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Darth Animus [Terminée, 100%] Empty Darth Animus [Terminée, 100%]

Lun 30 Mai - 10:36



Equipement :



Retro-sabre-laser de Darth Animus :

Le premier et le seul sabre-laser de Darth Animus, conçue à une époque ou les sabre-laser était encore une technologie complexe et lourde attaché a une source d'énergie externe.
Néanmoins, il ne resta pas figer dans le temps, le seigneur sith améliora continuellement son arme au fur et à mesure que de nouvelles technologies étaient découvertes et ne ressemble en rien à ce qu'il fut, on pourrait même argumenter qu'il ne s'agit pas du premier sabre d'Animus, puisqu'il ne reste aucune pièce d'origine.
Le sabre-laser se compose ainsi d'une large batterie alimentant l'arme et pouvant même la suralimenter si nécessaire. Cette dernière est reliée au manche par un cordon recouvert d'un tissage au Cortose, un ajout d'Animus pour transformer un point faible en point fort, car ce lien est une cible privilégiée, mais s'il était ciblé par un sabre, il le désactiverait en lieu et place.
Le manche est fait de songsteel plus long qu'un manche ordinaire et forgé de manière fluide et souple donnant au sabre une forme élégante et raffiné. La garde est enfin garnie d'une garde protégeant les mains de l'utilisateur, cette dernière étant divisée en deux parties par le milieu du manche. Une garde supplémentaire, purement décorative se situe à la base de la lame, formant un motif floral creux en arabesque s'enroulant légèrement autour de la lame.

La lame, enfin, est un cas assez unique n'étant pas monochrome, la cause à cela étant les cristaux utilisé, mais aussi le traitement alchimique de l'arme la liant intrinsèquement dans le coté obscur.
La lame possède due à sa grande taille et le manque de cellule d'énergie des sabre-laser plus classique une place accrue pour ses cristaux au nombre de six : le tout premier cristal d'Animus un cristal de Dantari bleu, un cristal de Lignan, un lingot de Barab, un cristal de Qixoni, un cristal synthétique rouge cramoisie et hautement compressé qu'il forgea en tant que sith et le dernier cristal provient d'un de ses propres fruits.
Une des particularités de l'arme offerte par son traitement alchimique est la morsure qu'elle provoque sur la chair, au lieu de ressentir une profonde brûlure l'arme cause un froid intense à la blessure, et même les flammes que peut provoquer la lame à cause du lingot semble froide au premier abord.
La lame est plus "plate" qu'une lame classique à cause de son cristal sith compressé et dû au lingot de barad, la lame compressé a perdu en cohésion donnant à la lame des "flammes" ondulant à sa surface.
Une des particularités de l'arme offerte par son traitement alchimique est la morsure qu'elle provoque sur la chair, au lieu de ressentir une profonde brûlure l'arme cause un froid intense à la blessure, et même les flammes que peut provoquer la lame à cause du lingot semble froide au premier abord.


Amphistaff de Darth Animus :


Comme l'entièreté de la biotechnologie zuguruk hérité des Vongs, les amphistaff de Darth Animus sont des chefs-d’œuvre de bio-ingénierie et d'hybridation. Ces amphistaff sont en réalité conçue à partir de sceptre de pouvoir, une forme particulière d'amphistaff beaucoup plus grande et craint par les amphistaff au point qu'ils refusent le combat contre ces derniers. Ce sceptre de pouvoir a été cultivé durant des siècles, sélectionnant par eugénismes les plus puissants de ses « héritiers » pour produire une espèce plus forte et surtout, le sceptre fut hybridé avec d'autres espèces serpentines pour lui offrir de nouveaux talents. Il fut ainsi métissé avec des Divto, lui offrant trois têtes, chacune étant liée à un cerveau centrale conçue par bio-ingénierie afin d'offrir un intellect unique à l'espèce et avec des serpents d'Arrak le couvrant de plumes autour de ses têtes et de sa queue ainsi que de petites ailes lui permettant un vol faible. L'espèce a aussi développé une collerette comme celle des cobras ainsi que des cornes au niveau de chaque tête.
Ces amphistaff sont souvent enroulé dans les branches d'Animus lorsque celui-ci est sous sa forme d'arbre ou autrement autour de ses bras, de ses tibias et de sa taille sous forme humanoïde. Étant les « rois » des amphistaff, leur poison amélioré par bio-ingénierie et eugénisme est le plus violent de celui des amphistaff et peuvent prendre de nombreuses formes :
-Sous la forme d'un fouet les plumes de la queue restant « souple » pour déchirer la chair.
-Sous la forme d'un trident, les trois têtes formant un triangle équilatéral en haut de la hampe et servant de « pointes ».
-Sous la forme d'une épée double se tenant au milieu de l'animal la queue formant une première lame, les plumes à la base se rapprochant formant une forme d'éventail. La deuxième lame est formée pour les trois têtes se posant les unes sur les autres, collerettes déployées. Chacune des lames se terminant donc par des excroissances larges et plates donnant l'impression de tête de hache rondes posé sur des lames.

Les membres de l’espèce sont ensuite modifiés par le technovirus d'Animus et transformés en un être plus proche de la machine que de l'animal avant de subir un traitement alchimique sith sur l'ensemble de son corps.
Lorsque l'arme est utilisée, le traitement alchimique sith produit une réaction avec la présence dans la Force de son utilisateur, dans le cas d'Animus, la lame s'entoure d'une aura bleu-sombre au bord légèrement rougeoyant sur ses contours semblable a la lame de son sabre-laser.


Orbalisk Skerr Kyrric de Darth Animus :

Armure récemment conçue par Dart Animus, ce prototype unique est une de ses plus grandes réussites. L'armure se compose d'un animal créé par bio-ingénierie nommé « Orbalisk Vonduun », créature hybride des Orbalisks et des crabes Vonduun résultant en des Orbalisks plus « malléable » pour la modification en utilisant les processus Vongs, mais aussi possédant les mêmes glandes de puissances que les crabes vonduun et leur capacité a augmenté la force de leur porteur.
Ce processus d'hybridation n'a pas rendu les Orbalisks inoffensifs néanmoins, cela a été obtenu en les soumettant au techno-virus les rendant parfaitement obéissants à Animus et annulant tout besoin et envie de se nourrir aux orbalisk-vonduun.
À la commande d'Animus, ces orbalisks mécanisé peuvent décharger un cocktail d'agent chimique et notamment d'adrénaline dans l'organisme de leur porteur permettant aussi au porteur de tirer plus de pouvoir du côté obscur. Le techno-virus d'Animus offrant un contrôle parfait et total sur ses orbalisks-vonduun, le cycle de pouvoir du côté obscur n'en est que plus efficace.

Les Orbalisk-vonduun composant l'armure sont accrochés sur une combinaison de laminanium cette dernière laissant la possibilité aux Orbalisk-vonduun de planté leurs crocs dans leur porteur. La combinaison de laminanium a été modifié pour protéger de l'électricité un point faible des orbalisk.

Le casque de l'armure forme un masque élégant, garnis de corne et arborant de nombreux tentacules au niveau de la bouche. Le casque dispose d'un affichage tête-haute donnant des informations en temps réel du champ de bataille, d'un villip pour la communication a très longue distance et d'un système de contrôle sur chaque organisme de l'armure donnant leur donné vitale et assurant une protection optimale de l'armure.

Chaque Orbalisk-vonduun a reçu une modification supplémentaire, des poches situées sous leur carapace et contenant des version amélioré des bactérie présente dans les armures microbienne Barabel. Sous l'effet de la chaleur, les bactéries se multiplient absorbant la chaleur environnante qu'elle vienne de flamme ou d’arme laser.
L'armure dispose aussi d'un générateur de bouclier personnel, technologie rare et relativement oubliée dans la galaxie, mais couramment utilisée par les Zuguruk.

L'armure était accompagnée de nombreux pans de tissus bleu et rouge rappelant les anciennes frasques de la noblesse sith. Les orbalisk-vonduun eux, étaient couvert d'une couche d'aurodium assimilé dans leur carapace et étaient articulé sur la combinaison de laminanium pour rappeler les anciennes armures sith.


Amulettes Toazin :

Porté par Animus depuis des millénaires, ces morceaux de chitine transparents et légèrement décoré ont été conçue en utilisant un nodule de Toazin. Caché dans son écorce, au plus profond de son corps, ces amulettes cache la présence dans la Force d'Animus le rendant impossible a détecter par un sensitif même sous les yeux de ce dernier.


Outillages et armes diverses :

En tant que Zuguruk'ari, Animus dispose en permanence sur lui d'un outillage de conception zuguruk lui permettant de modifier la technologie, comme la biotechnologie notamment d'origines Vongs. Cet outillage est conservé dans son corps et utilisé par de fines branches à rappelant d'une certaine façon les mains de modeleurs vongs.
On retrouve aussi quelques armes diverses notamment un rayon à ion ssi-ruuvi utilisé en dernier pour surprendre un adversaire notamment un jedi ou un sith puisque le rayon paralysant contourne les lames de sabre-laser et sa présence limité à l'empire ssi-ruuk rend les contre-mesures presque inexistantes chez ces derniers.
Animus possède aussi de nombreux grimage ooglith, utilisé pour parfaire ses pouvoirs de métamorphose lorsque ce dernier atteint ses limites en termes d'apparences.


Droïde utilitaire de classe ZGK-1, dit "Nwit'wo" :

Premier modèle de classe ZGK-1, Nwit'wo soit "Le Petit" en langage sith est un droïde personnel d'Animus depuis quelques siècles, bien que n'étant pas le seul de sa série, ni le seul au côté d'Animus, il en est le plus proche et l'un des seuls à avoir survécu en une seule pièce depuis le grand conflit.
Les droïdes de classe ZGK-1 rappellent très fortement les droïdes de classes DRK-1 dont ils sont très fortement inspirés, l'abréviation ZGK rappelant celle des seconds tout en étant une contraction du mot sith Zuguruk. Ils ressemblent ainsi à de petites sphères noires et complètement lissent, couvertes de plusieurs panneaux amovibles, ces derniers se déplaçant pour laisser passer les nombreux tentacules métalliques servant de membres au droïde.
Ces droïdes de classe utilitaire sont autrement modifiable et peuvent entretenir de nombreux rôle, parfois comme statut principal, parfois comme simple assistant. Certains sont ainsi équipés pour servir de réparateur, d'autres de droïdes médicale ou encore protocolaire et presque tous possède quelques fonctions en plus de la principale visant à les rendre polyvalent. Certains sont ainsi équipés comme droïde astromécanicien, avec quelques outils médicaux pour opérer des soins d'urgences.

Nwit'wo quant à lui est un droïdes assistant pour Animus, servant de droïde protocolaire pour traduire la langue sith qu'il emploie comme presque seul langage dans le Consortium et permettre à ceux ne la pratiquant pas de converser avec lui.
Il dispose d'outils lui permettant d'opérer des actes de réparations ou de constructions, tout comme servir à la défense personnelle comprenant notamment : une vibro-scie, une perceuse à impulsion d'onde, un projecteur de carbonite, un lance-flamme, un lanceur de dard, un micro-lance-grenade, comme le DRK-1 dont il est inspiré et quelques autres outils faisant de lui une petite sentinelle.
Le droïde est équipé d'un basal dovin mécanisé par le mechu deru utilisé comme un rayon tracteur miniature, incapable de soulever de lourdes charges pour néanmoins très utile et pouvant offrir une forme de défense rudimentaire.
Le droïde, enfin, est composé de laminanium lui permettant de s'auto-réparer et dispose de nombreux photorécepteurs répartie sur son corps lui donnant une vision à 360° constante.


Mutation 1 : Panthère-mante

Le premier de tous les être créé par Animus fut cette chose, un croisement alchimique entre un laigrek et un maalraas, en tout cas, c'est ce que fut cette création au début, avant sa découverte et l'ajout a cette dernière du matériel génétique des wolvkil Vagaari.
En l'état actuel, les "panthère-mante" de Darth Animus ressemblent a des maalraas couvert d'écailles chitineuses aux yeux rouge sang et composé comme ceux des laigreks. Leur peau est d'une couleur indigo et leurs écailles bleu-sombre couvre l'entièreté de leur corps fin ressemblant a celui d'un félin à la tête large et dont la gueule dévoile d'immenses dents dépassant de ses mâchoires. Ces immenses dents sont néanmoins couvertes par deux grandes mandibules aidant l'animal à s'agripper à ses proies.
Son corps, mesurant dans les deux mètres, est fin et musclé se terminant par deux longues queues utilisées parfois comme fouet, mais principalement pour aider à l'équilibre de l'animal et dans une moindre mesure comme gouvernail lorsque l'animal cours.
Les pattes de l'animal au nombre de huit se regroupent en pair de quatre à l'avant et l'arrière de la créature et se termines par un ensemble de griffes puissantes lui offrant de bonne capacité d'escalade.
Pour terminer sur le physique de l'animal, à la place des épaules se trouvent un long bras se terminant par un appendice en forme de faux, utilisé pour trancher ou se planter dans une victime ayant la malchance d'avoir croisé la route de l'animal.

Concernant les autres atouts de l'animal, on peut citer qu'il a hérité des maalraas des écailles solide, capable de refléter les tirs de blaster dans une certaine mesure ou encore de devenir invisible grâce à la Force. Des Wolvkil, il a gagné une grande vitesse d'action et des organes décentralisé rendant la plupart des coups "mortels" pour une espèce normale inefficace pour l'abattre en une seule fois. Et enfin des laigreks, il a hérité d'une fabuleuse résistance à la chaleur et la capacité de craché un jet de flamme.

Dans son comportement, l'animal est étonnement social, c'est un prédateur vivant en groupe un trait provenant probablement de sa physiologie laigreks et ces derniers sont des chasseurs en groupe mortel et discret.
Ils font des animaux de compagnie apprécier par les utilisateurs du côté obscur et sont commun au sein du Zugurukajak.
Il existe des spécimens de taille plus réduite mesurant un mètre pour les plus grands et porté sur les épaules et autour du cou comme les wolvfil dont ils partagent les gènes.


Mutation 2 : Heptapode

Une création très récente d'Animus puisqu'il a conçu ces créatures après la guerre des vongs en utilisant un de leur spécimen les plus particulier, les Crache-Feu.
Mesurant plus de 12 mètres de hauteur et possédant une patte supplémentaire pour un total de sept, ce qui donna leur nom, les Heptapodes sont une arme de soutiens lourde pour Animus et ses forces. Un lourd corps de forme ovoïde, sept pattes se terminant chacune par quatre doigts griffus opposés en forme de croix.
Ces créatures sont des chefs-d'œuvre d'Animus, créer sur mesure et chacun reçoit le "cadeau" du Mechu Deru Vitae, couvrant leur corps de métal et les transformant en être biomécanique.
En terme de biologie, l'alchimie eut pour effet d'accentuer la puissante de leur flamme et la pression de leur jet. Ils sont ainsi capables de projeter un jet de liquide enflammé sur une distance plus importante et la couleur de ces flammes et d'un blanc-bleuté capable de faire fondre du duracier sans problème.
Un autre effet de l'alchimie a été d'hypertrophier la glande générant leur aérosol anti-laser, leur permettant d'en dégager une quantité plus importante et concentré les protégeant efficacement de l'armement laser ainsi que leur entourage.

Le Mechu Deru Vitae a été utilisé sur eux pour en faire de puissant cyborgs connecté a un ensemble d'appareils augmentant leur létalité. Chacun est équipé ainsi de Basal Dovin, leur offrant une capacité de vol limité leur donnant l'apparence de gigantesque droïde sonde et servant aussi de bouclier dans une moindre mesure. Un système de bouclier plus conventionnel semblable ceux des chasseurs est équipé sur le droïde, ces boucliers bloquant les attaques d'énergie, mais avant tout physique.
La créature est équipée de deux mandibule-laser, inspiré des Terror Walker, lui permettant de se frayer un chemin à travers des bâtiments, portes et murs en tout genre.
Au centre de chacune de ses pattes a été installée une version améliorée des béliers Squibs permettant à l'Heptapode de repousser des véhicules ou d'enfoncer des blindages, notamment ceux affaiblis et pré-découpés par ses mandibules laser.
Enfin, la peau métallique de la créature a été améliorée avec du Laminanium, offrant une forme d'auto-réparation limité à la créature.


Mutation 3 : Hydre-guêpe

L'idée de créer une telle monstruosité a germé dans l'esprit d'Animus il y a quelques millénaires, mais ce n'est que "récemment" qu'il parvint à assouvir ce désir de création.
Conçue en utilisant des œufs très rares de Guêpe Colosse d'Ithull, ces créatures draconiennes ont été pensé en miroir aux Wyrms sith utilisant des larves d'Exogorth. Les Guêpes Colosse sont connues pour être l'un des seuls, si ce n'est le seul prédateur naturel aux Exogorth.
Les œufs sont modifiés par l'alchimie sith avant même la naissance de la créature, modifiant profondément la larve qui en naîtra et en faisant une créature dangereuse avant même d'atteindre l'âge adulte.
Dans sa taille adulte, l'Hydre-guêpe est une créature de plus d'un kilomètre de long, couvert d'une carapace d'écaille chitineuse et disposant de trois têtes. Ses six pattes articulées se terminent par des pattes griffues et ses ailes sont divisées en deux lobes pour les paires supérieures et trois pour la paire inférieure, donnant l'impression que l'animal dispose de cinq ailes de chaque côté du corps.
Son son thorax large se poursuit par un abdomen d'abord fin semblable à une courte queue se terminant par une boursouflure aiguisé d'un dard.
Ses têtes, quant à elle, sont reliées au corps par de longs cous leur offrant une grande mobilité, elles arborent de longues cornes et deux grands yeux composés. Leur gueule reptilienne est garnie de chaque côté de deux paires de mandibules acérées.

La créature immense est capable de projeter un puissant jet de plasma par ses gueules prenant la forme de jets enflammé rappelant en apparence les projections d'une éruption solaire.

Pour s'assurer leur fidélité, Animus les soumet toute une fois adulte à son technovirus faisant d'eux des créatures biomécanique totalement fidèle et améliorable par l'utilisation de nombreuses technologie. Ceci inclut l'ajout de bouclier, de Basal Dovin ou d'arme de point de défense contrôler par une IA.

           

Description physique :



Onirique et étrange son sûrement les premiers mots venant à l'esprit pour tous ceux qui observent le Neti sous son étrange apparence d'arbre. Si dans sa jeunesse il ne ressemblait qu'à un tronc couvert d'un amas de lianes et de branches ses expériences sur son propre corps le rendirent différent de tout autre Neti.
Son corps, haut de plus de 6 mètre, taille imposante même pour un Neti, est lisse, comme du verre ou du cristal et d'une couleur bleue à la fois sombre et intense donnant comme l'impression que son corps a été taillée dans le saphir. Son corps émet aussi une légère et douce lumière bleutée, un héritage de ses expériences sur son propre être avec les arbres Bafforr.
De sa cime, pendent de longue branche couverte de longue feuilles blanches lui donnant l'apparence d'un saule pleureur d'un autre monde. Le blanc de ses feuilles est profond, presque mystique puisque les feuilles émettant une légère lueur gardent ce blanc en tout instant et toute occasion.
Son corps de verre est couvert de tracés dorés, d'ancien tatouage sith qui plutôt que d'être tracé en noir l'ont été en or à la façon de la secte d'Animus. Ils s'étendent sur une large portion de son tronc et remontent pour certains jusqu'à la base de certains de ses branches sans les recouvrir pour autant.

Bien que son apparence d'arbre puisse se mouvoir, dans les premiers jours de sa vie, Animus comprit rapidement l'intérêt et le besoin d'apparaître sous une forme humanoïde. Bien que peu utilisé aujourd'hui par le seigneur sith, cette apparence a aujourd'hui une forme d'apparat ou encore une utilité martiale.
Sous cette forme, il apparaît avec un physique humanoïde rappelant l'ancienne race des sith et plus particulièrement ceux de la caste des zuguruk. Un corps de deux mètres de haut, une peau d'écorce tout aussi lisse que dans sa véritable forme et du même bleu scintillant, deux jambes aux pieds tridactyles ayant chacun deux orteils orientés vers l'avant et un vers l'arrière. Ses bras se terminent eux par des mains à six doigts dont deux pouces et bien qu'il apparaisse avec deux bras la majorité du temps, il lui est arrivé d'en utiliser un nombre plus important en certaines occasions.
Son visage apparaît lisse avec une bosse en lieu et place de nez percé de deux fentes, une barbe de racines-tentacules dépasse de sa mâchoire inférieur reposant sur un tapis de feuille blanche formant comme une barbe sur son étrange faciès arrivant jusqu'en dessous de son torse.
Ses yeux sont surplombés d'une longue excroissance pointue dépassant de ses arcades sourcilières et présente des teintes et des couleurs étranges. Ces derniers étant des Mqaaq'it, un implant biologique remplaçant ses yeux, tranche avec cet être aux teintes monochromes et froides. Ces yeux passent de diverses couleurs chaudes et vives à froides et ternes, ondulant aux rythmes des pensées et de la volonté de leur possesseur.
Enfin, en lieu et place de chevelure les feuilles tombant de ses branches couvre son crâne tombant jusqu'à touché ses cuisses et remplaçant chaque mèche de cheveux par de longues feuilles blanches laissant entrevoir quelques fois les branches sur lesquels elles sont attaché sous ce treillis feuillue.
Sous cette forme d'apparat, Animus s'habille de vêtement sith de la très vieil noblesse de Korriban. Ses vêtements sont dans les teintes bleues ou rouges, décorés de détail doré et de bijoux divers comme des colliers, bracelets ou encore des bagues porté sur chacun de ses doigts.

Sous son apparence de Mahaaraka, il apparaît sous la forme d'une chiss ou plutôt de ce qui s'en rapproche, arborant un visage fin, un nez, pour être plus facilement accepté dans la population humanoïde de l'empire. Sa peau est du même bleu que son écorce et ses yeux d'un rouge profond comme ceux des chiss, produit par ses implants m'qaaq'it. Ses cheveux sont toujours un amas de feuilles blanches, tressé et coiffé pour rappeler quelques coiffures chiss.
Son apparence ne cache ainsi pas sa nature de Neti, mais tend à se rapprocher de celles des chiss afin de se faire accepter au sein de l'empire et de montrer son faux sentiment d'adoration du peuple chiss.
Sous cette forme, sa tenue vestimentaire est simple, d'origine Chiss arborant quelques bijoux pour rappeler son statut, mais sans être trop ostentatoire.

Et dans son identité de Siamash, il apparaît sous l'apparence d'un revwien bleu à la base de son tronc se trouvaient onze longues feuilles blanches servant de jambes et de bras, se terminant chacune par deux longs brins utilisé comme des doigts. En haut de son tronc centrales, se trouvaient de nombreuses petites feuilles blanches presque lumineuse. Au-dessus de ces courtes feuilles, se trouvait un bulbe large couvert d'excroissance étant pour plusieurs d'entre-elles des m'qaaq'it et servant donc d'yeux à Animus.
Sous cette forme, il ne porte pas de vraie vêtement à l'instar des Revwien, se contentant d'un drapé autour de son tronc maintenu en diagonale en haut de celui-ci. Ce drapé est recouvert d'une ceinture au centre du tronc, arborant une amulette de Tyia doré, couverte de quatre opales et d'une pierre de Jade taillé en croissant, le cristal central et l'amulette elle-même, semblant avoir été brisé et ressoudé, une fausse histoire pour asseoir la légitimité de cette apparence. De nombreux bijoux, bagues, bracelets et autre collier viennent parfaire son apparence de riche maître d'organisation au sein de l'APEX.

             

Description mentale :


Secret et mystérieux sont les premiers mots venant à l'esprit de quiconque penserait à Darth Animus. De tous les sith il est très sûrement le plus vieux encore en vie et pourtant, certains ignoraient son existence quelques décennies auparavant. Car Animus ne recherche pas une quelconque forme de gloire ou d'adoration, ou plutôt, il ne la recherche que de ceux qu'il juge digne de l'adorer.
Animus est un être profondément secret et paranoïaque et pour lui seul ceux capable d'apprécier son travail méritent de le connaître plus amplement, expliquant sa discrétion dans le monde des sith. Il ne s'intéresse qu'à ceux démontrant un talent inné pour la Force, de grandes compétences en sciences et plus particulièrement, ceux qui combinent ces deux choses en une seule forme d'art.

Discret, il n'est pas néanmoins invisible, si peu de sith en bas de l'échelle sociale connaissent son existence, ceux de plus haut rang ont très certainement entendus son nom comme une sorte de mythe vivant, une relique d'un passé honnis. Un mythe veillant sur les sith, mais pas en tant que protecteur physique, mais spirituel, il veille à ce que le savoir, les traditions et l'héritage sith perdurent ayant vue les sith se détruire entre eux, il sait très bien comment ces traditions peuvent être vacillantes.
Animus, en effet, tient en effet les traditions sith et se montre intransigeant avec ceux refusant de les appliquer comme elle le devrait, même si lui-même outrepasse ces même règle, il fait en sorte que ce fait ne soit connue que de lui seul. Comme en témoigne la base de données personnelles qu'il possède comportant les noms et l'histoire de tous ceux ayant été effacé de l'histoire sith après un Kaggath échoué.

Animus possède un défaut majeur, ou plutôt une faille ... C'est un collectionneur, de tout et de rien, chaque chose unique, impossible à reproduire est pour lui un objet de collection qu'il faut préserver et qu'il doit donc posséder. Cela ne s'arrête pas a l'art, des sabre-laser aux droïdes en passant par le génome de diverses espèces.
Tout ce qui est unique est précieux pour lui et donc une monnaie d'échange intéressante pour ceux qui souhaiterait ses services.

Terriblement paranoïaque, Animus n'a confiance en rien n'y personne, les être de chair et de sang peuvent trahir et leur pensé lut dans la Force si l'on en a le talent. Quant aux machines, un pirate assez doué pour passer à travers n'importe quelle barrière. Cette paranoïa aiguë, presque maladive a probablement été créée par ses millénaires de vie dans la culture sith, emprunte de trahison et comment l'empire sith s'est plusieurs fois auto-détruit.

Concernant son affiliation récente avec le Consortium Éternel, Animus est à la fois présent et distant. Une grande partie du fonctionnement, des travaux, et même des bases de sa secte étant caché des sith, le Consortium n'y a encore moins accès. Il réprouve aussi l'alliance des sith avec le Consortium, car c'est ainsi qu'il voit les choses. Le Consortium est dirigé par une sith très puissante certes, mais elle place son peuple sur un pied d'égalité avec les sith et cela ne lui convient pas. Il tait bien sûr ce fait, la reine d'Hapès n'a aucunement besoin de savoir cela, ni même les sith qui lui serait plus fidèle qu'à leur propre ordre.
Il éprouve néanmoins un respect certains pour la reine, elle a su usé de talent pour concevoir un empire sith puissant qui n'a pas été revue depuis le One Sith de Darth Krayt et continue encore aujourd'hui de s'imposer en reine et chef des sith sans que ni l'un, ni l'autre n'ait tenté d'action à son encontre, ou plutôt des actions réussi. Il espère qu'un jour, les sith reprenne leur vrai place de dirigeant de la galaxie aux mains d'un sith'ari digne, que ce soit la reine du Consortium, ou bien la personne qui se hissera au-dessus d'elle.

Animus en effet cherche depuis toujours le légendaire Sith'ari et c'est une des raisons de son refus de gouverner les sith, mais simplement d'agir en conseiller d'un chef fort. Il sait qu'il n'est pas le Sith'ari légendaire et espère un jour qu'il apparaîtra et donnera à la galaxie la "paix" qu'elle mérite sous la dominance sith.
Et aujourd'hui, il voit plus que jamais en Darth Ankh ce Sith'ari légendaire, Cao Ang avait gagné un grand respect de la part d'Animus et lui rappelait Darth Vitiate, le sith le plus proche d'être le Sith'ari selon Animus. Et c'est à cause de cela qu'il voit les actions de Darth Ankh avec autant d'amertume.
Car elle ne peut pas être le Sith'ari, si les sith ne sont qu'une faction comme une autre dans son empire et tant qu'Hapès aura autant d'importance dans le Consortium que les sith eux-mêmes, l'avenir des sith ne peut être assuré.

Concernant son lien avec le côté obscur, Animus fait partie de ceux qui l'ont parfaitement embrassé et non pas qui y ont sombré. Il a épousé les arts noirs pour le savoir et pour ce qu'ils offraient de plus pour délier les lois de l'univers. Il réprouve les actes irréfléchis de pure colère ou de peur et n'y puise aucunement son propre pouvoir, il le tirerait plutôt de son intense et profonde dépravation.
Pour beaucoup de sith, cela peut être vu comme une sorte d'hérésie et un appel à la faiblesse, mais il n'a pas besoin de la colère et des actions qui en découle. Cela se voit même jusque dans son style de combat au sabre, bien qu'il soit un utilisateur du Juyo, sa technique est plus proche du Vaapad bien que clairement différent. Plutôt que de succombé a ses basses pulsions, il accepte la noirceur avec un calme froid et méthodique, un style particulier pour un seigneur sith, mais néanmoins dangereux.

Animus possède en effet encore de vieux reste de son premier enseignement en tant que jedi. Une époque reculé où il défendait des idéaux de justices et d'équités, idéaux bafoué par ses pairs lorsqu'ils s'imprégnèrent d'ancien rites et pouvoir et qui lui valurent le bannissement.
Il en garda néanmoins quelques traces aujourd'hui, bien qu'il ait épousé les arts noirs et le coté obscur, il défend encore certains idéaux que l'on pourrait considérer comme non-sith se reflétant dans sa secte. Il s'oppose à l'individualisme et récompense le groupe, il punit sévèrement la trahison, mais récompense la loyauté et la fidélité.
Il ne tue pas par plaisir, par envie, mais par nécessité, il n'a aucun problème à voir des milliers de personnes mourir si cela sert ses intérêts, mais n'a aucune volonté de tuer si cela ne sert pas.


         
         

Histoire :



[-7.200 à -6.900]

C'était il y a longtemps que je naquis, très longtemps, un temps ou ma race, bien que rare n'avait pas été décimé à ce point, nous étions rare, mais nous n'étions pas simplement des légendes.
Je suis né ainsi, aux alentours de l'an 7200 Avant la Bataille de Yavin, une époque que même les plus anciens de ma race ont du mal à se souvenir, s'il existe un Neti aussi vieux que moi cela va de soit ... Une date imprécise au possible, car le temps passe différemment pour ma race, les jours ne sont pas pareil lorsque l'on est enraciné dans le sol a profité du soleil et de ses bienfaits.
Naitre est même un mot plus qu'inexact dans mon cas, car je ne parle pas de ma naissance en tant que graine, mais plutôt de ma naissance psychique, de ma prise de conscience du monde et du début de mes pérégrinations cognitives.

Sur Myrkr, la planète d'origine de mon peuple, des colons humains vivaient depuis presque la découverte de ce monde, mais quel monde ? Un monde où de petits lézards pour survivre étaient capables de créer un "vide" dans la force, où des prédateurs l'utilisaient pour se repérer et où la flore avait une telle densité de métaux dans leur corps que les scanner étaient presque tous inutile.
À l'époque, j'avais déjà montré une passion pour le savoir et les sciences, toute cette technologie amenée ici par les humains, leurs vaisseaux qui leur permettaient à eux et à certains d'entre nous d'explorer les myriades d'étoiles de la galaxie !
C'est du fait de cette proximité avec les humains de mon monde natal et de leur culture que je fus remarqué par les jedi, j'en avais déjà entendus des histoires, mais jamais rencontré en vrai. Myrkr était un monde de la bordure extérieur peu visité, hormis par quelques fugitifs voulant profité de sa faune et de sa flore pour disparaître littéralement des radars.
C'est un de ces événements qui provoqua ma rencontre avec un chevalier jedi et en tant que Neti, j'étais à l'aise da la nature inviolée de Myrkr et connaissait ses dangers. Le plus étrange de ceux-ci furent les Ysalamiri, bien que j'avais l'habitude de leur présence et de leur aura, la jedi m'accompagnant en rencontrait pour la première fois et cela fut un choc pour lui d'observer et de ressentir un endroit sans la Force.

L'appréhension du suspect a été étonnement rapide, n'étant pas habitué à la jungle dense de Myrkr et ne connaissant pas les capacités des Ysalamiri, il fuyait dans la jungle à l'aveugle depuis quelques jours.
Au contraire, la jedi m'accompagnant avait lui bénéficier d'un local connaissant la faune et la flore et il m'était aisé de voir par où était passé le fuyard. Lorsqu'il fut retrouvé, il tenta bien sûr de se défendre et j'étais confronté pour la première fois à un véritable "danger". Bien loin des petites frappes que les locaux pouvaient fournir, il s'agissait là d'un alien dont je ne connaissais rien et avec un armement dont j'ignorais l'existence jusqu'alors.
Mais le combat fut rapide, la jedi dégaina son sabre, la bataille qui s'ensuivit fut courte, le rayon tiré par l'alien fut repoussé par l'arme du jedi puis fut repoussé par ... Rien ?
La jedi avait usé de la force, bousculant l'être avec la Force, lui faisant percuter l'arbre derrière lui, mais il ne lâcha pas l'affaire. Alors je fis en sorte que les branches et racines de l'arbre poussent et s'enroule autour de lui, ce fut rapide et discret et alors qu'il se concentrait sur la jedi, il fut surpris de tirer en l'air, les bras et jambes bloquées.

C'était la première fois que je voyais un jedi, un sabre-laser et un être entraîné aux arts de la Force... Et cela finirait pourtant par devenir ma vie et mon quotidien.

En effet, la jedi étonné par mon action, m'expliqua que ce geste anodin pour moi, que j'avais appris à réaliser lors de ma vie en forêt était une expression but de la Force, un usage conscient et une preuve de ma sensibilité à celle-ci.
Elle m'enjoigna alors à le suivre, a m'entraîner en tant que jedi et d'appliquer la justice dans la galaxie. Il s'agissait d'un choix difficile, car en quelques décennies, je n'avais jamais quitté la planète où j'avais grandi, au maximum, j'étais déjà allé en orbite pour réparer un vaisseau dont le moteur endommagé ne lui permettait pas d'atterrir sans risquer l'explosion pure et simple de l'appareil sur le sol. Mais ici ... Il s'agissait de voyager non pas en dehors de mon monde seulement, mais de son système, quitter ceux que j'avais connue ici, mon peuple ...

Mais tout comme je fus attiré dans les colonies humaines par ma curiosité, par ma fascination de leur technique et de leur science, mon choix fut pris et j'embarquais avec la jedi que j'avais rencontré quelques jours auparavant pour le grand temple jedi d'Ossus où je vivrais pour de nombreuses années.

Ma vie dans le temple et mon entraînement au sein de l'ordre furent assez monotones, je démontrais néanmoins une curiosité profonde pour ce que la Force pouvait offrir et permettre et je passais de longs moments au sein de la bibliothèque d'Ossus.
La jedi qui m'avait amené au temple resta proche de moi, et devint même mon maître lorsque j'eus fini mes classes. Je ne l'ai pas encore mentionné, mais elle se nommait Mahaaraka et était une Frozienne et ensemble elle m'en apprit plus sur la Galaxie et la Force.
Finalement, je devins chevalier à mon tour après plusieurs années sous la tutelle de Mahaaraka, je pris la voie des gardiens du savoir, devenant un historien jedi.

Bien sûr, je n'étais pas un simple historien perdu dans la bibliothèque a conserver des holocrons. Ma curiosité sans limite me poussait toujours a travailler avec les machines sur mon temps libre, mais aussi a l'étude du vivant. À l'époque, cela n'était rien de plus qu'un recensement des espèces de la galaxie, rien de plus, rien comparé a mon travail dans les jours actuels.
Le siècle qui s'ensuivit fut calme, quelques missions confié par l'ordre, mais le gros de mon travail était l'archivage de nouvelles connaissance et l'enseignement aux initiés. Bien que j'admirais les sabre-laser, je n'étais pas un bretteur hors norme, dans la moyenne tout a mieux. L'apprentissage que je fournissais était spirituel, je leur offrais des connaissances techniques et je leur apprenais à user de la Force, un domaine où j'excellais bien plus.
Mahaaraka, elle, s'éteignit durant ce siècle, mourant de sa belle mort, les froziens avait une vie courte et bien que la Force lui ait offert une santé plus admirable qu'à ses congénères, elle ne pouvait défier la mort. J'étais profondément touché par son décès, bien que cela soit contraire au code jedi, j'acceptais ce fait bien sûr, mais perdre quelqu'un de si proche, mon mentor et amie, était un poids lourd sur mes épaules.

Cela me poussa plus encore dans mes études, dans mes recherches, dans la Force elle-même. J'étais un Neti, ma race vivait longtemps et je n'avais jamais entendu parler de Neti mort par l'âge sur mon monde, cela pouvait-il même arriver ? Les arbres meurent à cause de leur taille, un jour, leur sève ne parvient pas à remonter leur tronc après un hiver, puis c'est la fin pour eux. Mais ma croissance était terminée, allais-je encore grandir et un jour simplement m'étendre comme un arbre quelconque ?

Je découvris ainsi plus avant l'histoire de la galaxie, le temps est cyclique, il y a toujours un temps calme avant que l'ouragan ne vienne à hurler ...
Tout comme j'avais appris comment la république avait fait face à un chancelier fou et son ordre religieux de Pius Dea, une autre guerre religieuse s'ensuivit quelques millénaires après bousculés la galaxie.
Plus courte néanmoins, la Révolte de Waymancy, ou un groupe pseudo-religieux décida de s'émanciper de la République. Et ils auraient presque pu, car leur technologie était plus puissante que toute autre, leurs turbolaser tirait plus vite, leurs boucliers était plus résistant, leurs moteurs plus rapides.
Les jedi eurent un impact faible sur ce conflit, mais il m'avait profondément touché, comment ce groupuscule avait dépasser la République ? Comment la République, avec ses moyens avaient été dépassé par une faction si petite ?
Cela s'était passé presque 500 ans avant que je ne m'éveil sur Myrkr, et pourtant cela m'affecta d'une certaine façon.

Je me suis encore plus enfermé dans mes études dès lors, peut-être que si un groupe si petit avait pu dépasser la technologie actuelle de la République, peut-être pourrais-je l'améliorer moi aussi ? C'est alors, en étudiant des holocrons d'un âge ancien, d'avant l'ordre jedi même, lorsqu'il était l'ordre Jee'dai sur Tython que je fis ma plus grande découverte.
Je découvris des arcanes anciennes que l'ordre jedi avait abandonné et caché. Comment d'ancien jedi pouvait utiliser la Force pour tordre le vivant, infusé des objets avec l'essence même de la Force.

Je m'abandonnais alors dans le secret à ces pratiques, cherchant comment la maîtrise de la Force pouvait permettre de briser les lois de l'univers. Avec de tels pouvoir, nous pourrions sauver des vies, protéger plus de gens dans l'univers !
Je développais alors dans le secret, des études sur le vivant, sur les machines, sur la mécanique et l'électronique. Tous ces pouvoirs, tout ce que la Force pouvait offrir, pourquoi le cacher ? Pourquoi l'assimilé à la Légion de Lettow et au coté obscur ?!
Une fois mes projets terminés, je pourrais les dévoiler au conseil, à la République, nous pourrons assurer la sécurité de mondes entiers, améliorer les corps des citoyens et des jedi, assurer une vie meilleure en somme.

Et d'autres le découvrir, d'autres expérimentèrent, d'autres développèrent, je n'étais plus seul. Et c'est en 7 003 avant la bataille de Yavin que les leaders auto-proclamés de ce groupe se déclarèrent indépendants de l'ordre jedi. Je les avais rejoints avant, je ne cherchais pas la gloire, je ne voulais pas diriger, mais je pouvais enseigner, ensemble, nous pourrons mieux protéger la galaxie !
Mais l'ordre n'était pas de cet avis, ils nous déclarèrent corrompus et en 7 000 une guerre éclata. C'est alors que je compris mon erreur, car beaucoup de mes désormais confrère était bel est bien poussé par des actions égoïstes, par des pulsions violentes.
Mais il était trop tard pour moi, j'étais un ennemi de l'ordre, et même sans cela, mes études et recherches aurait fait de moi leur ennemi tant ils étaient étroits d'esprit, ils n'auraient jamais accepté mes recherches et partager mon but ...

Les jedi noirs, comme ils furent nommés, mon clan, démontra un usage inventif de la Force, des créatures modifiés, des morts réanimés. Mais malgré tout, notre nombre fit défaut face aux jedi et a la république.
Dans les derniers instants de la guerre, nos plus belles créations, les Léviathans, développer par Sorzus Syn furent déployer face à nos ennemis !
Mais même ces mastodontes ne furent pas suffisants lorsque les jedi et la république bombardèrent Corbos, notre dernier bastion ...
Nous avions échoué.

Tout ce qui restait de nous fut entassé dans un vaisseau et envoyer se perdre dans des régions inexplorées dans l'espoir que nos vies et notre volonté s'éteignent ...
Mais en réalité, ils nous avaient donné un avenir. Un avenir qui serait plus glorieux que tout ce que nous aurions pu réaliser sans cette défaite.
À bord de nos vaisseaux, nous allions découvrir une planète inconnue de la République, poussée par des mythes et des contes d'un ancien empire, guidé en partie par Sorzus, nous allions découvrir Korriban.


[-6.900 à -5.000]

Nous pouvions tous ressentir la puissance dans la Force de cette planète et de son peuple, une puissance dans le côté obscur.
En atterrissant, nous avons découvert ce peuple étranger, qu'aucun de nous n'avait jamais rencontré avant. Et pourtant, durant mes études, j'en avais déjà rencontré, tout comme Sorzus avait découvert Korriban, j'avais déjà vu un tel spécimen. Cela datait de l'époque des Jee'dai de Tython néanmoins et ils avaient tous disparus après le Premier Schisme.
Bien que nous ayons été accueillis avec méfiance, nous avions néanmoins été accueillis par ce peuple et leur roi.
Et alors que j'étais encore attaché a certains de mes principes jedi, car je n'avais pas sombré comme les autres, certains eux avaient sombré dans la violence et le machiavélisme. Ils ont comploté au côté de la Main du roi et ensemble l'ont tué, ils nous ont élevé a un statut quasi-divin pour les locaux et Ajunta Pall est devenus notre seigneur auto-proclamé.

Mais je ne répondrais pas d'eux, je n'en avais pas l'envie et c'était à cause d'eux si j'étais condamné à ... Ça ! J'étais un jedi talentueux, un historien reconnus, le plus grand seigneur de la bibliothèque d'Ossus, maître de TOUS ses holocrons et maintenant, j'étais un exilé sur une planète sans saveur !
Mais finalement, je délaissais ma colère avec le temps, je laissais ça aux simples d'esprit et à ceux des exilés qui n'avait survécu que par chance. J'étais ici, coincé, mais j'étais un dieu et si les Kissai ne parlaient que d'Ajunta Pall alors je trouverais d'autres sith plus proche de mes convictions ... Et je les ai trouvés en la présence des Zuguruk.
J'étais le plus grand ingénieur et scientifique de tous ces exilés, seul Sorzus partageait ma vision et d'autres comme Karkness Muur ou Dreypa travaillait bien l'alchimie biologique, mais je les trouvais grossiers dans leurs traits.
Moi, je n'étais pas un trifouilleur, j'étais un génie, un artiste ! M'attirant la sympathie de la caste des ingénieurs, les Zuguruk, la seconde caste la plus puissante du peuple sith.
Je créais alors ma propre secte, les Zugurukajak, la "Doctrine des ingénieurs", un culte dévoué a ma personne et à la science, à l'étude ! À quoi bon les kissai et leur foi absurde en un ancien jedi déchu ? J'étais bien plus à l'aise avec ceux qui partageait ma vision, qui la propagerait et qui allait m'aider pour concevoir ce que je n'avais pas su réaliser seul !

Ce sont les Zuguruk qui construisirent les nouveaux vaisseaux de ce qui était les débuts du premier empire sith depuis le légendaire Adas, les zuguruks et ceux de ma secte bien sûr.
Ziost fut redécouverte alors par les sith et redevins la capitale des sith d'un empire naissant.
Et par la Force, que cette planète était plus belle que la désertique Korriban ! Des océans, des forêts, des marais... Cela faisait si longtemps que je n'avais pas vu une nature si vivace, tout ce que nous avions de plus proche était le jardin des Zugurukajak, où nous étudions et modifions les organismes de Korriban dans un milieu contrôlé et fermé.
D'immenses temples y furent battis et j'en fis de même, j'étais un dieu après tout ? Et c'était là que je sombrais pleinement dans la débauche du côté obscur, que j'abandonnais toutes mes valeurs jedi résiduels, tout ce qui était encore bon. Je gardais des principes, mais j'abandonnais le bien entièrement à ce moment-là.
Je me créais un temple immense, ouvert emprunt de verdure et dont les sous-terrains pourraient abriter tout ce dont mon génie avait besoin pour travailler avec les plus dévoués et précieux de mes membres.
Ajunta Pall créa alors un conseil sith, l'origine des futurs conseils noirs, souhaitant sûrement s'éviter la trahison en rapprochant ses confrères près de lui et en leur offrant un semblant de pouvoir sur l'empire sith. Je ne désirais pas régner comme pouvait le faire Ajunta, mais comment refuser le pouvoir ? Le premier conseil noir était formé et j'en étais un membre, un membre actif qui plus est, je n'avais aucune raison de ne pas participer à l'avance de cet empire !
Ma secte créerait les plus belles armes, les plus belles armures et les plus beaux vaisseaux pour notre empire ! Elle sera réputée comme un symbole d'excellence, je serais l'Excellence !

Nous avions choisi la patience, nous étions en train de nous renforcer, nous formions des sith aux arts noirs, au combat et ma secte concevais les vaisseaux et droïdes qui serviraient a nos futures conquêtes.
Mais rien ne se passa, après la mort d'Ajunta Pall et des autres seigneurs sith qui formaient les exilés, leurs héritiers commencèrent a désirer le pouvoir pour eux. Sans de vrai leader fort, les sith tombèrent dans la bassesse la plus crasse. Et il n'y eut aucune guerre menée par les sith, ni aucun conflit, hormis sur nos propres mondes.

Pourquoi n'ai-je rien fait certains se diront, pourquoi n'ai-je pas prit la tête des sith, pourquoi suis-je resté là sans mener de quelconques batailles ? Car ce n'était ni ma vocation, ni mon envie.
J'avais étudié l'alchimie plus encore depuis mon arrivé, apprit a forgé des armes et des armures d'acier impénétrable même aux sabre-laser et apprit à modifier la vie comme je ne l'avais même pas rêvé.
À dire vrai, j'étais tombé dans un mélange d'études et de léthargie, ces deux choses mêlées provenant d'un même sentiment, celui de la perte de Sorzus, la seule sith à avoir jamais été aussi proche de ma pensée. Avais-je des sentiments pour elle, cela n'est pas la question, la seule chose sur étant qu'après cela, seules mes études m'importaient et bien souvent, j'envoyais un représentant au conseil sith en mon nom.

Je devins une quasi-légende dès lors, un murmure, le seigneur Darth Animus, le dernier jen'jidai, le Zuguruk'Ari et le maître des Zugurukajak. Pour certains, j'étais mort en réalité, ma place prise par un disciple et ma vie sous-tenue seulement par quelques rumeurs ayant pour but d'effrayer les ennemis des Zugurukajak.
Tous resta calmes ainsi, la vie était entrecoupée de quelques escarmouches internes où ma secte était heureuse de faire profiter de son savoir et surtout de son armement !
Tous changea peu avant la mort de Ragnos Marka, l'un des plus grand seigneur sith depuis Ajunta Pall, tout d'abord, par l'acceptation au conseil du nouveau seigneur de Medriaas, Tenebrae qui renomma la lointaine colonie en Nathema. Puis la mort de Ragnos Marka créa une dissension forte entre les conseillers qui hésitaient entre Ludo Kressh et Naga Sadow, je restai neutre dans leur conflit, la Force choisirais qui serait le plus méritant.
Et il fut choisi en la présence de Naga Sadow qui terrassa Ludo Kressh et accéda au pouvoir en déclarant la Grand Guerre de l'Hyperespace.

J'étais heureux, car enfin, je tenais ma vengeance et enfin, nous sortions de l'ombre. J'engageais alors mes forces et distribuais nos armes et armures dans l'empire, toutes nos possessions étaient réquisitionnés et nous allions pouvoir enfin arrêter de nous cacher.
Mais la guerre fut courte, d'une guerre éclair où l'effet de surprise nous donna un avantage certains, nous sommes passés a une amer et cuisante défaite, les forces de la république se rassemblèrent et nous dépassèrent vite en nombre.
Mais nous aurions peut-être encore pu gagner si Naga Sadow n'avait pas créé un conflit avec un de ses apprentis ...

Nous avons perdu la guerre, nos bases furent détruites et les sith dévasté ...
Mais ma secte survécus, nous avions survécus et nous n'allions pas répéter les erreurs du passé. La République avait évolué sans nous, et bien ma secte trouverait des alliés au sein même de la république.


[-4.000 à -3.950]
Freedon Nadd s'autoproclama seigneur noir des sith sur Onderon, sans savoir qu'un véritable empire, bien plus puissant et méritant que le sien existait. Mais je n'avais que faire de cela, notre empire se renforçait et le sien, pourrait nous aider à affaiblir la République jusqu'à notre réveil.

La guerre qui s'ensuivit sur Onderon fut plaisante, mon ordre ne participa que peu, seul quelques sith souhaitant tester leurs forces. Notre implication fut plutôt des armes et armures offertes aux naddistes, la plupart était sujette à des défauts, puisque mon ordre avait surtout envoyé des prototypes. Je me fichais du résultat de cette guerre, mais tester nos produits sur le terrain était rare et c'était donc l'occasion rêvée.

La galaxie entra ensuite dans un état de guerre presque perpétuelle et mon ordre allait prospérer, commençant a créer armes, armures, droïdes, vaisseaux et tout ce que la Galaxie aurait besoin en ces temps de troubles pour continuer a tuer et massacrer.
Les plus innovants de mes disciples fournissaient des prototypes intéressants, nous pouvions les améliorer, les réparer et continuer à nous développer pendant que la galaxie brûlait. Et mieux que tous, la République tout comme leurs ennemis nous payaient grassement pour ces services camoufler sous divers noms de sociétés fantoches.

Et après les guerres sith de Freedon Nadd et Exar Kun, ce furent les mandaloriens qui menacèrent la République.
Commercer avec les mandaloriens était bien plus complexe, ce peuple était farouchement indépendantiste et nationaliste, s'approcher d'eux et réussir a s'en faire apprécier était complexe.
C'est durant cette guerre que deux jedi parvinrent a trouver l'empire sith de Vitiate, j'étais intrigué par cette découverte et ce que l'empereur en ferait. Et je ne fus pas déçu, car il parvint à corrompre ces pauvres âmes et en faire des sith, ils revinrent chez eux comme Darth Revan et Darth Malak et après les guerre mandaloriennes, provoquèrent une guerre civile jedi opposant les jedi et les revannite.

Peut-être que cette avant-garde sith allait pouvoir s'opposer à la République et annoncer notre arrivée.
Mais non, la guerre civile ne dura que quatre années et finalement, c'est Revan lui-même qui y mit fin en détruisant son propre empire lorsqu'il retourna au coté lumineux.

La guerre civile sith qui s'ensuivit fit naître un triumvirat sith composé de Darth Traya, Darth Sion et Darth Nihilus.
Leur règne comme celui de Revan fut court, mais Nihilus était un être très puissant dans la Force qui capta mon attention, particulièrement lorsqu'il dévasta à lui seul une planète et tous les jedi s'y étant réunis, détruisant l'ordre jedi par la même occasion, le premier à réaliser un tel exploit.

Les jedi effacé de la galaxie, je ne craignais plus de me montrer au grand jour, bien que je changeais mon apparence et mon style vestimentaire afin de paraître correct aux yeux de la République.
Arkania était une cible privilégiée de mon attention, bien que son peuple soit hautain, ses scientifiques étaient compétents et pour beaucoup, poussées par la science plus que par l'éthique et je parvins à en corrompre certains à ma cause.
C'est à cette époque que ma secte recruta le plus de non-sensitif, des personnes poussé par un esprit scientifique et qui finirent par adopter la culture du Zugurukajak.

Meetra Surik mit fin au règne de quatre ans du Triumvirat, devenus entre temps un Duumvirat et de nouveau jedi naquirent, l'ordre renaissait, mais ma secte avait déjà prit pied dans la République.


         

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Dernière édition par Darth Animus le Jeu 14 Juil - 12:48, édité 5 fois
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Darth Animus [Terminée, 100%] Empty Re: Darth Animus [Terminée, 100%]

Lun 20 Juin - 14:16

Histoire :



[-3950 à -1.000]
Finalement l'empire de Vitiate s'éveilla après plus d'un millénaire d'attente, l'empereur préparait plus ardemment que jamais la guerre, le début des hostilités, bientôt !
Mon Zugurukajak avait fait peau neuve depuis la création de l'empire, à mon époque, tout ce que nous avons aujourd'hui n'était même pas pensable en terme de techniques et de technologie.
La Grande Guerre Galactique fut déclarée en 3.681 et les hostilités furent glorieuses, ma secte se fit remarquée, nous avions lâché des droïdes et des bêtes sur nos ennemis et mes forces devinrent connue comme des forces d'élites au sein de l'empire sith par notre emploi de technologie exotique de notre conception.

Et enfin, après des millénaires d'avances, je goûtais ma vengeance, la République était acculée, les jedi repoussé et tous furent obligé d'accepté nos exigences lorsque le conseil déclara l'armistice en 3.653.
Durant cette guerre, notre empire avait même vaincu les gen'dai et réduit leur monde en poussière, je n'étais pas d'accord avec cela néanmoins, tant de potentiel gâché, mais je conservais quelques gen'dai dans la carbonite pour un usage ultérieur.

Mais la suite ne fut pas aussi simple, bien que l'armistice fut déclara des conflits et escarmouches continuaient et les sith après une victoire mérité, retournèrent à leurs vieux travers.

Au cours de la guerre, un seigneur sith profita d'une absence de Darth Vitiate pour prendre de force le titre d'empereur et aida la République à vaincre Vitiate, ce qu'ils firent.
Mais je savais que Vitiate n'était pas mort et je restais de son côté, car il était ce qu'il y avait de plus proche du Sith'ari tant attendu, alors que Darth Malgus lui n'était rien, un sith comme un autre, un autre traître.

Je restais fidèle à l'ancien empereur bien sûr, mais ce ne fut pas accepté par l'entièreté de ma secte, plus encore lorsqu'il détruisit Ziost en représaille, dévorant sa vitalité.
J'eus à faire au premier et seul schisme de mon ordre, une guerre interne et secrète où chaque traître fut traqué et tué, leur essence dévorer par mes soins avec la plus grande lenteur. Mais cette guerre interne dura un long moment et je ne pouvais pas aider l'empereur comme je le voulais durant cette période, finalement, il fut vaincu et son empire éternel avec lui ...

Je me mis alors en retrait, l'empire sith voyant désormais ma secte d'un mauvais œil, son nouvel empereur créa un conseil noir dont aucun siège ne me revint. Alors en représailles, je fermais tout contact avec cet empire sith déchu, ma secte œuvrerais dans l'ombre à nouveau, jusqu'à ce que les sith, redeviennent des sith.

Je dus attendre alors jusqu'en -2.000 sous le règne de Darth Ruin pour me montrer à nouveau, je me présentais tel que j'étais, un ancien conseiller noir, le dernier des jen'jidai, le Zuguruk'ari.
Je devins alors une éminence grise, un conseiller de l'ombre pour la lignée des seigneurs sith de ce nouvel empire émergeant néanmoins n'était que l'ombre de l'empire de Vitiate et la preuve que le pire ennemi des sith était eux-mêmes, encore une fois ...

Les seigneurs sith de ce nouvel empire furent néanmoins très inventifs, Dath Rivan qui transforma une planète stérile et toxique en un lieu de vie illuminé ou encore Belia Darzu et sa création du nanogène droïde via le Mechu Deru Vitae qu'elle inventa en grande partie et conduisit à la création des technobête.

Tout cela était fascinant, mais cet empire vint à mourir à son tour, devenant la confrérie des ténèbres. Un reliquat d'un véritable empire qui fut lui-même détruit par Darth Bane, le dernier des sith avec son apprenti Darth Zannah.
Il détruisit la confrérie pour établir sa "règle des deux", il n'avait pas tort sur le principe, moins de sith signifiait moins de trahison, pourtant cela signifiait aussi moins de génie potentiel, combien de talent pouvait-on louper en se limitant à un seul élève ?
J'avais voulu le résonner bien sûr, comme j'avais conseillé d'autres seigneurs avant lui et je ne fus pas aceuillis en grande pompe, j'étais un sith après tout et un obstacle a son rêve. Lui et son apprenti s'attaquèrent alors à moi et à mon escorte. Je parvins à fuir néanmoins, mais nous avions opposé nos magies et il était fort, très fort.
Était-ce lui le sith'ari qui devait détruire les sith pour mieux les reconstruire, comme la prophétie le disait ? Y avait-il plusieurs sith'ari ? Peut-être, mais je ne laisserais aucun d'eux me détruire, je suis Darth animus, dernier jen'jidai et je serais la voix immortelle des sith !


[-1.000 à -19]

Pour le millénaire suivant, il n'y eut plus aucune interaction entre les sith de la règle de deux, et mon Zugurukajak. Je laissais des indices, caché dans d'anciens temples m'étant dédié, des moyens de communication, pour qu'un vrai sith, s'il les découvrait et les comprenait puisse reprendre contact avec nous. Peut-être qu'avec le temps, ils se seraient adoucis et auraient accepter de revenir à une époque plus glorieuse ... Mais ce ne fut jamais le cas.

Affaibli par ma bataille avec Bane, je décidais de me reposer, installant un système particulier dans ma sphère de méditation sith, je me posais en transe comme ceux de mon espèce savaient le faire, mes racines trempant constamment dans un liquide riche en nutriment et en kolto récolté illégalement. Je me faisais vieux désormais et bien que je n'avais jamais entendu parler de Neti mort de vieillesse, cela ne signifiait pas que c'était impossible, simplement jamais observer.

Ma sphère me sortait de ma transe de temps à autre lorsque ma secte avait besoin de moi ou à intervalle régulier. Je ne pouvais pas travailler lorsque j'étais en transe et je ne pouvais pas me résoudre à ne rien faire !

Dans l'ombre, mon Zugurukajak se rapprocha des cartels et autre régimes illégaux et devint un fournisseur d'arme exotique, de créatures rares. Voir de créatures inexistantes tant grâce à l'alchimie que part la manipulation génétique.
Nous étions encore en contact, bien que discret avec des peuples des régions inconnus, la galaxie avait peut-être oublié les Chiss en 2.500 ans, mais pas nous. Et nous étions un des seuls moyens d'acheter des Charric de ce côté de la galaxie par exemple.

Ma secte et moi-même étions discrets, bien sûr et notre travail était calme, la guerre et le schisme avait réduit notre nombre et nous n'avions plus d'empire capable de fournir une entrée conséquente de bien.
Nos sociétés tournaient toutes au ralenti et étaient incapables de fournir à des armées entières ou encore de construire des vaisseaux plus gros que des transports légers, ce qui nécessitait déjà un temps certains.

Mais en 50 quelque chose d'intéressant se produisit, un de nos membres espions cachés sur Arkania nous envoyait les résultats du projet Yaka, un projet arkanien visant a modifié le peuple Yaka. Cela créa un mouvement important sur arkania, opposant ceux trouvant cette expérience juste et ceux trouvant que cela brisait l'éthique.
Cela était un moment intéressant, car Arkania était une planète que je surveillais comme l'était Kamino. Car ces peuples avaient à cœur de devenir des ingénieurs et généticiens de talents, un ajout précieux a mon culte.
Des mouvements révolutionnaires commencèrent alors à se faire entendre et je voulais profiter de l'instant pour infiltrer plus encore Arkania. Ainsi, certains de mes agents joignirent les rebelles et d'autres le gouvernement au pouvoir et chacun des camps développa ses propres super soldats les Assimilator pour les rebelles et les "Accelerated Transgenic Heuristic Abhorers" de l'autre.
Chacun avait ses points forts, les premiers pouvaient se réparer de presque tout dégâts, en utilisant des pièces mécaniques ou des morceaux d'êtres vivants, les autres pouvaient dévorer et digérer même des matières réputé indestructible et donc dissoudre les premiers.

Cette révolution m'amusa énormément, elle me rappelait avec nostalgie quand nos hordes de sithspawn parcourrait des mondes écrasant leurs défenses et leur peuple.
Mais la révolte fut stopper par l'intervention des jedi et de la République en faveur du gouvernement en place, encore une preuve de l'hypocrisie jedi qui défendait un gouvernement corrompu menant des expériences contraires a l'éthique sur un peuple innocent. Tous les révolutionnaires furent condamnées à mort et cela n'affecta pas non plus les jedi, eux non plus n'apprendrait jamais de leurs erreurs, comme les sith ?
À la fin de la guerre, mes espions du côté révolutionnaires revinrent bien sûr, extradés en secret loin de la peine de mort, emportant avec eux les techniques de bio-ingénierie déployé durant la guerre.

Puis, je sentis un remous de la Force, quelque chose d'étrange, j'avais déjà senti des mondes mourir, mais ce n'était pas ça, c'était tout à fait opposé même, quelque chose se préparait, mais je ne savais pas quoi ...
La République faisait face à des tensions fortes au sein même de son gouvernement et la guerre des clones débuta peu après, peu d'après moi bien sûr. J'avais entendu parler de la création de ces clones par les Kaminoens par mes propres agents sur la planète, mais je n'avais pas compris pourquoi un jedi en était l'initiative, enfin un jedi intelligent peut-être ?

Durant cette guerre, mes agents travaillaient avec les séparatistes, la plupart au sein de la techno-union en tant qu'ingénieur, profitant des fonds immenses de cette faction pour travailler avec des moyens plus grands !
Et aussi, pour renouer avec les sith, cela faisait presque un millénaire que mon Zugurukajak n'avait pas travaillé avec d'autres sith, un rappel a notre noble passé à tous.
Et alors que la guerre battait son plein, finalement tout bascula en quelques jours, les chefs séparatistes furent tous décimés durant un conseil secret, avant cela, c'était les jedi, tué dans leur propre temple ou sur le terrain par leurs propres soldats clones.
Je n'avais rien vue venir, était-ce l'œuvre du dernier sith ? Était-ce l'œuvre du maître caché ? Il avait réussi à détruire l'ordre jedi en une seule journée ?

Je découvrais bien vite que oui, l'ordre jedi détruit, Darth Sidious, l'empereur et ex-chancelier se révéla tel qu'il était, avec son nouvel apprenti, Darth Vador.


[-19 à 25]

Durant l'ère de l'empire, je restais en retrait, Palpatine avait démontré une grande admiration des anciennes traditions sith et de ses artefacts, mais il était attaché au pouvoir comme peu de sith avant lui. Une alliance était impossible, il tenterait de nous détruire et d'usurper ma place, j'étais une menace à sa toute-puissance, je n'étais pas un potentiel pion.

Ainsi donc, nous avons continué à œuvrer dans les ténèbres et nous avons même fourni la rébellion à quelques reprises. Après tout, nous n'avions aucun ami ici, que l'empire s'éteigne était même une bonne chose, car nous avions dû fermer plusieurs de nos branches, l'empire interdisant de nombreux produits frôlant la limite de la légalité dans la République. Notre récolte illégale de Kolto dû même se stopper net à cette époque quand l'empire prit de force Manaan.

Quand la rébellion commença à prendre de l'ampleur, détruisant la super-arme de l'empire, nous leur avons fournis un soutien toujours discret mais plus important et quand l'empire fut plongé dans le chaos à la mort de l'empereur, nous avons sauté sur l'occasion pour reprendre plus de force.
Je fis en sorte d'aider Manaan à se reconstruire et à obtenir légalement le droit de disposer de leur Kolto via une société-écran médical. Les Selkath qui étaient plongés dans la détresse et émergeant de société tribale océanique n'était pas de grands négociateurs et nous leur apportions de l'aide et des fonds, pourquoi refuser ?

La présence d'un nouvel ordre jedi fut néanmoins un problème plus important, mais nous ne pouvions pas agir sans nous faire repérer et probablement détruire par cette rébellion. Nous n'étions les alliés ni de l'empire, ni de la rébellion et notre nombre tout comme nos forces n'étaient pas assez grands pour vaincre. Alors nous sommes restés cacher, une fois encore.

En l'an 4 eut lieu une guerre de petite envergure sur la planète Bakura, petite à l'échelle de la galaxie bien sûr, mais elle capta mon intérêt. Les Ssi'Ruuk, les antagonistes, étaient une race des régions inconnues disposant d'une technologie pour le moins unique, je m'étais rendu en personne sur place pour observer cela et je ne fus pas déçu.
Aussitôt, je cherchais à mettre la main sur leur technologie ce qui ne fut pas une mince affaire, mais en capturant quelques-uns de leurs ingénieurs, en mettant à nu leur intellect grâce à la torture et à la Force, nous avions pu comprendre le fonctionnement de leur machine de "Technition" comme ils les appelaient.

Cela était fascinant, transformer la force vitale, en carburant. Je n'avais vu quelque chose de semblable qu'une fois, la Faucheuse Noire. Mais ce n'était pas identique pour autant, et surtout, c'était là un procédé aisément reproductible, ainsi, par une habile combinaison de torture, de vol de schéma et de rétro-ingénierie, ma secte créa son premier spécimen de technicion.
De nouvelles prouesses s'offraient à nous et ma secte prit un soin méthodique à quantifier la quantité d'énergie que chaque être vivant offrait en traversant ce procéder. Je fis même créer un clone de ma propre personne, une copie vierge sans pensée, un simple pantin de chair, visant a calculer ce quota pour ma propre espèce.
Mais, en observant le déroulement de la guerre et par nos propres expériences, nous avions vite compris une faille dans ce procédé. Quiconque peut atteindre ces "âmes" par la Force peut avec assez de maîtrise les faire se retourner les unes contre les autres, ou contre leur maître. Il nous fallait œuvrer à corriger ce défaut.

En l'an 4 eut lieu un autre événement qui ne pouvait pas passer inaperçus aux yeux de ma secte. Dans la nébuleuse de Voidfire eut lieu une réunion de partage étrange entre des agents de la Nouvelle République, des agents impériaux, et même un Hutt et ses acolytes. Ce petit monde étrange était là par commodité pour un échange avec une culture méconnue, les Lucents et cet échange nous intéressa au plus au pont.
Je suis parti pour la nébuleuse en personne, avec quelques membres de ma secte, je me présentais en tant qu'ingénieur et directeur d'entreprises souhaitant échangé et partagé avec les Lucents.
Au même moment où la guerre Ssi'Ruuk battait son plein et que mes ingénieurs étudiaient leur technologie exotique, nous tentions d'étudier celle des Lucents.

Il m'apparut aussi évident que les Lucents étaient sensibles à la Force et un terreau idéal a la corruption, car il n'avait pas côtoyé la galaxie.
Je promettais ainsi monts et merveilles à quelques scientifiques peu scrupuleux des Lucents, un travail long et discret, s'étalant sur quelques décennies. Brusquer, les lucents se seraient replier sur eux-mêmes, auraient put trahir mon secret, mais les promesses de savoir et de pouvoir me permit d'en enrôler quelques-uns.
Pendant ce long travail, plusieurs des miens travaillaient au côté des Lucents pour parvenir à obtenir plus de leur technologie et de son fonctionnement. Pourquoi celle-ci m'intéressait tant ? Car les Lucents utilisaient un système de transport énergétique basé sur des toiles cristallines et étaient les seuls à pouvoir traversé les nuages ioniques de la nébuleuse sans souffrir. Cela aurait été une insulte à mon Zugurukajak que de la laisser hors de notre portée !

Nous avons donc corrompu certains de leur scientifique, les enrôlant finalement dans le Zugurukajak et se servant d'eux pour instaurer d'autres espions par clonage. Des clones maturés avec patience furent créés, embrigadés au plus jeune âge et envoyés sur la station comme aide pour les scientifiques corrompue au Zugurukajak. Cela nous donna une avancée plus rapide sur l'étude de leur technologie et nous offrit aussi un pied-à-terre sur la station de la nébuleuse.

Le reste de ma manœuvre se déplaça vers le secteur d'Ithull, une colonie minière avec un intérêt que beaucoup considéreraient comme désuet. Utilisée depuis 4.000 BBY, cette colonie ne regorgeait plus du minerai d'antan, ni ses alentours, pourquoi s'y intéresser alors ?
Justement, son minerai s'étant épuisé, les prix du marché local étaient bas, il n'y avait que peu d'entreprise présente ici et s'y installer était aisé.
L'autre intérêt était son espèce endémique, mais désormais très rare des Guêpes Colossale, un des seuls spécimens connues capable d'être un prédateur aux Exorgorths et aussi un matériel à vaisseau. Mortes, les carcasses des guêpes étaient vidées pour fournir un vaisseau de grande taille relativement unique.
Les guêpes avaient été chassées par le passé et étaient devenues rares, l'abandon du secteur par son faible apport minier et sa quasi-destruction par les mandaloriens en 200 BBY avait permit néanmoins à l'espèce de se recomposer. Elles étaient toujours très rares, voyageant dans l'espace parfois loin des planètes, en trouver une restait du domaine de l'exploit et seuls quelques carcasses "fraiches" permettait de faire savoir qu'elles existaient encore.

En toute franchise, le marché local était un jeu de dupes, je n'avais aucun intérêt au minerai de ce système, ce qui m'intéressait, c'étaient ses guêpes. En tant qu'animal, pour sa biologie unique, mais aussi ses carcasses pour fournir des vaisseaux. Ma secte se cachait, nous ne pouvions pas concevoir de spatioport discrètement, acheté des vaisseaux de classe croiseur ou plus important était très vite remarquer, quoique cela ne soit pas un problème pour nombre de factions illégal comme les hutts et d'autres factions de la pègre, je préférais éviter d'attirer l'attention.
Ici, nous avions un terreau idéal à nos recherches, d'immenses carcasses prêtes à accueillir nos technologies innovantes, nos dernières recherches. Cela prit du temps bien sûr, nos premiers vaisseaux prirent un long moment pour être terminé, mais mon Zugurukajak possédait désormais une petite flottille, quelque chose que nous n'avions pas revue en presque 1.500 an.

Et je ne le savais pas encore, mais nous aurions besoin de ce semblant de flotte pour les années qui suivraient.


[25 à 30]

C'était en 25 ABY que débuta la guerre des Yuuzhan Vongs, comment ? Cela s'était perdu dans l'histoire, je n'avais pas été un acteur majeur pendant les débuts de ce conflit, tout ce qui importait réellement néanmoins est qu'il était là.
Personne n'avait vu cette guerre venir, et pour cause, une menace provenant d'au-delà de la galaxie, je n'avais encore jamais vu ça en plus de 7.000 années et pourtant, nous y voilà. Mais je gardais mon Zugurukajak en sûreté, loin de tout. Fournissant seulement du matériel militaire ce qui devint un important gain de nos sociétés-écrans et un avantage considérable.

Ces étrangers m'intriguaient fortement, plus encore lorsque les premiers résultats de ce conflit nous parvinrent. Les jedi ne les ressentaient pas dans la Force, ni eux, ni leur technologie, seulement leur soldat esclave et plus intéressant encore, leur technologie était organique. Elle n'était pas biomécanique, mais entièrement biologique, sans aucune once de cybernétique.
Ils avaient brisé un mur sur lequel mon Zugurukajak, et moi aussi, butions depuis toujours. Un être organique n'était stricto sensu, qu'une machine de chair, un cerveau en guise de processeur, un squelette comme châssis, des nerfs pour circuit et un système digestif et respiratoire pour l'énergie. Mais nous n'avions jamais créé de machine purement organique jusqu'alors, tout cela était à la fois fascinant et insultant pour ma secte et moi-même, comment me revendiquer Zuguruk'ari dans ces conditions ?!

Et l'avancé des étrangers étaient à la fois massive et inéluctable, leur biotechnologie utilisait des concepts et des armements qui ne dépassaient pas les standards galactiques en tant que tel, mais qui prirent de cours les forces républicaines. Leurs vaisseaux usaient de graviter pour bloquer les projectiles entrant, comme armement, ils projetaient des boulets enflammé au lieu de laser et de leur soldat ... Ces derniers donnaient du fil à retordre à tous, même aux jedis. Leurs armes et armures bloquaient les sabre-laser et ils n'étaient pas juste invisibles dans la Force, ils en étaient absents et elle ne pouvait les affecter en aucune façon.

Nous avons donc attendu patiemment, concentrant nos efforts sur l'espionnage des forces de la République pour savoir quand et où frapper et ce loin de leur vue.
Une telle occasion vint à se présenter sur une base avancée que les Vongs avaient développée, leur vaisseau-monde avait quitté l'endroit et laissé cet avant-poste gardé par une petite flotte. Mais nous connaissions notre ennemi maintenant, nous n'étions plus au début de la guerre, nous avions conscience de forces de l'ennemi, mais aussi de ses faiblesses.
Nous avons pris l'endroit d'assaut, une attaque surprise éclair, nos vaisseaux, que nous avions conçut sur cette dernière décennie, n'avait rien à voir avec ce que les Vongs avaient vue jusqu'alors. Leur apparence était déroutante, nos boucliers étaient axés sur la protection contre les projectiles physique et nous connaissions les tactiques et les défenses Vongs, ainsi que les moyens que la République avait développé pour les contré.
Une victoire éclair certes, mais leurs forces aériennes pourraient revenir alors nous devions faire vite.

Nous avons dépêché nos forces au sol, relâchant des hordes de créatures sith, notamment mes panthères-mantes. Les Vongs avaient beau ne pas être affecté par la Force, un effet indirect comme les éclairs de Forces étaient efficace et les Vongs s'attendaient a des jedi, ils ignoraient tout des méthodes sith.
Nous étions arrivés comme une ombre, préparés a un ennemi qui lui ne connaissait rien de nous et nous avons vaincus !
Une fois vaincus, nous avons capturé tous les Vongs vivants, la plupart laissés en vie grâce à l'usage d'une arme emprunté à l'empire Ssi'ruuk. Les esclaves furent aussi acheminés, croyant au début à des libérateurs, pauvre d'eux-mêmes ... Nous n'allions pas les laisser partir maintenant qu'ils savaient que des sith existaient encore dans la galaxie ?

Nous avons dès lors embarqué le plus de leur technologie possible, certains vaisseaux arriver après la bataille avait été spécialement affrété pour ce faire, récupérant les débris spatiaux les plus volumineux pour l'étude. Mon Zugurukajak agissait là comme de vulgaire pillard, voire même des éboueurs de l'espace, mais cela avait du bon de récupérer tous cela, même si nous nous sentions comme des Ugors ou des Squibs.

Dès que nous avions fini de récupérer ce que l'on pouvait, nous avons fui pour une base avancée.
Les Vongs étant absents de la Force, nos méthodes de fouilles mentales étaient inutiles, nous devions faire preuve d'inventivité. La simple torture se montrait peu efficace, les Vongs pratiquant des rites masochiste pour l'élévation, cela était pour eux quelque chose de commun.
J'eut alors une idée, si l'on ne pouvait pas forcer un être vivant a parlé, pas sans l'usage de la Force, alors un droïde peut-être ? Nous avons alors créer un type de droïde spécialisé, sans aucun autre but que de pouvoir parler. Nous avons donc soumis des vongs a la technicion, sans gaspiller nos précieuses ressources en calmant, nous n'avions pas besoin de calmer leur esprit après tout, cela les rendrait même sûrement plus loquaces ?

Leur esprit installé dans les carcasses mécaniques, nous avons ajouté l'insulte à l'injure de forcé un esprit vongs dans une carcasse droïde, un processeur agrémenté d'une IA allait nous aider à faire sortir chaque secret de leurs esprits étroits.
Nos actions furent bien sûr données à nos captifs, créant un mouvement de haine chez les vongs, couplé à la peur. Après tout, comment leur dieu réagirait si leurs esprits étaient coincés dans des machines ? Les machines étaient un blasphème par leur simple existence, alors en devenir une ?

Bien que l'idée était intéressante, obtenir des informations utiles sur leur technologie n'était pas efficace. La majorité des vongs savaient se servir de biotechnologie simple et plusieurs était intuitive dans leur usage ne nécessitant pas un apprentissage complexe. Mais la concevoir, la réparer, cela nous était encore impossible ...
Des esclaves néanmoins nous apprirent des choses intéressantes, les vongs avaient des esclaves de leur propre race appelées "caste des travailleurs" et parmi eux se trouvait les Humiliés. Des Vongs dont le corps a rejeté les greffes et en sont devenus difforme et faible, rejeté par leur propre peuple pour n'être rien de plus que le plus bas de l'échelle sociale.
Cela était parfait pour nos plans, des être humilié, bafoué, trahis par leur propre peuple, le terreau idéal pour la colère, la haine, la vengeance ... Pour le coté obscur.

Ainsi, je fis réunir ces Humiliés et je tentais par les mots de les convaincre de se joindre à nous, de nous aider, ils pourraient se venger des vongs les ayant oppressé, ils pourraient retrouver le pouvoir ! Je leur cachais bien qu'ils ne seraient plus nos esclaves, mais cela n'avait pas besoin d'intervenir dans la conversation.
Hélas, beaucoup avaient peur, ils craignaient leurs dieux et hésitaient à se joindre a des infidèles et trahir d'autres Vongs, après tous, ils avaient déjà été punis par la difformité.
Mais l'un d'eux, un être frêle, trapus et boiteux s'avança dans l'ombre, esquivant les regards de ses frères et sœurs. Il se présenta sous le nom d'Enki, un aspirant au titre de maître modeleur, je lui demandais de me conter son histoire afin d'en apprendre plus sur son peuple, sur lui et lui offrir l'attention qu'un esclave vongs n'avait pas.
Il expliqua alors avoir été un modeleur vongs talentueux, un de ceux qui avaient formé la biotechnologie qui assaillait notre galaxie aujourd'hui. Il avait prétendu au statut de maître modeleur, un statut important au sein de la société Vong, car ils formaient les biotechnologies les plus complexes, les plus innovantes et, car ils étaient les êtres les plus proches de leur divinité de la création. Hélas pour lui, la dernière transplantation qu'il reçut fut ratée, bâclé et eut pour conséquence de l'envoyer directement d'un des statuts les plus élevé, à celui d'Humilié ... Et devenir un Humilié pour un modeleur était pire que la mort, eux qui transplantaient les vongs, qui contrôlait la vie était incapable de maintenir leurs implants et leur corps.
Mais il savait pourquoi cela avait raté, du moins le disait-il, son rival, un modeleur moins talentueux aurait piégé ses implants et provoqué l'échec de sa transplantation et causé la difformité qui désormais l'affligeait. Et si nous pouvions lui offrir la vengeance qu'il souhaitait, alors il accepterait de nous aider.

Bien sûr, je ne lui donnai aucunement ma confiance, il pourrait toujours être fidèle aux Vongs, vouloir nous trahir une fois sa vengeance accomplie ou que sais-je encore. Mais, en l'absence de lien dans la Force, lire son esprit était impossible, alors nous devions accepter de marchander.
Je lui confiais quelques-uns de mes Zuguruk ayant déjà étudié la technologie Vong et le laissais les entraîner a manipuler et utiliser cette technologie. Je l'autorisais aussi à utiliser quelques esclaves pour tester des implants, notamment ceux conçus par mes Zuguruks et pour que ceux-ci apprennent à les concevoir.
Par surprise, peut-être, aucune trahison de sa part ne fut détectée, nous le laissions martyriser les vongs qui n'étaient pas devenus des Humiliés et mes Zuguruks comprenaient désormais mieux que jamais comment fonctionnait cette étrange biotechnologie.
Finalement, commençant a accepté la confiance de cet être si miséreux, je m'intéressais aussi à comment modifier cette biotechnologie. En l'absence de "main de modeleur" fraîche, nous devions arracher celles déjà greffer aux quelques modeleurs que nous avions capturés et qui refusaient de coopérer et de les greffer en lieu et place des mains de mes disciples. Des outils de modifications biologiques ambulantes, une chose si simple et pourtant astucieuse.

Mais nous manquions de matière fraîche, un nouveau plan d'action fut alors établis, utilisé des grimage ooglith, une technologie de métamorphose vong et infiltré leurs bases et volé ce que nous pouvions. Cela fut une réussite mitigée, beaucoup de mes espions Zuguruk vinrent à être découvert, n'étant pas des Vongs et manquant de certains de leur trait de personnalité ou de leur connaissance. Mais nous avons pu nous fournir en biotechnologie illicite néanmoins et infiltré leurs bases.
Nous avions notamment un marché avec Enki de lui fournir son rival, chose longue, mais nous nous en approchions avec notre espionnage. Nous avions réussi a infiltré le vaisseau monde où il opérait et allions bientôt pouvoir le ramener, de grès ou de Force.

Avec de meilleures connaissances de la technologie Vong, nous avions commencé des attaques plus fréquentes visant a voler plus de leur biot et obtenir plus d'esclaves. Enki, devint le porte-parole du Zugurukajak auprès de nos esclaves et surtout des humiliés qui commencèrent à vouloir se joindre à nous par vengeance.
D'un commun accord avec Enki, nous avions aussi commencé un plan de sape, utilisant l'hérésie jedi naissante et en donnant une "incarnation" à Yun-Ne'shel, déesse Vong de la création. Ainsi, il commença à prêcher que j'étais l'incarnation physique de Yun-Ne'shel, l'avatar du dieu des modeleurs afin de pouvoir contrôler les vongs et obtenir un soutien plus fort, tout en sapant le moral des Vongs des Vaisseau-monde où notre rumeur commença à courir jusqu'aux oreilles des modeleurs qui refusaient un tel blasphème.
Craignant d'être découvert, la rumeur que nous avions lancé parlait simplement de l'avatar physique de Yun-Ne'shel, comme un grand arbre pensant, capable de modifier la vie et de concevoir l'impossible. Même si les jedi venait à apprendre cela, jamais ils ne penseraient a un sith et ma secte restait ainsi encore protégé.

Vers 28 ABY, les meilleurs des miens égalaient les maîtres modeleurs et j'étais de ceux-là, greffant les outils des modeleurs directement dans mes branches plutôt que sur des mains de modeleurs. Nous avions aussi découvert quelque chose d'inattendu, les implants vongs que ma secte avait utilisé et notre proximité avec leur technologie et leur biot nous révéla leur présence dans la Force. Un pouvoir qui serait nommé le "sens vong" et qui permettait à la fois de ressentir et d'affecter les Vongs à travers la Force.
Désormais, nous avions un avantage certain sur les Vongs et allions offrir sa vengeance à Enki qui après avoir subi de ma part une fouille douloureuse de son esprit, fut accepter comme un membre du Zugurukajak et nous avons réparer son corps frêle, retirant les implants défectueux et réparant les dégâts qu'il avait subi.
Nous avons ainsi infiltré le vaisseau-monde sur lequel Enki avait servi, puis avons lancé une attaque surprise, envoyant ma flotille contre ce dernier. Mes espions sabotèrent la biotechnologie des Vongs et ils faiblirent, plus encore lorsque le Yammosk de leur vaisseau-monde fut détruit, conduisant a la panique de tous leurs vaisseaux.
Sur le vaisseau-monde, Enki apparut dans tous les villips vongs comme un "Immaculé", lui qui fut Humilié, fut reçut par l'avatar de Yun-Ne'shel, réparer et préparer pour sa vengeance contre le traître. Ce message fut transmis aux autres vaisseaux-mondes pour plus encore détruire leur morale et Enki captura son ancien tortionnaire.
Le vaisseau-monde en piteux état, saboter par ses propres soldats pour nous détruire avec lui, fut abandonner là pour mourir par mes troupes. Un vaisseau espion, laisser derrière nous assura que des Vongs arrivèrent peu après de l'hyperespace et fouillant les carcasses de vaisseaux. Notre plan fut un succès !

Nous avions désormais plus de biotechnologie que jamais, Enki, notre désormais maitre modeleur força son rival à l'humiliation avant d'absorber sa force vitale dans un appareil de Technition et de le forcer à devenir un droïde servile sous sa commande.

La guerre prit fin une année après. Une victoire sur les Vongs qui vinrent habiter sur Zonama Sekot qui quitta la galaxie en 30 ABY, lorsque le dernier Vong rejoignit la planète et pour fuir les Bothan qui désiraient le génocide du peuple Vong.
Mais une partie n'avait pas fuis, ils avaient trouvé un autre chemin, les modeleurs principalement, désireux de poursuivre leur art, ceux qui après la fin de la guerre, avaient visionné un message d'Enki aux vongs et accepter de le suivre pour Yun-Ne'Shel.
Ceux-là, nous les avons emmenés dans les Régions inconnus, torturé leurs esprits et détruit ceux qui n'était pas sur de leur choix et risquaient de nous trahir. Les autres devinrent les adeptes d'Enki et les plus dignes, des membres du Zugurukajak.
La guerre nous avait coûtés, mais nous étions devenus plus forts, nos bêtes sith et nombres de mes soldats avaient péris. Nous ne pouvions pas nous battre efficacement contre la République aujourd'hui, mais bientôt, les sith retrouveront leur vraie place.

C'était cela que je me disais, que bientôt, nous sortirons de l'ombre et allions ressusciter les sith ... J'avais raison en un sens, mais j'ignorais à quel point et j'ignorais aussi que la machine était déjà en marche dans l'esprit d'un seigneur noir naissant.


[30 à 138 ABY]

Alors que la guerre des Vongs était terminée, les Vongs avaient quitté l'espace connu sur Zonama Sekot, la paix pointait le bout de son nez de nouveau. L'argent que m'apportaient mes sociétés-écrans après la guerre s'amoindrit, moins besoin d'arme, de pièce de vaisseau, de soin médical d'urgence.
Mais nous avions gagné la biotechnologie Vong et des techniques d'études, de compréhension et de modification génomique jamais atteinte dans la galaxie, un très bel échange selon nos standards.

Et alors que j'avais presque oublié leur existence, un signal se révéla sur les consoles de ma Sphère de Méditation, un signal que j'avais presque oublié, car je l'avais conçus il y a 1000 ans, en attendant qu'un sith trouve comment l'activer, me contacter et renouer des liens avec le Zugurukajak.
J'avais disposé plusieurs de ces systèmes sur diverses planètes de l'espace sith, jusque-là, aucune n'avait donné réponse en presque 1030 ans et maintenant, l'une d'elles s'était activé ?
J'étais perplexe et en même temps curieux, je décidais donc de répondre à cet appel, affichant un hologramme d'une partie de la pièce de celui qui avait activé l'émetteur et de son côté, un hologramme de ma propre personne devait apparaître devant lui, si tenté que la console n'avait pas été détruite ou altéré par le temps.

Je découvris alors non pas un, mais plusieurs sith, un petit groupe, je reconnais qu'ils étaient sith par leur tatouage et m'en étonnais. Cette pratique n'avait presque plus court chez les sith depuis bientôt 1000 ans, les tatouages sith, bien trop caractéristique, rendait impossible à leur porteur de se cacher dans la foule.
Et ils étaient plusieurs, qu'était-il arrivé à la Règle de Deux alors ? Était-il de ceux de Lumiya ?
Je m'étais posé toutes ces questions avant même que les premières paroles ne soient prononcées, cela témoignait bien de mon étrange sentiment et ressentis quant à toute cette histoire. Mais je pris la parole, en ancienne langue sith, langue qu'ils devaient connaître pour avoir déchiffré mon message et le moyen d'utiliser l'émetteur, me présentant comme Darth Animus, Zuguruk'Ari, dernier des Jen'jidai, seigneur du Zugurukajak, étalant ainsi mes titres et en retour demandant ceux de mes interlocuteurs.

Leurs noms n'avaient que peu d'importance, mais leurs explications beaucoup plus, ils me parlèrent d'un ordre sith nouveau, mais sans entrer dans les détails, ils semblaient troublés et inquiets et souhaitaient que leur maître me parle de lui-même. Soit que ce Darth Krayt se présente donc à moi.

Et il finit par m'être présenté, je reconnus ses atours comme étant une armure de Vonduun Skerr Kyrric et lui-même se présenta comme le disciple de Xoxaan. Xoxaan ? Cette sorcière avait réussi alors à faire survivre sa mémoire dans son holocron pour avoir des disciples malgré la mort ? Intéressant.
Mais qu'en était-il de lui ? Je le questionnais, lui-même se montra étonnement respectueux et me décrit son projet, son ordre nouveau, le One Sith, où les sith ne seraient plus deux, mais un tout unis. Cela me parlait, cela me plaisait, un sith qui rêvait de retrouver la grandeur d'antan, respectueux des anciennes voies et qui prônerait l'unité.
Cela me semblait presque trop beau, mais je voulais lui donner une chance, lui-même aurait tenté de se lier à Lumiya, sans succès.

Je craignais néanmoins de tomber sur un énième traître sans scrupule et avant de lui offrir ma confiance, j'envoyais un contingent, des représentants du Zugurukajak ayant pour but de tester la confiance de nos nouveaux "amis" et officiellement de développer leurs infrastructures et subvenir à leur besoin en ingénierie de tout type.
En quelques années, néanmoins, il devint clair que Darth Krayt avait dit la vérité, son One Sith, unis autour de lui était fort et aucun de mes zuguruks ne souffrit auprès d'eux. Darth Krayt avait un profond respect pour les vieilles traditions et je me fis rapidement un plaisir de discuter avec lui de celle-ci et de comment Korriban était à son âge d'or.

Darth Krayt me confia sa maladie, les implants vongs qui le tuait à petit feu. Hélas, ils étaient une ancienne variante, plus vieille que celle dont nous disposion et ils étaient déjà dans son corps et se développaient. Bien que les retirer devint un des buts du Zugurukajak, il devint rapidement évident pour moi qu'une solution a ce problème risquait d'être obtenus après la mort de Darth Krayt, et ce, malgré ses longues périodes de stase.
Je devins alors un membre actif du One Sith, je n'étais pas un membre comme les autres, je n'étais pas soumis ni à Krayt, ni à sa "Voix" Darth Wyyrlock, mais je n'agissais pas comme une figure dominante. J'avais toujours été ainsi, plus à l'aise dans l'ombre à commander les miens et conseiller mes alliés.
Toutes nos ressources étaient dorénavant allouées à l'effort de guerre et la création d'équipements pour le One Sith. Mais nous n'abandonnions pas nos projets pour autant et à vrai dire, nous avons même redoublé d'efforts ma secte et moi-même.

Je mentirais en osant dire que je n'avais pas stagné ce dernier millénaire, seul, ma secte était impuissante, nous ne valions rien si nous n'avions pas une force majeure pour nous épauler. Nous aurions pu devenir cette force majeur nous-même bien sûr, mais à qu'elle prix ? Sacrifier l'excellence des miens pour la puissance des autres ?
Mais maintenant, nous avions un nouveau début d'empire sith sur lequel nous reposer et auquel offrir nos services !

Alors je commençais à développer mes projets plus avant, tout d'abord, une partie de ma secte captura et ramena à nos bases avancées des membres de l'espèce des Morodin, et ce, afin d'en faire des esclaves agricoles. J'avais découvert cette espèce il y a bien deux décennies, mais nous n'en avions aucune utilité, mais aujourd'hui, avec notre contrôle de la biotechnologie Vong, nous pouvions faire fructifier leurs caractéristiques.
Nous les avons transformés en cyborg obéissant et lâcher dans un "paradis" de verdure, les laissant développer la végétation qu'ils nourrissaient de leur fluide. Nous espérions développer des plantes vongs plus fortes, résilientes et surtout efficace.

La Guerre de l'essaim fut déclaré quelques années après celles des Vongs, mais ma secte n'en rejoignit aucun conflit, trop occupé a traité auprès du One Sith. Moi, je m'étais tourné vers un autre genre d'essaim ...
Après des années de recherches et de tentatives de protection de l'espèce des Guêpes Colossale d'Ithull, nous avions fini par en découvrir. Nous les avons suivis et patiemment, nous avons attendu qu'elles pondent et là, nous avons volé des œufs, seulement la moitié, tout en nous assurant que les autres puissent vivre pour faire perdurer l'espèce.
J'avais de grands projets pour ces œufs, d'une taille imposante, leur vol fut complexe, surtout que nous ne souhaitions pas tuer les Guêpes, leur espèce était rare et il nous était plus que difficile de cloner des êtres d'aussi grande taille.

Dès que j'eus mes premiers œufs, je commençais alors mon rituel, m'inspirant des Wyrm Sith, développer par Naga Sadow et d'autres sith après lui. Si les wyrms, des créatures immenses et destructrices avaient été développer à partir de placides larves Exogorth, alors qu'en serait-il si l'on utilisait l'un de leur seul prédateur ?
Une question que je m'étais posée, sans jamais y répondre, jusqu'à aujourd'hui, ma meastria, mon chef-d'œuvre d'alchimie sith ! J'allais créer le plus puissant genre de dragon sith !
Je fis plusieurs essaie sur chacun des œufs, je savais qu'ils allaient devoir éclore et enfin devenir adulte, mais une fois cela fait, j'aurais la créature sith la plus puissante jamais conçue !

Prenant mon mal en patience, je ne m'arrêtais pas là, maintenant qu'un nouvel empire sith allait naître, nous allions devoir conquérir des mondes. Quel meilleur moyen pour cela que des hordes de créatures sith et des morts-vivants ? Et bien, il y en avait un, un que je n'avais qu'effleurer lors du règne de Belia Darzu, le technovirus conçus par le Mechu Deru Vitae.
Ainsi, pour les années à venir, j'allais m'atteler à utiliser la biotechnologie pour concevoir un nanogène droïde différent et plus élaborer que celui de Belia. La technologie avait évolué, nous avions des connaissances en biotechnologie plus poussée, j'étais prêt à parfaire le Mechu Deru Vitae.
J'en fis mon Ars Magna, mon Grand Œuvre, mon but ultime. Concevoir un droïde ou un cyborg indissociable d'un droïde, capable pourtant d'utiliser la Force comme un seigneur sith. Je n'arrivais jamais à un tel exploit, même aujourd'hui, cela reste mon but ultime et pourtant toujours hors d'atteinte ...
Mais à cette époque, je tâtonnais encore mon nanogène, le testant sur mes créations et quelques esclaves. Je ne voulais pas de cyborgs mutant grossier comme les Technobête de Belia, je souhaitais des cyborgs parfait, sans plus aucun esprit propre, simplement une banque de connaissance servile exécutant mes commandements.
Mes tests sur des panthères-mantes furent tout d'abord peu concluants, mais avec le temps, le processus fut raffiné. Parmi les ajouts, un encodage dans le nanogène droïde fut installé pour permettre la création d'un émetteur subspatial dans son hôte en lieu et place de son lobe frontal et de réorganiser ce dernier en un bio-ordinateur.
Le but derrière cela était de permettre ensuite à mon Zugurukajak, ou plus simplement moi-même de lancé une station Holonet-Subspatial permettant de faire le relais entre le commandement du Zugurukajak jusqu'à ces Technobêtes de nouvelles générations. Je n'aurais même plus besoin de rester auprès d'eux, je pourrais simplement lâcher le virus et attendre de voir la planète s'agenouiller devant le Zugurkjak, et ce, sans même avoir à montrer un seul de mes hommes.

Puis, enfin, ce fut en 122 que le One sith put commencer a passer à l'attaque, j'avais été trop occupé pour m'occuper d'eux, notamment à observer mes premières larves de mes Hydre-guêpes pour m'intéresser à ce que le One Sith avait fait jusqu'alors.
Mais un appel de Darth Krayt me rappela à ses soins, soins auxquels nous n'avions aucun remède, nos essais de virus pour tué les implants causait irrémédiablement la mort des hôtes et il était impossible à ce stade de les enlever sans provoquer la mort.
Mais ce n'était pas réellement ses soins dont il était question, mais plutôt du projet Ossus, je l'avais suivis avec attention tant cela fut étonnant, une alliance de Vong et de Jedi pour terraformer Ossus et lui rendre sa flore d'origine, la "réparer" de sa Vongformation.
Le projet fut une réussite et Krayt m'expliqua la suite du plan, avec un vong renégat, son élève Darth Maladi avait développer un virus nommé Vongspawn qui allait ruiner chaque nouvelle tentative. Car ce virus ne pourrait pas être contracté, ni par les Vongs, ni par les jedi et allait détruire tout ce qui vivait, ou plutôt, les altérer à un point tels que la vongformation de ces mondes étaient paradisiaque en comparaison.

J'étais intéressé par un tel virus et plus encore par cette Darth Maladi qui semblait à la fois doué en science et en alchimie, un ajout indéniable au Zugurukajak, mais je ne pouvais pas lui proposer ainsi de joindre ma secte. Mais il était clair que je désirais cette jeune personne pour développer le savoir des miens au-delà de ce qu'il était aujourd'hui !
Son virus de Vongspawn fonctionna avec une réussite incroyable, le projet ne fut pas un simple échec, le sentiment anti-jedi devint exponentielle, je savais que les résultats seraient en ce sens, mais il était encore plus impressionnant que prévue.

En 130, nos forces entrèrent enfin en jeux, mes sith se déchaînèrent au côté du One Sith, comme un seul ordre unis, une vague inexpugnable, un nouvel ordre sith, un empire où mon peuple, où le peuple sith régnerait comme à son âge d'or !
J'étais heureux, cela peut sembler non sith, mais j'étais heureux, je n'avais pas vu d'empire sith depuis bientôt 1100 ans, moi qui en avais été un instigateur, qui avait vécue à l'âge d'or des sith, serait-ce enfin le renouveau ?

La guerre avança à son rythme, mais tout bascula en 137 lors de la bataille pour Dac, Darth Maladi y déploya son puissant Léviathan, une autre preuve de son talent de généticienne et d'alchimiste. Tout se passait pour le mieux, bien que son léviathan trouva sa fin sur la planète, le changement vint de Wyyrlock III qui se déclara le nouveau seigneur noir après avoir tué Krayt.
À partir de là, mon rêve s'effondra, l'homme de confiance de Krayt l'avait trahi pour le pouvoir, celui qui était le plus proche de récréer un empire sith unis et puissant depuis Vitiate était mort des mains de celui en qui il avait le plus confiance. Je savais dès lors, que mon rêve d'un empire sith puissant était mort et je commençais à désolidariser mes forces du One Sith.
Et lorsque Wyyrlock, contre ma volonté et mes conseils empoisonna Dac, alors tous mes Zuguruk disparurent du One Sith. C'était la fin de cet empire sith, la fin d'un rêve d'un avenir pour nous hors de l'ombre ...

Jusqu'à ce que Krayt me contacte, il était vivant, bien vivant même et allait se venger du traître tout en lançant ses nouvelles troupes et vaisseaux.
Cette nouvelle me ravit et j'avais hâte de voir les super-soldats et les annihilator que le One Sith et mes Zuguruks avaient conçut !
Mais, dans la même année de la mort de Wyyrlock III, l'empire sith de Krayt fut détruit dans une guerre d'une grande intensité autour de Coruscant. Krayt fut tué par Cade Skywalker, signant la fin de l'empire et hélas aussi le secret du transfert d'essence que Krayt utilisa pour se soigner et ressusciter disparut avec lui.
Darth Nihl prit la tête du One Sith et ordonna à ses membres de se cacher et d'attendre leur pour que notre ordre revienne à la lumière. Cela n'arriva jamais ...



Dernière édition par Darth Animus le Jeu 14 Juil - 14:29, édité 3 fois
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Mer 13 Juil - 17:04

Histoire :



[138 à 750]

Les jedi avaient reprit Coruscant, reprit leur temple ... Nous avions échoué à asseoir notre domination une fois encore ...
Le One Sith tomba dans la désuétude, ses membres se cachant, avec plus ou moins de réussite dans les organismes de la galaxie afin d'attendre leur heure et d'attaquer de l'intérieur ...
Je souhaitais en faire de même, mais à ma manière, la façon dont Xoxaan avait finalement eu un apprenti après ces millénaires m'inspirant un plan. Je conçus donc un holocron en utilisant de la chitine de Taozin afin de camouflé son aura dans la Force, il fallait le détruire pour révéler son lien avec le coté obscur, mais aucun jedi n'oserait le faire.

Ce n'était pas seulement un holocron bien sûr, je n'allais pas me risquer à cacher un banal holocron. Ce dodécaèdre était gros, si la plupart des holocron tenait dans une main, il en fallait presque deux pour celui-ci, car des systèmes supplémentaires y avaient été intégrés.
L'holocron était aussi un droïde sonde, s'inspirant du modèle DRK-1 et possédait un villip mécanisé par mon mechu deru vitae afin de faire le lien jusqu'à moi.
C'était peu, mais j'aurais toujours un espion au cœur du temple jedi et l'holocron lui-même pourrait peut-être prouver l'hypocrisie jedi a quelques-uns de leur membre et les amener jusqu'à moi.

Je cachais ensuite l'holocron dans les ruines du temple d'Ossus au coté d'autres holocron jedi fonctionnel, et finalement, je retournais dans l'ombre.
Une ombre qui vit en 150 ans la disparition du One Sith, les seigneurs sith se disputant le pouvoir, je ne pouvais pas les fédéré sous un seul chef, n'en trouvant aucun de digne et je refusais d'être ce chef. Car mon but en plus de 8.000 ans maintenant avait toujours été de trouver et de guider le légendaire Sith'ari et aucun sith ne prenait l'avantage sur les autres, aucun d'entre eux n'était un dirigeant sith acceptable ...

Ainsi, mon ordre retourne à ce qu'il savait faire de mieux, développe en secret et fournir a des sociétés-écrans formant notre principal revenu et notre principal moyen de contrôle ouvert sur la galaxie.
De nombreuses sociétés sont ainsi développées durant l'âge d'or des entreprises comme on peut l'appeler, diriger par certains de mes seigneurs zuguruks. Un réseau tentaculaire de société est conçue, parfois possédant plusieurs entreprises distinctes et secteurs d'activités, parfois rivales entre elles. Les chefs d'entreprise gagnaient du pouvoir, beaucoup de pouvoir et je comptais utiliser cela, d'une façon ou d'une autre, et ce, au moment voulu.
L'une de ces entreprises fut créée durant les années 150, de petite envergure, étant une entreprise visant à fournir du Bacta, je parvins à la faire grandir en utilisant des dons d'argent de mes zuguruks vers elles, prétextant l'œuvre de mécène afin de permettre de lui offrir de quoi concevoir du Bacta en plus grand nombre.
Mais avec si peu de place, concevoir du Bacta n'allait pas suffire et nous-même en avions besoin.

Alors mes bio-ingénieurs travaillèrent sur la chose, tout d'abord, des clones de Vratix furent conçus et par eugénisme, nous avons sélectionné ceux dont les gènes permettaient de concevoir plus Kavam de leurs glandes.
Apès, ce fut au tour de l'Alazhi, ces bactéries furent génétiquement modifiés pour être plus abondantes, fortes, mais surtout, leur principale source de nourriture, les champignons Xoorzi furent modifié. Utilisant un système d'épissage génétique tiré des vongs, nous avons hybridé des Xoorzi et des arbres malvil, deux espèces fongiques pour obtenir une espèce plus grande et résistante que les xoorzi, détruit le plus souvent d'un simple contact et avec la même qualité nutritive.
Nous avons enfin laissé ces champs être fertilisés par les descendants des morodins que nous avions capturé des siècles plutôt et que nous avions aujourd'hui assimilé a notre ordre, faisant d'eux des zuguruks.
Ces Xoorzi-malvil étaient, en effet, plus grands et résistants et les générations d'arbres nourris par les fluides des Morodins rendirent les alazhi plus prolifiques, mais aussi efficace, exactement comme prévue.

Néanmoins, je savais que l'empire était strict sur la surveillance de ses entreprises et je ne voulais pas voir notre nouvelle invention aux mains de ces derniers. Ce ne fut donc qu'une variante de xoorzi qui fut utilisé, bio-conçus pour être résistante et fertiliser néanmoins avec le même engrais. Ce Bacta de meilleure qualité trouva rapidement des acheteurs au sein de l'empire et de l'espace Chiss, l'entreprise étant officiellement basée dans les régions inconnues.

C'est à cette période que j'ai commencée à expérience avec mon propre génome, intrigué par les possibilités offerte par l'épissage génétique vongs.
À la base, cela venait d'une idée pouvant sembler bête, mais pourtant logique, me lier à l'esprit global des arbres baforr. À la grande époque d'Ithor, les Baforr étaient presque tous reliés en un seul esprit couvrant presque l'entièreté de la planète. N'importe quel arbre était au courant de n'importe quel événement qu'un autre arbre ressentait ou expérimentait.
Si nous utilisions la bio-ingénierie pour concevoir des arbres baforr plus efficaces et en utilisant la Force pour les faire grandir, nous pourrions recouvrir un nouveau territoire de ces arbres et surtout, je pourrais m'y lier.
Ainsi, j'expérience d'abord sur un clone de ma personne avant d'expérience sur moi-même, préférant la thérapie génique aux rétrovirus pour éviter les risques sur mon intellect. Mes tentatives sur mon clone furent un succès, après quelques tentatives sur quelques clones et je me fis subir la même thérapie, provoquant un changement important sur mon physique, donnant cette allure vitrifié a mon écorce, ce bleu distinct et cette luminescence caractéristique.
Les autres modifications que j'opérais furent avec les metalwood de Kuras III, me permettant de métaboliser des métaux directement sous mon écorce, mais surtout les plants de Lambent. Cette modification me permit sous l'impulsion de ma volonté, de concevoir de larges cosses rougeâtres abritant un cristal conçu par ma volonté pur et mon corps. Ces fruits devinrent un rite de passage de mes zuguruks, ceux dignes de devenir des vrai zuguruk devait ainsi lier leur implant au mien et cueillir l'un de mes fruits, le cristal qu'il abritait devenant un de ceux de leur sabre-laser. Ces cristaux étaient comme ceux des lambent, mais ils abritaient en leur sein, ma volonté, mes désirs et poussait ceux qui les utilisaient à devenir plus comme moi.

Le bacta plus puissant que nous fournissions au sein de l'empire fut acheté surtout Chiss que préfère acheté au sein du domaine impérial plutôt que de recourir aux stocks de la République, mais aussi en préparation de leur grand plan d'invasion.
Aujourd'hui, cela est clair, mais beaucoup à l'époque ne voyait pas là une guerre, mais c'était l'avis des naïfs, presque tous comprenait bien que le but des Chiss était l'expansion, mais encore fallait-il être proche de l'ascendance Chiss pour connaître ce plan.
La rentrée d'argent provoqué, permit de construire plus de stations ferme et de les redistribuer au sein de l'empire et de l'ascendance. La qualité de l'alazhi, se développant légèrement avec l'engrais importé des morodins, lui-même toujours de meilleures qualités.
Je savais que cette entreprise serait très rentable et je me présentais officiellement plusieurs fois lors de signature, non pas comme Darth Animus bien sûr, mais sous un pseudonyme, je reprit alors le vieux nom de mon ancienne mentor jedi Mahaaraka et apparaissait sous la forme d'une Chiss, mes feuilles imitant une chevelure blanche, mon écorce bleutée et mes implants mqaaq'it apparaissant rouge.
Je ne cachais pas être un neti bien sûr, c'était presque impossible, mais je démontrais une fausse admiration du peuple chiss et de sa culture.

Je ne pouvais pas ignorer les mouvements Chiss et parvins à installer quelques espions au sein de l'ascendance sith, notamment au sein de leur armée ce qui m'offrit une visibilité sur les mouvements de leurs forces.
Et ils s'approchaient d'un endroit que je ne connaissais que trop bien, mais que j'avais déserté depuis des millénaires, un dur rappel a notre glorieux passé et a la plus grande traîtrise de l'histoire sith. Zakuul, le monde où notre empereur éternel s'était incarné sous le nom de Valkorion et duquel est finalement venue sa fin ...
J'avais délaissé cette planète après la mort de Vitiate et le changement de camp de la planète, le peu de l'empire éternel avait sombré dans une profonde léthargie et ne présentait que peu d'intérêt pour moi, hormis une cruelle nostalgie ...

Les Chiss finissent par entrer en guerre avec l'empire éternelle et créent de façon inattendue un remous important dans la politique galactique. Le début de la fin pour le Triumvirat Galactique sonnait maintenant par cet acte pourtant anodin.
Zakuul finit par être vaincue 10 ans après le conflit, les chevaliers de Zakuul forcé à l'exil pour ceux ayant survécu et leur empereur disparut des radars avec le trône éternel et les restants de sa flotte.
Où trouva-t-il refuge ? Là où tous les utilisateurs de la Force, trahis, bafoué et plein de vengeance se retrouve toujours, au sein de l'espace sith ...

Avec ce qui lui restait de force, avec son charisme et avec sa maîtrise de la Force elle-même, Cao Hang, l'empereur éternelle, commença une croisade secrète pour mettre à genou ce qu'il restait des sith et les unifiés sous sa coupe.
Comment est-il parvenu à mettre à genou mon Zugurukajak me demanderez vous, comment m'a-t-il mis moi, le dernier jen'jidai sous sa coupe ... Et bien, il n'y parvint pas, ou plutôt, il n'eut pas à le faire.
Voyant comment il parvenait à maîtriser les autres sith, j'en vins rapidement a pensé qu'il pourrait être un chef acceptable pour ce qu'il restait de mon peuple. Alors je me présentais à lui, non pas le vrai moi, une copie de moi-même, conçus par le Similifuturus pour ne pas risquer ma vie.
Je me présentai comme j'étais et lui offrit mes conseils et mon aide pour unifier les sith. Utilisant mes connaissances sur les sith et l'emplacement de leurs bases actuelles, il n'eut pas de mal à terminer rapidement ce qu'il avait commencé. Et une fois les sith unifié, l'ex-empereur se prépara pour un autre plan, une idée qui avait germé dans son esprit et qui allait changer la galaxie d'une ampleur inattendue.

[750 à 1200]


Notre nouveau seigneur noir, Cao Ang avait porté ses yeux sur Hapès, poussé par son désir de vengeance sur la galaxie qui lui avait tout prit. Pourquoi Hapès ? L'Amas n'était pas une grande faction, riche, puissante, mais rien comparé à l'Alliance ou l'Empire, mais justement, il n'était aucun de ces deux-là, ce qui était un avantage.
Mais surtout, Hapès était "faible", pas physiquement, son armée était encore forte, mais par sa politique. Sa reine était stérile, ou en tout cas, c'est ce que les rumeurs racontaient et elles semblaient vraies.
Cette faiblesse apparente, dans une faction de second plan, mais néanmoins riche, c'était le terreau dans lequel Cao Ang désirait faire fructifier son plan. Ancien empereur, il avait certains standards et apprit l'étiquette d'Hapès afin de s'approcher de sa noblesse.

Avec le temps, j'avais développé une forte sympathie pour cet étranger, il avait forcé les sith a l'obéissance et était devenus notre seigneur noir en quelques années, ce que personne n'avait réussi en plusieurs siècles.
En réalité, il me rappelait quelque peu Vitiate, l'un des seuls seigneur sith à avoir jamais été digne d'être notre Sith'ari et honteusement trahis par son peuple. J'espérais seulement qu'il n'ait pas le même destin et puisse reprendre en main notre culture pour lui redonner un semblant d'âge d'or.

J'ai donc aidé l'ancien empereur par mes conseils, mais aussi par mes espions, adroitement placés dans la galaxie, je tirais des ficelles invisibles pour l'aider vers son but. Certains d'entre eux, placé proche du pouvoir d'Hapès et de ses entreprises les plus riches me permirent d'aider discrètement notre seigneur noir dans son but.

Il parvint à séduire la reine d'Hapès et finalement à l'attirer jusqu'à nous, faisant d'elle son apprentie sith dans l'ombre. Ce fut ma première rencontre avec la reine d'Hapès, notre première reine éternelle et j'observais sa formation avec intérêt, elle n'était pas qu'un outil du plan, le plan de Cao reposait sur la réussite de sa formation, sans elle, nous retournerions sûrement dans l'ombre.

La reine finit par porter un enfant, née du coté obscur de la Force grâce à l'alchimie et Cao Ang en était le géniteur. Nous avions une héritière à notre future empire sith et nous allions redoubler d'efforts dans la réalisation des plans de notre seigneur noir !
Hélas, Cao Ang était devenus faible, faible physiquement, son corps avait longtemps vécu, supporté trop de guerres et de blessures et sa pratique rapide et lourde du côté obscur avait aggravé cela. Je l'aidais comme je le pouvais, prodiguant à notre empereur les soins que je pouvais, mais je ne pouvais pas le sauver, tout au moins ralentir l'avancé de sa fin.

Finalement, ce fut sur Korriban que Cao Ang parvint à trouver un remède à son mal, ou plutôt une solution pour la poursuite de son Grand Plan. Il parvint à contacter l'esprit de Ragnos Marka et à tirer de lui un savoir que je ne pouvais pas lui offrir.
Dans un rituel complexe de magie sith, il lia son esprit à Allianka Djo, mais plutôt que de l'écraser, de s'imposer à lui comme avec le Transfère d'esprit plus classique, il devint une part d'elle. Leurs deux esprits avaient comme fusionné, vivant en symbiose dans un seul et même corps.
Et bien que certains pourraient penser à un mensonge, que Cao Ang avait surpassé l'héritière des Djo et se faisait passer pour elle ou bien que son apprentie avait détruit son esprit et faisait croire qu'il vivait en elle pour se donner le pouvoir sur le sith. Mais moi, je pouvais encore voir Cao Ang en elle et je pouvais encore voir son apprentie.

Ce fut sous Allianka qu'un nouveau conseil noir naquit, on en avait plus eut depuis des millénaires maintenant, un conseil épaulant le seigneur noir des sith et agissant en organe décisionnel secondaire.
Je devins l'un de ces conseiller, bien qu'il n'y avait pas de rôle dédié à la science ou à la technologie, comme ce fut le cas sous Vitiate, je devins donc le "seigneur sorcier", le plus grand maître de la magie sith de l'ordre. Et je l'étais, après tout, je maniais la magie sith depuis 8.000 ans maintenant et je l'avais presque inventé au coté d'autres jen'jidai, je la pratiquais, ou plutôt j'en pratiquais une proto-forme durant la guerre des Cent Ans d'obscurité.

Ce conseil noir regroupait plusieurs chefs de cultes sith et autres factions majeures fédérées par Cao Ang, la secte des assassins, les inquisiteurs, les prophètes et quelques autres rôles.
De toutes ces sectes, j'avais un grand intérêt pour les prophètes et leur maîtrise du futur, mais surtout, j'étais très proche de l'inquisition, j'étais un jen'jidai et eux des garants de la tradition et du code sith. L'inquisition fut un allié et un outil utile pour moi, permettant de garder les sith dans le droit chemin et notre alliance mutuel nous donnait du poids au sein du conseil, il était presque sûr que lorsque je donnais un avis, l'inquisition viendrait à me soutenir et qu'au contraire, si l'inquisition donnait le sien, je la soutiendrais.
Les autres rôles comme le maitre modeleur ou le seigneur nécromancien était souvent de bons "amis", autant que pouvait l'être un sith, j'étais moi-même un maître de l'alchimie biologique sith et les modeleurs étaient souvent de grand, savant très intéressant. Les seigneurs nécromanciens étaient plus discret et leur profil variait énormément, de ceux fanatique de l'ancienne culture sith et utilisant leur pouvoir pour entrer en contact avec ces sages d'autres fois à ceux ne cherchant que le pouvoir et dominer les esprits mêmes des plus puissant sith pour leur pouvoir personnel.

Néanmoins, les vieux travers sith ne tardèrent pas a entraver nos plans, un seigneur sith nommé Darth Sephira considérait notre nouveau seigneur comme n'étant pas digne, ce que je ne partageais pas bien sûr. Mais, non-content de seulement le penser, il commença à vouloir régner lui-même et tenta de créer des dissensions au sein des sith.
Il osa prétendre à prendre Korriban par la force, Allianka ne pouvant pas employé des forces provenant de l'Amas sous peine de révélé les sith au grand nous étions livré à nous-même. Mais je ne le craignais en rien et peu après, Allianka démontra son savoir-faire en termes de punition expéditive. Des bases d'alliés de Darth Sephira furent attaquées dans toute la galaxie, un coup de maître qu'Allianka s'empressa de revendiquer et il fallait être stupide pour en douter.
L'avenir de ce seigneur m'indifférait au plus au point, mais je savais qu'il s'en était retourné sur Trandosha où il trouva finalement la mort aux mains du Soleil Noir. Une fin digne d'un parfait inconnu qui croyait pouvoir briller au sein des sith.

Finalement, notre reine se révéla atteinte d'une maladie incurable et en vint à offrir son savoir, son statut et ses âmes a sa fille Aya Djo, la dernière de la grande lignée des Djo.
Notre nouvelle jeune reine reprenait en main l'héritage de ses parents, des sith, de l'Amas et du Grand Plan.

Cette nouvelle reine est très intéressante, s'empressant de racheter l'entreprise Cyberdyne menacée par le triumvirat galactique et mena l'entreprise pour en faire un fleuron de technologie.
Cette vue scientifique du futur de l'Amas ne fit que me plaire, mais j'eus une terrible injure de la part de cette reine lorsqu'elle choisit l'androïde ISIS de Cyberdyne comme assistante et comme nouveau dirigeant de l'ensemble des droïdes GEMINI.
J'aurais pu concevoir pour nos reines un androïdes parfait, bien plus puissant que ce pathétique droïde, j'en étais persuadé et le fait qu'elle le choisissent lui plutôt que de demander à mon culte de concevoir cet assistant parfait fut pour moi une terrible insulte que je gardais pour moi. Aujourd'hui encore, j'espère qu'ISIS subisse un "accident" et que ma secte soit demandé de fournir une remplaçante bien plus digne !

Avec le temps, Aya Djo dévoila sa stérilité et plaça un nouveau système au sein de l'Amas pour décider de la future reine, ainsi, elle choisit la jeune Lana Solaris comme héritière et nouveau réceptacle.
Je n'ai que peu à dire sur son règne, hormis un plan auquel j'ai fait participé mes Zuguruks, celui de la réhabilitation de Mon Calamari. La planète océan, gravement empoisonné depuis Darth Wyrlock III reçut de la part de l'Amas un intérêt, la reine ordonnant un plan visant à rendre vivable la planète et ayant vécus sa destruction, je décidais d'y placer mes propres biologistes pour s'en occuper.
Dans le même temps, certaines de mes entreprises se joignirent aux travaux, prétextant d'offrir leur aide à ce beau projet. Notamment des entreprises qui s'étaient montré protectrices avec les peuples exilés de Mon Calamari, qui leur avait trouvé de nouveaux foyers et des emplois, un but officiellement altruiste, mais qui cachait comme toujours quelques plans élaborés.

Les reines éternelles parvinrent avec le temps à mettre la main sur le Soleil Noir par quelques machinations et l'utilisèrent dans l'ombre pour commencer à créer un début de chaos. Un chaos qui une fois à son paroxysme permettrait l'arrivé sur le devant de la scène des sith et l'invasion de la galaxie par nos troupes.
J'aidais dans l'ombre le Soleil Noir pour ma part, utilisant toujours des sociétés-écrans, mais ici, des sociétés de l'ombre, vivant de contrebande et surtout de la vente parfaitement illégale de nombreuses technologie prohibé, un marché florissant.
Avec le temps, un climat de terreur a commencé à s'installer dans la Galaxie, l'empire se mit à concevoir plus d'armes et de vaisseaux, le futur Consortium en fit de même et l'Alliance Galactique et ses jedi ne parvenaient que difficilement a traité les nombreux cas de révoltes et de guerre de gang provoqué par le Soleil Noir, tout en tentant de calmer le jeux entre les deux autres factions.

Et finalement, le temps était venu, après 450 ans de préparations, de nombreuses révoltes éclatèrent sur des planètes de l'Alliance réclamant l'indépendance de leur monde.
Darth Ankh se révèle à la galaxie finalement sous son titre sith, déclarant la création du Consortium Éternel alors que de nombreux mondes comme Ondéron ou encore organisation comme le Secteur Corporatiste vinrent se joindre au futur grand empire sith.


[1200 à 1500]


L'officialisation du Consortium Éternel eut l'effet d'une bombe, l'empire se désolidarisa rapidement du Triumvirat et l'ordre jedi lui se joignit à l'Alliance qui en vint à disparaître pour devenir une nouvelle fois une République Galactique.

Suite au ralliement du secteur Corporatiste au Consortium, j'engageais mes sociétés-écrans dans une "fuite organisée", la plupart d'entre elles ne sont connue que de moi et mes zuguruks, certaines sont même tenue à l'écart de ma secte, hormis pour quelques "élus" afin d'en garder le secret.
Une de mes plus vieilles entreprises ayant aidé à la fuite de la planète Mon Calamari sous l'empire de Krayt et ayant de forts liens avec les peuples de Dac, ayant participé notamment à la reconstruction du monde quelques siècles auparavant s'est officiellement révélé comme d'origine sith. Invitant les autochtones de Dac à retourner sur leur planète et rejoindre le Consortium avec comme sûreté que cette même entreprise les avait aidés à fuir par le passé et qu'ils n'acceptaient pas les actions des anciens sith. Une tactique visant à ramener les autochtones Quarrens et Mon Calamari ou au moins brisée leur vision des choses souvent manichéenne sur les sith.

Après la fuite de mes sociétés-écrans et le démantèlement du Triumvirat, il n'était plus possible d'avoir des entreprises travaillant au sein de chaque front, j’opérais donc un rachat d'infrastructure sur certaines entreprises ayant des bâtiments au sein de l'empire, mais ayant rejoint la République et inversement.
C'est ainsi que sous mon alias de Mahaaraka, je parvins à racheter des infrastructures de conceptions d'armes, de droïdes et de composant de vaisseau, et ce, de façon légal et discrète.

Un des premiers combats de notre nouveau Consortium fut la libération de Dathomir, libération à laquelle je participais bien que le terme de génocide soit plus correct puisque nous avons tout simplement éradiquer toutes poches de résistance des sorcières aligné sur le côté lumineux de la Force, offrant ce mode à leur opposé, les sœurs de la Nuit.
Ces dernières travaillaient secrètement pour le Consortium depuis longtemps et les aidé était une chose naturelle et utile pour nous, je m'opposais néanmoins à leur place au sein du Conseil Noir. Le Conseil Noir était un héritage sith, du peuple sith, de la culture sith, les dathomirienne n'avaient rien de tout cela, hormis dans de rares exceptions, il y eut et il y avait des sœurs de la nuit sith, mais ce n'étaient pas toutes les sœurs.
Bien sûr, mon opposition à ce choix ne fut que symbolique, je n'avais aucun pouvoir de décision à ce niveau-là des choses, quoique j’essayasse d'imposer que le statut de grande matriarche des sœurs de la nuit et donc sa place au Conseil Noir ne soit néanmoins offert qu'à une matriarche ayant étudié et respectant les traditions sith, sans pour autant avoir a abandonné ou brader les siennes.

La guerre prend un tournant hors du commun, chaque faction profitant de point fort unique à eux-mêmes et elle devient plus violente qu'aucune autre. Des combats furent bien plus sanglants, mais aucune guerre d'une telle intensité ne dura aussi longtemps.

Mais c'est en 1400 que la guerre devint intéressante, pour moi en tout cas. Je pus délier mes créatures et mes commandos, les envoyant directement sur les lignes ennemies, répandant mon techno-virus sur des mondes encore "en paix" et ranimant les morts des deux camps sous ma volonté. Je n'étais pas un grand guerrier et mes compétences au sabre, bien qu'existante, était relativement médiocre comparé à nombre de mes alliés et opposant, mais je n'avais pas besoin de sabre pour cette guerre.
Mon techno-virus se suffisait presque à lui-même, combiner à mes panthère-mantes discrètes ou mes Heptapodes, de véritables engins de destruction massive. La nécromancie ne faisait que faciliter de travail, réduisant à néant les pertes que mes forces recevaient et s'améliorant en recevant celles des ennemis.
Néanmoins mes Hydre-guêpe, elles, restaient cachées à la vue même des autres siths, dissimulé au sein de mes bases et utilisé uniquement lors de quelques rares assauts, apparaissant aussi vite qu'elles pouvaient repartir. Cela donna lieu à quelques légendes sur des insectes ailé de la taille de croiseur, légende que je ne réfutais pas, j'attendais simplement le bon moment pour utiliser ces dragons a leur plein potentiel au côté de l'effet de surprise.

Mon usage intensif et constant du Similifuturis fut un atout indéniable, au grand damne de mes ennemis et l'étonnement de mes alliés, je pouvais me trouver à plusieurs endroits à la fois et survivre même lorsque mon "corps" était tué.
Une technique qui me sauva au début du conflit notamment, lorsqu'un jeune prétendant a mon titre trop présomptueux osa et parvint, dans un acte de traîtrise et de lâcheté à me "tuer". Il usurpa mon poste pour un court instant, avant de recevoir la visite de membre d'élite de mon Zugurukajak venu lui jurer fidélité avec un cadeau, un cadeau qu'il refusa, voyant bien la traîtrise, mais il était trop tard pour lui.
La boite contenant un Ysalamiri modifié par le mechu-deru vitae, qui bloqua la Force autour de lui, mes zuguruk parvinrent aisément à la capturer et à l'amener à moi. Cette trahison fut la seule, puisque sa mise à mort fut diffusée au sein de l'espace sith, un acte que je n'appréciais guère, mais il fallait faire passer un message fort. Ainsi, tous purent voir l'instant où je posais ma main sur son visage, l'enfonçant dans sa bouche avant d'y faire croître mon corps d'arbre en pénétrant son corps, incapable d'utiliser la Force, il ne put rien faire que sentir mes branches le transpercer de part et d'autre et son corps se déchirer par la pression exercée.
J'espérais que cette petite mise en scène peu ragoûtante serait efficace pour rappeler à tous que j'étais le SEUL Seigneur Sorcier et que la trahison ne serait pas tolérée.

Dans toutes cette guerre sanglante, un nouveau venus discret vint à se montrer au sein de l'espace Hutt, après la fin du Soleil Noir et sa quasi-absorption par le Consortium Éternel, j'avais laissé mes organismes illégaux marchander au sein de l'espace Hutt.
Une rébellion naquit sur Behriz, une rébellion qui fut capable de développer rapidement un nombre constant de troupes droïdes, quelque chose d'impossible pour de simple résistant sans moyen, ce qui attira ma curiosité.
Je me fis donc une joie de fournir des armes a cette jeune révolution afin de peut-être gagner une place plus importante pour mes infrastructures illégale.
Cela passa par des vaisseaux modestes ou des armes souvent illégales comme des disrupteurs, mais aussi par une "innovation". Cette entreprise illégale offrit de petits commandos à la faction naissante sous la forme de nouveau droïde, des droïdes HK-150, une forme améliorée et au goût du jour des droïdes HK bien plus proche des modèles HK-50 et 51 que des modèles suivant comme les HK-77.
Je n'avais pas prévu ces droïdes pour une future rébellion contre les Hutt, je pensais à dire vrai leur vendre même une partie. Le but de ces droïdes était de créer des chasseur des primes, des commandos ou plus simplement des assassins travaillant secrètement pour mon Zugurukajak, loin de l'espace sith et donc loin de moi. De tels droïdes pouvaient assassiner quelqu'un sur mes ordres sans pour autant que mon zugurukajak n'en soit tenue responsable, ou même les sith en général. Et cette rébellion allait me donner une excuse encore plus crédible pour cela.

Cette rébellion gagna du terrain et finalement parvint même à devenir une faction apparentière en repoussant les Hutts de leurs systèmes détenus depuis des millénaires. C'est ainsi que je gagnais un alias officiel sous la forme d'un gérant Revwien au sein de ce nouveau belligérant qu'est l'Apex et un marché illégal plus important que jamais. Vendant des vaisseaux de types chasseurs ou cargo, des armes ou objets illégaux au sein des autres systèmes, des créatures rares de mondes exotiques, des prothèses mécanique notamment pour les espèces à physionomie non-humaine, comme les espèces végétales et bien sûr, mes HK-150.

Le conseil noir, aujourd'hui, est bien différent que ceux des anciens empires sith, Darth Ânkh, nos reines éternelles ont travaillé a augmenté artificiellement par le métissage le nombre d'hapien et hapienne sensible à la Force et une très grande quantité aujourd'hui vivent sous le code sith. Certains plus xénophobes que d'autres, certains plus doué que d'autres…

Parmi ceux-ci, se trouvait la récente maîtresse modeleuse, Darth Yenna, successeur spirituel de l'antépénultième maître modeleur, feu son maître, un statut arraché au pénultième maître via un Kaggath. J'avais observé avec grand intérêt ce dernier, déplaçant des clones de ma personne, conçus via le Similifuturis, observant le champ de bataille, un combat distrayant et intéressant.

La galaxie évolua aussi encore dans l'art de s'entretuer, les verpines offrirent aux mandaloriens des armes à propulsion magnétique encore jamais vue auparavant usant d'une technologie de pointe propre à leur peuple et hélas pour moi impossible a recopier en l'état sans étudier plus en détail ce matériel.
La République elle, développa des armes usant de l'électricité comme arme même à un niveau bien au-delà des fusils à foudre pourtant bien connue depuis l'ancienne république, capable de touché plusieurs cibles et de se répandre, comme s'ils avaient créé des fusils capable de tirer des éclairs de Forces.
L'empire développa des armes dites à « Fusion » employé des centrales nucléaires miniaturisé comme source d'énergie les rendant extrêmement dangereuses, mais ayant un besoin en énergie nulle.L'empire développa des armes dites à « Fusion » employé des centrales nucléaires miniaturisé comme source d'énergie les rendant extrêmement dangereuses, mais ayant un besoin en énergie nulle.
Toutes ces armes, cela prendrait quelques décennies sûrement avant que nous puisions les reproduire, je n'étais pas pressé moi-même, mais mon orgueil me poussait à rechercher leur secret, des armes que mon Zugurukajak ne pouvait reproduire ? C'était presque une honte !
Alors nous commencions nous aussi a travailler sur des nouvelles armes, des fusils à disruption plus rapide et efficace, des nouveaux alliages de matériaux, mais surtout, notre actuel chef-d’œuvre inspiré du Charric et donc des armes Maser Chiss en général. Un système d'accélération innovant et unique à mon Zugurukajak, pouvant accélérant tout types de projectiles, qu'ils soient d'énergie ou de matières solides, des armes à accélération gravitique ! Une modification simple utilisant plusieurs basal dovin modifié, utilisant comme base ceux des mines à singularité, augmenté génétiquement par épissage génétique pour arrivé à un résultat acceptable et nourris par des Morodins. Une fois matures, ils étaient soumis au techno-virus et ajouté au niveau du canon des armes sélectionné comme une pièce de composante normale quoique techno-organique, leur usage était ensuite simple, lorsque la détente était pressé, les basal dovin accélérait le projectile comme ils pouvaient propulser un vaisseau, attirant « vers le bas » à une très grande vitesse le projectile en considérant ici le bas comme le bout du canon. Une accélération rapide, brute et continuant légèrement au-delà du canon, jusqu'à ce que les basal dovin ne pouvait plus affecter le projectile. C'était une façon modifiée de copié la technologie verpine, encore à l'état de prototype néanmoins.
Les résultats étaient très satisfaisants et attendaient simplement d'être testés sur le terrain, je l’espérais sous peu pour montrer à nos reines le savoir-faire du Zugurkajak.

J'avais déjà subi la honte de voir ce pathétique gynoïde d'ISIS servir de droïde de base à nos majestés et pas un droïde de ma facture, je ne voulais pas qu'une telle humiliation ne vienne pas à se reproduire, encore ?
Mais j'avais à cœur de ne pas seulement montrer que nous étions doué, mais bien les meilleurs ! J'avais déjà subi la honte de voir ce pathétique gynoïde d'ISIS servir de droïde de base à nos majestés et pas un droïde de ma facture, je ne voulais pas qu'une telle humiliation ne vienne pas à se reproduire, encore ?

Aujourd'hui, la guerre est beaucoup plus calme qu'elle ne le fut jamais, mais la tempête se prépare a souffler encore et je serais là quand le vent soufflera pour apporter l'âge d'or des sith.

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Darth Animus [Terminée, 100%] Empty Re: Darth Animus [Terminée, 100%]

Jeu 14 Juil - 14:32
Après 1 mois et 14 jour d'écriture, j'ai le plaisir de pouvoir enfin signaler que ma fiche est terminée !
J'espère qu'elle ne sera pas trop indigeste, j'ai fait en sorte de corrigé le plus de faute, j'espère ne pas en avoir oublié et surtout, j'espère que cela vous conviendra !

A plus tard et merci bien !
Darth Ânkh
Darth Ânkh
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Taa’Chume
Dame Noire des Sith
FondateurTaa’ChumeDame Noire des Sith

Darth Animus [Terminée, 100%] Empty Re: Darth Animus [Terminée, 100%]

Jeu 14 Juil - 21:53
Bon.

Normalement, je devrais faire des formules de politesse d’usage, mais je ne suis franchement pas certain qu’après ce commentaire, cela ne semblerait pas simplement totalement hypocrite, de ce fait, je vais essayer d’être le plus explicatif possible en restant dans des choses simples. En premier lieu, je vais faire preuve d’honnêteté : nous n’avons pas tout lu : nous avons simplement arrêter après l’équipement : nous avons déjà tellement a dire que si nous décidions de décortiquer l’ensemble, il nous faudrait un commentaire plus long encore que la fiche qui viendrais a bout de notre patience et de notre santé mentale. Mais comme tu est un joueur de Warhammer 40k, je vais pouvoir employer une métaphore de Primarque assez simple : le poste que tu convoite est un poste de Seigneur Sorcier, dont le Primarque qui s’en rapproche le plus est bien évidemment Magnus. Toutefois, ton personnage ressemble bien davantage a un mélange maladroit et absurde entre Perturabo, Mortarion et Alpharius (et certes, nous sommes potentiellement tous Alpharius, mais il y a un moment ou il ne faut pas pousser mémé dans les orties et dire que cela pique.). Pourtant, tu ne peut pas dire que je ne t’avais pas prévenu : après avoir écarter l’option du Croke, je t’ai fait plusieurs suggestions que tu a toute rejeté en t’obstinant sur la même voie qui était sans avenir. Le résultat d’aujourd’hui est le résultat de cette obstination, des semaines d’écriture vaine dans un personnage sans aucun défaut, optimisé a en faire pâlir d’envie n’importe quel Dieu du Chaos et si imbuvable que le codex Tyrannide pré-nerf de la dernière dataslate semble soudainement bien plus équilibré a côté.

Pour commencer, parlons des pouvoirs : s’il ne sont pas hors du règlement, ils ne conviennent absolument pas avec le rôle : l’on sent qu’il s’agit d’un personnage réorienter dans un rôle qui ne lui convient pas plutôt qu’un véritable personnage pensé pour son rôle et cela ne peut tout simplement pas fonctionner. Mais s’il n’y avait que cela, l’on aurait put poursuivre la lecture sans aucun problème. Malheureusement, tel Ridley Scott nous infligeant Prometheus, tu nous a infliger bien pire, et l’on a vraiment pas survécu a tant d’ennui face auquel notre cerveau a simplement décider d’abandonner notre corps, tel une partie de torture face a Dark Castle.

Il y a déjà un problème dès le rang du personnage : tu ne joue pas un espion, et de plus, même pour l’espion le plus qualifié, une infiltration dans deux factions différente est rigoureusement impossible : il n’y a pas le temps de pouvoir séparer ses activités entre les trois factions ou il doit assumer des responsabilités. Alors oui, je sais, l’Alpha Légion, c’est cool, mais Alpharius a tout un état-major pour le seconder et ne peut pas espionner plusieurs faction en même temps, même en mobilisant son frère jumeau, sans s’appuyer sur son état-major.

Maintenant, l’on va parler des implants : nous n’avons pas fait une liste des implants pour rien : il s’agit bien de s’assurer d’offrir un cadre pour ses derniers. Si certaines espèces pourraient disposer d’implant n’était pas sur la liste car ils font parti de leur culture ou tradition, ses implants prendraient place dans la partie Capacité raciale, non implant cybernétique. De plus, la technologie organique et biotechnologique ne se cumule pas aussi facilement, chacune ayant énormément de mal a vivre avec l’autre. Comme dans la catégorie suivante, l’on sent bien que chaque mélange est penser pour faire quelque chose de bien précis, c’est a dire optimiser a outrance pour chasser toute faiblesse. Exactement ce que l’on te reproche depuis que l’on lit tes fiches, et que tu vient de refaire avec encore de plus gros sabots qu’à l’époque. Et pourtant, nous offrons ici un cadre assez libre, avec des personnages qui peuvent atteindre déjà une puissance très grande sans même avoir besoin de faire preuve d’une grande créativité, simplement en suivant les règles. Mais tu fait partie des personnes qui en veulent toujours plus, qui lorsqu’on offre une part tente de voler tout le gâteau.

La partie des modifications génétique est pire : de fait, comme elle n’a pas de cadre précis, tu n’a fait qu’essayer de donner vaguement l’impression de faire comme Yenna en faisant dix fois pire. Déjà, une fois enraciné, rien n’indique que les Neti soient capable de pouvoir se remettre en forme humanoïde, ce qui ne te permet pas de changer a volonté de forme. De plus, je vais le répéter, l’organique, le végétal et le métallique ne peuvent se mélanger ainsi : en progressant sur le chemin vers le transhumanisme, les cyborgs font aussi des SACRIFICES pour devenir plus puissant, ils abandonnent au fur et a mesure ce qui faisait leur humanité pour devenir de plus en plus proche d’une machine sans âme, c’est l’un des éléments essentiel de leur existence au sein de l’intrigue. Ici, tu transcende tous les états sans aucune contre partie, en t’octroyant en plus des avantages Vong qui sont aussi délirant qu’inacceptable. L’équipement suit exactement le même chemin, Aerys a eu la patience de lister tous les problèmes, mais honnêtement, je ne l’aurais pas, c’est aussi fastidieux qu’inutile.

Pour résumer, nous avons l’impression que tu t’est simplement moqué de nous, ou que ta mémoire est particulièrement sélective. Si tu veux rester, tu va devoir suivre SCRUPULEUSEMENT toutes ses conditions :

1 / Le personnage ne pourra pas dépasser le rang III
2 / Aucune modification génétique
3 / Pas d’espion, pas d’infiltration.
4 / Pas de sensitif
5 / Pas de personnage plus vieux que le début du conflit.
6 / Tous ce qui sera sélectionner devra rester simple et dans le cadre des limitations fourni sur le forum.

Si tu ne te sent pas capable de respecter ses restrictions, il est préférable pour toi de trouver un forum qui acceptera ta façon de voir les choses, car ici, c’est rigoureusement impossible.


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