiwook. Une amitié se forma peu à peu entre les deux individus, malgré la différence d’âge majeur entre eux, Chrurr dépassant les 180 ans. Ils se rendaient également service mutuellement. Lor volait de la nourriture ou du matériel pour le wookie et ce dernier s’assurait qu’aucun autre esclave ne soit tenté d’agresser le gamin. Une protection qui s’étendit rapidement à la famille de Lor. Grâce à l’aide du wookie et quelques pièces volées ici et là, Lor parvint à améliorer Spark, le dotant d’une véritable intelligence cette fois.

Vers l’âge de 12 ans, le talent du jeune garçon n’était plus à démontrer, ayant surpassé bien des esclaves ayant beaucoup plus d’ancienneté que lui. C’est également vers cet âge que Chrurr lui dévoila un plan d’évasion qu’il mettait tranquillement en place depuis très longtemps. En fait, dès que le wookie en avait l’occasion, il installait un programme personnel aux droïdes qu’il réparait, destiner à déclencher une désactivation par commande vocale. En soit, le plan était simple, rajouter le programme au plus de droïdes possible et attendre une bonne journée pour le déclencher et filer en douce.

Les années se succédèrent, Lor et Chrurr installant le programme dans autant de droïdes qu’ils le pouvaient. Lor continuant d’apprendre et de s’améliorer en cybernétique. Il se retrouva même à se diversifier de manière imprévue. En effet, un surveillant décida d’utiliser ses aptitudes et son statut d’esclave pour se faire un peu de crédits sous la table. Le principe n’était pas très complexe, il faisait venir des individus variés disposant de prothèses cybernétiques, afin que Lor leur fasse un entretien ou les répare selon la situation. Ensuite de quoi, le surveillant empochait les crédits gagnés, à des prix très inférieurs à ceux demander par des experts libres. Le jeune homme n’était cependant pas formé en médecine ce qui s’avéra problématique par moment. Pour éviter d’autres problèmes, le surveillant dégotta quelques ouvrages et datapads médicaux, obligeant Lor a les étudier. Cela fut extrêmement formateur pour le jeune homme. Certes, c’était loin de suffire pour devenir un véritable expert médical, mais c’était un début. Suffisant pour le travail qu’il devait accomplir, tant qu’il ne devait pas procéder à une transformation massive en cyborg. De plus, cela lui apporta assez de connaissance pour offrir des soins médicaux léger à sa famille et les rares amis qu’il avait. Surtout, il fut en mesure de négocier avec le surveillant pour qu’en échange de son travail, ce dernier lui donne un droïde non-fonctionnel. Le surveillant accepta et fournit lui-même le droïde. Le garçon ignore où le surveillant alla le chercher, mais ce dernier fit preuve d’un mélange de négligence et d’incompétence. Le droïde ramené était un vieux modèle de droïde commando. Lor restaura le droïde, avant d’y installer Spark, lui offrant ainsi un corps.

C’est Lorsqu’il atteint l’âge de 15 ans qu’arriva l’évènement qui changerait à jamais la vie de Lor. L’opération Lord_Over avait été lancé et Deysum fut l’une des planètes libérées par les républicains. Lorsque les conflits atteignirent la planète, Lor, sa famille, Spark et Chrurr trouvèrent refuge dans un entrepôt, attendant et espérant le meilleur. Un espoir qui fit son apparition sous la forme d’un équipage de contrebandier de l’APEX, appuyant la république, mais profitant du chaos de la bataille pour faire un peu de pillage en douce. La chance fut particulièrement du côté du quatuor, le capitaine des contrebandiers était un wookie et Chrurr put utiliser ce fait pour le convaincre de les emmener avec eux. Certes, ce n’était pas le plan d’évasion que Chrurr et Lor avaient tentés de mettre place, mais peu importe. Le groupe parvint à rejoindre le vaisseau des contrebandiers sans trop de mal. Toutefois, quitter la planète ne fut pas possible, ils durent plutôt se cacher.

Le groupe resta caché pendant presque une semaine, attendant d’avoir une ouverture dans la défense du consortium pour réussir à fuir. Malgré la situation, Lor mit à profit la situation. Il fit la rencontre du reste de l’équipage de contrebandier, notamment un jawa, Vipp, qui attira fortement son attention, étant le premier jawa que le jeune homme voyait de sa vie. Vint finalement une ouverture que le capitaine décida d’exploiter aussi rapidement que possible. Ils parvinrent à fuir de justesse en hyperespace. Cela ne fut malheureusement pas sans mal. Le vaisseau avait subi de nombreux dégâts pendant la fuite. Lor n’a cependant aucun souvenir de cet affrontement, juste de son réveil dans une infirmerie sur Ruusan, au sein d’un camp de réfugiés mis en place par la république. Le camp était destiné à accueillir tous esclaves ayant réussi à fuir ou sauvé par les forces républicaines. C’est à son réveil que le jeune homme put constater l’ampleur des blessures qu’il avait subies pendant de leur fuite. D’après sa mère, une explosion à bord du vaisseau l’avait atteint. Il y avait perdu bras et œil gauche, sans parler des brûlures sur le corps. Si le bacta et le temps permettraient de faire disparaître les brûlures, il en allait autrement pour ses membres perdus.

Heureusement pour lui, les blessures qu’il avait subies était les seules pertes que Lor avait à déplorer. Sa famille allait bien, Chrurr et Spark également. Ils passèrent plusieurs mois au sein du camps, attendant que vienne la suite des événements. C’est pendant cette période que Lor subit la pose d’un bras et d’un œil cybernétique. Pas du matériel de haute qualité, certes, mais demeurant fonctionnel. Puis, vint la grande annonce, la république avait réussi à libérer Kashyyyk et repousser le consortium éternel. Les réfugiés furent par la suite divisés en trois grands groupes : ceux retournant auprès de leur famille au sein de la république, ceux retournant sur les mondes libérés et ceux n’ayant pas de famille où retourner, ni de monde. Lor et sa famille appartenaient au troisième groupe, préférant ne jamais revoir Deysum de leur vie. Ils furent finalement envoyés sur Kirima, l’un des divers mondes républicains ayant offert d’accueillir les réfugiés. Chrurr retourna sur Kashyyyk pour sa part.

La nouvelle vie de la petite famille pouvait commencer, avec le statut de citoyen de la république et quelques crédits offerts par la république. Lor et sa sœur purent fréquenter une véritable école, rattrapant le retard scolaire que leur avait infligé leur ancienne vie d’esclave. Le jeune homme étudiait avec rigueur et parvint à se trouver un petit emploi dans un commerce de réparation de droïdes. Cet emploi lui permit de récupérer une multitude de pièces de droïdes de combats, lui permettant d’apporter petits à petits des améliorations à Spark. Surtout, grâce à son employeur, il put remplacer son bras cybernétique bon marché par un modèle de bonne qualité.

Une fois son retard scolaire rattrapé et ses études complétés, Lor décida de parfaire ses connaissances médicales. Heureusement pour lui, il n’eut aucun mal à obtenir une bourse d’études et à se lancer ainsi dans le domaine de la médecine pendant les années qui suivirent. Amassant des fonds grâce à son emploi, il fut en mesure de s’acheter son propre astromechano, P3-R5, ainsi qu’un meilleur œil cybernétique. Il possédait désormais un assistant au travail et pour faire des maintenances sur Spark. Les années passèrent sans événement particulier, jusqu’à ce qu’il termine ses études et devienne diplômer en médecine. À peine son diplôme en main, il fut approché par le directeur d’une clinique médicale lui offrant un poste dans son établissement, ce que Lor accepta. Sa carrière médicale débutait enfin, alternant entre clients nécessitant des soins médicaux à des cyborgs nécessitants des soins et de la maintenance. C’est d’ailleurs un de ses patients qui donna une idée à Lor. Il s’agissait d’un cyborg, un mineur ayant transformé sa prothèse de bras pour l’équiper de divers instruments et outils liés à son métier. Le jeune homme travailla longuement avec P3-R5 afin de faire de même, pour son domaine évidemment.

Les années passèrent, Lor atteignant la trentaine fut approché par une vieille connaissance, Vipp. Le jawa avait entendu parler de sa carrière en médecine et lui proposa un peu de travail au noir. Le salaire promit était attrayant et le jeune homme nécessitait des fonds pour quelques projets personnels. Ce fut son entrée au sein de l’APEX, allant avec Vipp dans divers secteurs de Kirima et des mondes environnant pour s’occuper de divers types de patients ou des droïdes. Cela avait son intérêt, permettant au jeune homme de s’exercer plus souvent sur des patients souffrant de blessures diverses, voir nécessitant le remplacement d’une partie de leur anatomie par de la cybernétique. Sans oublier l’entretien et la réparation de divers types de droïdes, passant par des astromécano et allant jusqu’à des droïdes assassins.

Ses aptitudes attirèrent l’attention des supérieurs de Vipp qui firent quelques propositions à Lor, notamment de lui offrir un poste dans les installations de cyborgs de l’APEX. Le jeune homme accepta et passa presque 2 ans dans ces installations.  Cependant, malgré une position élevée au sein des installations, grâce à ses aptitudes, le jeune homme ne se sentait pas satisfait… sa famille lui manquait. Il repartit donc, ne souhaitant ni s’établir indéfiniment à l’autre bout de la galaxie, loin de sa famille, ni obliger sa famille à quitter la république pour s’établir sur les territoires de l’APEX. Toutefois, le jeune homme avait une autre idée en tête. Son idée était simple, ouvrir sa propre enseigne, offrant ses services en tant que médecins experts en cybernétiques. L’APEX pourrait en profiter de deux façons. Tout d’abord, en pouvant envoyer ses hommes et droïdes dans ce coin de la galaxie se refaire une santé sans avoir besoin de se cacher, passant pour des clients normaux. La suivante, utilisé les lieux pour faire transiter des marchandises diverses, dissimulées derrière une entreprise légale, honnête et prospère. L’idée fut rapidement acceptée et l’affaire de Lor lancé, avec l’assistance de Vipp.

Ce que Lor ignorait c’est combien la vie de sa famille avait changé au cours de son absence. En effet, il y avait un nouveau membre parmi eux. Meera avait rencontré quelqu’un et ils avaient eu une fille, Uva, faisant de Lor un oncle. Une fois les dispositions légales terminés, Lor lança sa petite affaire. Vipp se chargeait des finances et de trouver des contrats, tandis que Lor s’occupait des patients et des clients. Le moins qu’on puisse dire, c’est que le jawa était d’une efficacité redoutable. Cela commença par le jeune homme s’occupant de tous les aspects médicaux, mais assister par P3-R5 dans le travail sur les droïdes. Puis, s’ajouta un droïde médecin pour assister Lor et surveiller le bien-être des patients 24 heures sur 24. Ensuite, acquérir un droïde pour effectuer diverses réparations. Venait ensuite un nouvel édifice plus grand que le précédent. En seulement 3 ans, l’entreprise qui avait commencé dans un édifice minuscule se transforma en une entreprise prospère. Désormais, le duo possédait une dizaine de droïdes pour les assister, certains en médecine, d’autres en cybernétique, quatre employés vivants et de la machinerie moderne. Ils ne se contentaient plus de réparer et de soigner, ils pouvaient même fabriquer des droïdes à complexité variable et personnalisable, ainsi que diverses prothèses cybernétiques. Grâce à cela, leur capital augmentait et ils gagnaient un grand nombre de contrats. Certains contrats avec la république, même si bien sûr on parlait de petits contrats en comparaison des sommes monstrueuses traités par les mégacorporation.

À cela s’ajoutait l’accès à une foule d’informations. En effet, avoir accès aux droïdes d’autrui pour procéder à des maintenances avaient ses nombreux avantages. Beaucoup de gens ignoraient la présence des droïdes, se permettant de faire ou dire des choses qu’ils auraient mieux valu conserver secrète. Ainsi, il arrivait parfois de tomber sur des informations de grandes valeurs dans la mémoire de divers droïdes. Information qu’il pouvait ensuite utiliser à son avantage. Heureusement, ses supérieurs de l’APEX lui laissèrent toute liberté sur la question, à condition bien sûr que cela rapporte à l’organisation en fin de compte, d’une manière ou d’une autre. Le jeune homme ne se gênait donc pas pour revendre certaines informations. Toutefois, étant le seul à connaître leur existence, il décidait lui-même ce qu’il utilisait ou faisait disparaître.

Toutefois, ces années ne furent pas sans problème. Lor frôla la mort Lors d’un passage sur un monde républicain. Cela ressemblait à une journée ordinaire Lorsque soudainement débarqua sur son vaisseau un duo d’homme, l’un d’eux gravement blessé. À peine Lor avait-il commencé à prodiguer des soins qu’un nouvel intru fit son apparition, un assassin sith. Sa cible était le nouveau patient du médecin. L’affrontement qui s’en suivit fut violent. Si cela n’avait été de l’intervention fortuite d’un jedi, maître Arsenicia Ombrelune, Lor n’a aucun doute qu’il serait mort ce jour-là. Par contre, Spark frôla de peu la destruction. Cela motiva Lor a rajouté un troisième droïde à son entourage, destiné à affronter les utilisateurs de la Force. Un droïde assassin, qu’il construisit lui-même et nomma Lynch. Le second évènement important était lié à ses activités de contrebande avec l’APEX. De temps à autres, certains des vaisseaux transportant la marchandise se faisait intercepter, par les autorités républicaines, les jedis ou autres.

Vipp fut celui qui trouva une idée intéressante pour éviter ce genre de désagrément. L’idée était assez simple, utiliser un vaisseau médical. Après tout, les autorités auraient peu de chance de soupçonner ce genre de vaisseau. De plus, un vaisseau médical pourrait aller presque n’importe où. Lor aima bien l’idée et ajouta une touche personnelle au concept. Faire du vaisseau, un véritable vaisseau médical et opérer de l’aide médical à travers la galaxie, pour se faire connaître un peu. Ainsi, cela diminuerait davantage les risques d’être accusé de contrebande et ouvrirait plus de portes. Le jeune homme pourrait rester fidèle à son désir d’aider autrui et faire des affaires en même temps. Sans parler de plus grandes opportunités d’obtenir des informations de valeurs.

Récemment, il a toutefois dû se montrer extrêmement actif, afin d’offrir un peu d’aide aux réfugiés wookies, depuis que Kashyyyk fut reconquise par le consortium éternel.


         

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Dernière édition par Lor Soraaj le Mer 13 Sep - 0:37, édité 1 fois
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Mar 12 Sep - 20:48
Re-Re-Bienvenue.

Une fiche de bonne facture dans l'ensemble qui ne contient donc qu'un seul oubli : chaque cyborg doit préciser son type de classe dans la partie cybernétique. Une fois ce petit oubli corrigé, la validation sera assurée.


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Mer 13 Sep - 0:38
C'est fait

Lor Soraaj 1f62d Le succès réussite du premier coup raté à cause de cet oubli
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Lor Soraaj Empty Re: Lor Soraaj

Mer 13 Sep - 1:41
Merci pour la correction.

Ta fiche est désormais validée, amuse toi bien avec ce nouveau personnage.


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