The Empress protects

Equipement :

De tous temps, les Von Adler ont puisé leur inspiration dans les légendes médiévales.

Les sous vêtements sont raffinés et tout de dentelle impériale. L'uniforme sombre, emprunte autant au style autoritaire de l'Empire qu'à une vieille tradition féodale. En effet il est renforcé de pièces d'armure en métal étincelant soigneusement forgées. La poitrine est laissée libre, mais la taille est engoncée dans un corset d'acier, de même que la gorge et les épaules qui sont elles aussi protégées d'élégantes pièces d'armure. Au lieu de l'habituel gantelet de force des Chevalier impériaux, ses mains sont moulées de hauts gants de satin auquels ont été fixées d'élégantes mais meurtrières vibro -griffes à même d'éventrer un plastron renforcé. Elle porte aussi de gracieux talons aiguilles métalliques qui donnent à sa foulée quelque chose de féminin et de séduisant. Parfois elle laisse longues jambes nues, parfois elle se gaine de bas et de jarretelles provocantes mais lorsqu'elle monte au combat elle se protège de cuissardes élégantes. Enfin elle aime à orner ses oreilles de boucles en métal précieux forgée à la gloire de l'aigle bicéphale Von Adler. Un lointain cadeau qui lui a été fait par l'Impératrice afin de la remercier pour ses services.

Son sabre laser est bien plus grand qu'un sabre classique. Sa poignée est faite pour être maniée à deux mains comme une claymore. Elle comporte même un pommeau et une large garde en duracier représentant les ailes déployées d'un aigle (les ailes ne se déploient que lorsque l'arme est en marche). Lorsqu'elle l'active la lame est d'un gris étincelant, mais deux fois plus large qu'une lame classique. Une arme qui pourrait passer pour encombrante en d'autres mains moins habiles que les siennes. Mais elle est habituée à la manier et arrive à la faire virevolter avec des impacts dévastateurs.

Description physique :

Clone née d'une perversion de l'idéologie Impériale

Elle n'est pas née. Mais a été façonnée dans une cuve à gestation clone à partir des gênes de son père. Son père en bon impérial de la vieille école avait toujours été fasciné par la recherche d'une race supérieure. Sorte de stade ultime de l'évolution humaine débarrassé de tous les errements génétique de la procréation naturelle.

Claudia a quelque chose de dérangeant dans son apparence. Trop belle pour être véritablement naturelle.

Elle est un idéal à l'érotisme malsain. Sorte de fantasme façonné de toute pièce. La pâleur d'une ange mais la séduction lascive d'une démone. Si son visage est celui d'une éternelle adolescente, presque d'une enfant aux moues mutines. Ses formes, elles, sont celles d'une femme mure, pleine et charnelle. Sa silhouette semble appeler au désir. Avec son immense chevelure pâle, ses longues jambes, son derme nacré et parfaitement imberbe, sa poitrine opulente, ses hanches amoureuses faites pour être empoignées, et sa taille de guêpe, si fine, qu'il semble lui manquer des côtes.

Sa tenue de Championne Impériale est faite pour la mettre en valeur. Sorte d'uniforme médiéval et fasciste tout de noir et de gris, dont la coupe flatteuse et peu farouche souligne sa silhouette hautaine. Elle joue des codes du fétichisme militariste et de la figure de guerrière légendaire. Jamais sans ses talons et féminins, même sur les champs de bataille, une coquetterie raffinée qui pourrait passer pour ridicule si la jeune fille du fait de son lien avec la force n'était pas d'une agilité hors norme.

Et c'est sans parler de son attitude et de cette stricte éducation. Qu'elle soit d'une vieille maison noble de l'Empire ne fait aucun doute. Elle a autant de confiance en elle, qu'elle peut être condescendante en gestes ou en actes pour ceux qu'elle a sous ses ordres. Cela pourrait presque passer pour du caprice, si toutes ses décisions n'étaient pas motivée par sa seule loyauté au crédo Impérial.

Avec le temps son image angélique est devenue un symbole familier pour les Stormtrooper. Ils gardent des holéoimages d'elle dans leurs casiers et aiment à la peindre en des poses pin-up sur la carlingue de leurs blindés. Un crime de lèse majesté sur lequel elle accepte de fermer les yeux. Consciente qu'en ces temps troublés l'armée à besoin de rêves auquel se raccrocher. Après tout n'est elle pas l'ange de bataille de l'Empire ?

Description mentale :