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La quête de la princesse, de l'orang-outan et de la pelote de laine ! [PV Mànàka Tulgar] Empty La quête de la princesse, de l'orang-outan et de la pelote de laine ! [PV Mànàka Tulgar]

Dim 7 Fév - 18:35
Je vous décris le tableau. Un truc complètement ouf…
Une quête, un ennemi… jusque là, rien de bien atypique. Sauf que d'une pelote de laine, on se retrouve à devoir réveiller des ourangs outan, géant, qui plus est en pierre et samouraï. Ça vous dit de connaître la suite ? Ben, moi aussi, à vrai dire !


*  *
*


Moi une mandalorienne, mercenaire, fougeronne qui vit avec une belle équipe de bras cassés – je vous présente pas mes compagnons, vous les connaissez déjà - et qui a comme compagnon un varactyl, complètement allumé – comme sa maîtresse – que j'ai prénommé Dolloh. Depuis quelque temps il a, lui aussi un compagnon de jeu. Heash a adopté un lézard de Tatooin, qu'elle a prénommé ''Plume'' – sacré plume, putain, quand il commence à courir après Dolloh, ils nous démonte la moitié du vaisseau ces deux là, on se croirait dans Tom & Jerry. Après, je me demande, si ce n'est pas cette petite bestiole qui a adopté Heash, parce qu'elle n'est pas du genre à se laisser dompter. C'est assez marrant de voir Heash, notre artilleuse de choc, surnommé ''La Fusée'' avoir un animal de compagnie. C'est Hett qui pète un câble avec nos deux lézards dans le vaisseau. Mais une fois, je l'ai surpris en train de dormir avec les deux, un contre son cou et l'autre au creux de son coude, c'était tellement mignon – mais je me cacherais de le lui dire, car mon co-pilote ne veut pas qu'on sache que c'est un cœur tendre, derrière ses aires de gros monsieur muscles.

Mon équipe c'est ma famille, on se protège et on se charrie beaucoup. Mais pour ce qui va suivre, je serais seule. Enfin, seule, oui et non… Aller savoir pourquoi, Dolloh m'accompagne. Lui qui ne veut que rarement sortir de son casque et surtout du Blue Beast, mon vaisseau, sa maison… pour cette aventure, il ne me lâchera pas.

*  *
*


Je vous plante le décor… enfin je vais essayer ! Moi, une pauvre petite demoiselle en détresse – mon cul, ouais… c'est pas mon genre, mais là je suis obligé de suivre le script. Donc, moi, une pauvre demoiselle en détresse… ça me saoule déjà ! Je me trouve dans une petite chaumière, au fond de ma cuisine, en train de préparer je ne sais quoi. L'eau boue sur le feu, la pelote de laine blanche dans la main... Non, mais attends, j'ai une gueule à faire du tricot ?! Bref… Je regarde par la fenêtre, le ciel… heu, ben on dirait qu'une licorne a pété un peu trop fort. Un beau ciel de toutes les couleurs, c'est un mélange d'aurore boréale et de fumette de hippy. Avec des papillons gonflaient à l'hélium, un soleil qui chante et des bisounours qui sautent de nuage en nuage – heu, en faite ce sont des barbes à papa. Mais c'est quoi ce décor, on se croirait dans le monde des toons de Roger Rabbit. Les fleurs chantent, les oiseaux viennent à ma fenêtre pour me parler… et bientôt, quoi ? Je vais me mettre à chanter en faisant le ménage, comme Blanche Fesse… heu, Blanche Neige ? On m'a donné un coup sur la tête, ou on m'a fait fumer, je suis où là ?  J'ai un bug, je crois.

Dolloh, endormi sur la table, dans son casque s'étire et me dit :


- Bon, tu vas la mettre à cuir cette pelote de laine ou faut que je le fasse moi-même. J'ai la dalle moi…

Je le regarde, étonné et dubitatif, mais je m'exécute. Je jette la pelote dans l'eau bouillante, en manquant de me cramer, par-dessus tout. En attendant que ça cuisse, je met la table pour trois. Trois ? Non, ne me dis pas que j'ai, en plus de ça, un chevalier servant, sur son grand cheval blanc. En m'afférant à mettre cette table, je passe devant le grand miroir à côté de la table. Oh, la vache… là, c'est le pompon. Je ressemble à la princesse des contes à chier, avec ma grosse robe meringue, blanche pailletée, des manches bouffantes, un décolleté à faire plonger n'importe quel abruti et des papillons accrochés un peu partout. Mes souliers, sont tout aussi ridicules et pas pratiques avec des talons de douze centimètres, argenté avec une grosse fleur de cristal. Youpi… ah non, mais là c'est l'apothéose ! J'ai les cheveux attaché en un chignon haut, avec des bouclettes, des paillettes en veut tu en voilà, j'en dégueule des paillettes. Mais le pire c'est la couronne. Une couronne… et je marche, en plus, comme une gonzesse. Vous voyez Gisèle, ben pareil ! Qui c'est qui m'a gerbé ça ?

J'entends au loin, les sabots du cheval de mon chevalier. Il arrive en faisant cabré Maximus, son bel étalon blanc. Je dépose ma pelote de laine cuite… en faite ça s'est transformé en riz d'un blanc éclatant. Je crois que je ne vais pas chercher. Je cours pour ouvrir la porte et accueillir mon preux chevalier. Lui, ce beau et vaillant combattant, dans son armure étincelante, il a vraiment fière allure sur son cheval blanc. Quand, il me sourit ses dents m'aveugle, elles sont si brillantes et d'un blanc immaculé. Je ne peux résister à son regard de braise, à la façon du Dr Bravestone, attractif et irrésistible. Je l'accueil en me prosternant… Non mais là, ça frise le ridicule… il se met à table, je le sert. Et là, il trouve une clé dans son riz. Je m'exclame, avec surprise, mais surtout sur jouer :


- Oh mon Dieu, une clé. Elle doit mener à une quête, mais laquelle mon beau Godefroy De Monmiraille ?

Je crois que nous avons dépassé tout ce qui pouvait être ridicule. Qu'est-ce que je fou là, moi. Au secours, sortait moi de là. Je suis consciente de qui je suis, mais je me comporte comme une princesse neuneu. J'ai l'impression d'être dans le corps d'une autre et pourtant c'est bien le mien. Mais, je réagis comme si j'étais un pantin de bois, comme Pinocchio. C'est quoi cette histoire, je suis dans quel monde, Dolloh parle et je suis une putain de demoiselle en détresse.

Allez savoir, est-ce un rêve ou quelqu'un m'a envoyé ici ?  

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La quête de la princesse, de l'orang-outan et de la pelote de laine ! [PV Mànàka Tulgar] Empty Re: La quête de la princesse, de l'orang-outan et de la pelote de laine ! [PV Mànàka Tulgar]

Ven 18 Mar - 18:01
Bon, ça c'est moi. Le truc qui ressemble à un gros chien, avec un moule-boule rouge, qui chevauche un dragon à trois têtes qui crache des flammes, toutes en même temps. Ca envoie du lourd non ? Ouais, ben en fait, avant même d'en arriver là, c'était pas la joie non plus. Le coup du "tadam ! Tu es l'élu bla bla bla…" Ca ne marche que dans les films et les bouquins pour sale gosse, voir pour les ados boutonneux qui bouffent des chips et regardent du hentaï le soir depuis leur portable ! J'suis doué en descriptions n'est-ce pas ? Et ben, pour en revenir à nos moutons, que j'ai déjà fait en méchoui… Mon histoire ne commence pas comme les autres. De base, je suis un Mandalorien. Vous savez, les groupes qui portent des putains d'armures ultra badass. Qui bottent le cul des Jedi et, par-dessus le marché, PETE SEVEREMENT LA CLASSE A TOUS LES ETAGES ! J'étais l'un d'eux. Sauf que, allez savoir pourquoi, je me suis retrouvé bazardé ici. A faire le con, à choper des puces qui me suce le sang à longueur de temps, et surtout… Avec ce CENSURE de collier anti-puces que l'autre greluche de Tomb Raider de chez Wish m'a forcé à porter !!! Je vais la bouffer tôt ou tard l'autre chaperon rouge au rabais !

Enfin bref, entre deux cafés, je vais vous expliquer ce qu'il m'est arrivé. Et si ça ne vous plais pas… Qu'est-ce que je suis censé en avoir à foutre au juste ? Libre à vous de ne pas continuer de lire ! [Insérer ici un smiley qui tire la langue.]

* *
*

Je me promenais donc dans les bois, la queue à l'air – je suis un homme-loup, bande de pervers – et la griffe retirant les restes de mère-grand d'entre mes crocs. J'ai d'ailleurs mis la brunette dans le congel' pour l'hiver prochain. Le bûcheron était un pervers notoire qui a fini par se faire arrêter par le Sheriff de Rotehengamme ! Comme je le disais je marchais dans les bois, et alors que je ne regardais pas où j'allais, j'ai fini par trébucher. Et je me suis retrouvé à dévaler une pente, mais pas gentiment hein, façon Homer Simpson lorsqu'il descend le long du ravin de Springfield. Donc après une bonne demi-heure de descente en rappel, sans corde, et avec pas mal de sang qui jaillissait de mes poils magnifiquement brossés du matin même, je fini par arriver tout en bas.

Enfin, en bas… C'est un peu plus compliqué que ça. Vous savez, le nord, suivant comment on est tourné, ça change tout ! Et ben là c'était pareil. Après ma descente, je ressemblais plus à un tableau façon cubisme qu'autre chose. Me remboîtant les membres, avec les dents s'il vous plait car tant qu'à faire, autant le faire bien n'est-ce pas, je fini par continuer mon chemin. Le bon côté des choses fut que dans ma chute, je perdis une dent, une de celle entre laquelle j'avais un morceau de mère-grand de coincé. Bah ! Ca repousse vite !

Arrêt immédiat ! Mes yeux s'écarquillent. Ca pique ! Je me gratte derrière l'oreille droite avec ma patte arrière – pratique d'être souple – gauche. Saloperies de puces à la con ! Par la barbe de Gimli ! Elles me gonflent ! Mais, mais…


- MAIS C'EST QUE CA SENT LE CHEVALIER ! MANGER !

Mon cerveau ne fait qu'un tour, je me mets à quatre pattes et je commence à courir comme un dératé à travers les bois, la langue sortant de ma gueule, les yeux grands ouverts, avec une seule chose en tête : MANGER DU CHEVALIER ! Stop ! Instant gratouille ! Ma queue ! Non Manàkà, tu te reprends, tu ne dois pas courir après… ARGH ! Je suis faible !

Au bout de plusieurs minutes de course frénétique, l'odeur du chevalier revient. Manger ! Une bicoque, façon Disney, avec les piafs qui chantent, les rats qui ratent et les morceaux de gruyère qui rapent ! Fallait bien que j'arrive à la placer, et avouez, que ça vous a fait sourire, au moins un peu ! J'enfonce la porte, et en deux secondes, j'ouvre la conserve et je commence à bouffer le chevalier. Affalé sur ce qui était sa chaise, je lâche un rot tonitruant qui fait trembler les murs, Shrek n'a qu'à bien se tenir !

Je me gratte le ventre, bien rempli. Le plus gros problème avec les chevaliers, ce sont leurs armures, c'est comme les huîtres, je n'ai jamais réussi à digérer la coquille. Zut, il reste une main. Le retour de la Famille Adams !


- Salut ma grande ! Désolé, mais je n'ai plus faim pour te bouffer, mère-grand m'est restée sur l'estomac… BEURP !

Tiens, une clé ! La clé des champs ? Une USB ? Ca me rappelle une blague ça... Mais la flemme de me faire censurer par Disney… En parlant d'eux, pourquoi j'ai maintenant un chapeau avec des oreilles rondes et noires ?

- Aller poupée, on fait un jeu ! Si je te dis que je suis la mascotte d'une société machiavélique ! Tu penses à qui ? Et c'est pas la Warner !

Bordel, mais c'est quoi cette histoire de dingue ? AH ! LES PUCES !
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La quête de la princesse, de l'orang-outan et de la pelote de laine ! [PV Mànàka Tulgar] Empty Re: La quête de la princesse, de l'orang-outan et de la pelote de laine ! [PV Mànàka Tulgar]

Sam 19 Mar - 18:40
Le riz éclatant et fumant sur la table. Mon chevalier avec sa clé dans la main, en train de l'admirer. Ou peut être est-ce lui qu'il admirait dans son reflet ? Narcissique, bonjour ! Cependant, nous devions partir en expédition. Mais je n'étais pas vraiment habillée pour un tel périple. Il fallait que je me change, je ne pouvais partir dans cette tenue, vraiment pas pratique. En premier lieu, il fallait que me dégotter une tenue plus simple, et surtout qui me convienne. Me voilà, partie dans la minuscule chambre - en tout cas ce qui pouvait me servir de chambre. Elle était décorée avec un goût tout aussi écœurant, que l'extérieur de ce monde. Ici, on aurait dit que des fées étaient venues gerber des fleurs et des paillettes. Il y avait des lianes qui parcouraient tout un pant de mur, qui me servait de tête de lit. Des fleurs, des fleurs et des fleurs… c'était vraiment trop. On aurait dit qu'elles étaient toutes fraîches, mais qu'elles ne flânaient pas. Bref… je m'avançais vers l'armoire ou plutôt le débarras à robes plus ou moins étincelantes. Comme si je n'avais que ça dans mes placards. J'avais beau fouillé partout, je n'avais rien d'autre que ces foutu robes, de toutes sorte et de toutes les couleurs possibles. Passant de rose bonbon, à bleu crémeux et même en cuir. Soupirant de dépit, je vidais tout mon armoire en faisant voler les robes par-dessus ma tête et me mis à croupis au milieu de ce tas de déchets pailletée, arrachant des morceaux de tissus par-ci par-là, je fini par concevoir une tenue correcte.

Je détachais mes cheveux blancs et les attachés en une longue tresse, qui me chatouillait le train arrière. Qui lui, était moulé dans un micro short marron, aussi serré et désagréable à porter que mes talons. Un débardeur moulant bleu, pour bien mettre mes courbes en valeur et qui laissait entrevoir mon nombril – comme si j'avais besoin de ça. Par-dessus mon short se trouvait des holsters de hanches, pour que je puisse y déposer mes blasters – enfin, quelque chose d'utile. Des mitaines de cuir pour parfaire ma tenue, mais au lieu de porter des bottes confortable et pratique, je choisissais de garder mes pantoufles de verre étincelantes de princesse – qui faisaient glin-glin à chacun de mes pas. Dolloh - que je n'avais pas vu arriver sur mon lit – me regardait tout sourire et me dis, en me lançant un clin d'œil complice :


La quête de la princesse, de l'orang-outan et de la pelote de laine ! [PV Mànàka Tulgar] Chauss10

- Ben quoi ? Faut bien avoir la classe en toute circonstance…

Je n'en reviens pas qu'il se permette de dire ses mots. Merci princesse neuneu. Arrivant de nouveau dans la pièce principale pour rejoindre mon beau prince charmant, mais je n-y trouvais qu'un loup. Les pieds sur la table, le ventre bien plein. Et plus de chevalier ? Serait-il parti en courant en voyant le loup ? Mais un ros de ce loup, et le fait qu'il recracha un morceau d'armure étincelante, m'en appris plus. Oh merci… parce qu'il me gonflais déjà. Si il n'avait pas était croqué, c'est moi qui lui aurais mis un coup de blaster à travers la tempe. Je le regardais, alors qu'il m'adressait ses premiers mots :

- Aller poupée, on fait un jeu ! Si je te dis que je suis la mascotte d'une société machiavélique ! Tu penses à qui ? Et ce n'est pas la Warner !
- Attends… Attends… Ne me dis pas ! Je sais… Je sais… C'est Villainous ! C'est ça ? Hein ? J'ai trouvé ? Hiiiiiiiiii… (Me mis-je à sautiller en secouant mes mains comme une abrutie…Princesse de merde, bonjour !)

Le voyant se gratter frénétiquement derrière l'oreille, j'attrapais le collier antipuces, qui se trouvait à côté de ma cuisinière… Hein ? Qu'est ce que… Oh ! Et puis zut, vaut mieux pas chercher, je crois. Je l'enfilais autour du coup de mon toutou plein de puce… Raaaaaaaaaah ! Mais c'est quoi ce délire. Ce "toutou" était tout aussi humain que moi, si on peut dire. Il ressemblait beaucoup à Hett, mon second. C'était un Shistavanens. Mais les choses continuaient… et je n'avais pas de contrôle dessus. Attrapant une télécommande, je me mis à lui parler comme si il avait toujours été avec moi.

- Si tu continu de te gratter ainsi, tu sais que je vais appuyer sur ce petit bouton rouge. Et tu ne veux pas que j'appuie sur ce petit bouton rouge, hein ? Alors soit un bon toutou et vient on y va !

Et puis quoi, encore, il allait me suivre sans rien dire et aboyer comme un bon chien à sa maîtresse. J'avais envie de me défoncer la tête contre les murs. Comme ça, si je me l'explosais je pourrais oublier tout ça. Mais voilà, sortant de la petit maisonnette, je me frottais les yeux. Entre le soleil chantant, les oiseaux sifflotant et les bisounours sautant sur les nuages barbe à papa, je ne savais ce que celui qui écrivait ses mots avait bien pu fumer, mais moi j'en était déjà ivre et écœuré. Nous voici, parti pour une belle aventure. Je ne savais pas où nous devions aller, mais nous y allions au galop. Le cul à cheval sur un Bantha, accompagner de Dolloh, qui c'était nichait sur mes épaules – ah, au moins un point qui ne change pas, ouf ! - nous allions vivre notre première aventure de combat. Je ne sais comment, ni pourquoi, mais nous étions poursuivit par des fantômes ressemblant à des zombies de brumes. Ni solide, si liquide nous ne pouvions pas les détruire. Nous devions portant bien passer de l'autre côté de cette rivière qui se dressait devant nous et la seule solution était un pont. Fait de pierres tout ce qu'il y a de plus basique. Mais pourtant ce pont était bien différent, il présentait une légende… On va avoir le droit à tout les détails, de chaque choses que l'on allait faire, en décrivant tout à chaque fois ou quoi ? Rrrrrrrrr… Donc, on disait… De ce pont, qu'il était habité par un golem géant et pas très commode, avec un tout petit cerveau. On ne peut pas avoir les muscles et le cerveau, ce n'est pas possible ! En tout cas, pas dans notre comte. Sur le pont des embrumes – oui, c'est comme ça qu'il s'appel - je joutais contre un golem de pierre – mais d'où sort cette épée ? Y a RIEN de logique dans cette fable - pendant que les fantômes d'un millier d'âmes perdus escaladaient les parois de dessous le pont, en me réclamant des Dragibus. Mon compagnon… ben en fait, je ne sais même pas ce qu'il faisait ! Il savait se débrouiller. Et puis, d'un coup je le vis de l'autre côté du pont, les bras croisés, il m'attendait. Le golem géant me regarda et se tourna, me pétant dessus. La rafale me fit volé avec ma monture de l'autre côté du pont. Merci, l'odeur… Pouah… J'atterri juste aux pieds de mon compagnon, alors que ma monture alla rouler jusqu'à une énorme statue. Encore une ?


La quête de la princesse, de l'orang-outan et de la pelote de laine ! [PV Mànàka Tulgar] Clzo10


Mais ce n'était pas n'importe quelle statue. Elle représentait un magnifique Kitsune de pierre, tenant entre ses dents une boîte. Je crois que nous venions de trouver l'objet que nous cherchions : une boîte. Cette magnifique boîte était noire, laquée, pas plus grande qu'une boîte à bijoux. Orné de magnifiques dessins fait main, représentant une scène d'automne avec une montagne enneigée, sur le fond. Comme si cette montagne dominée tout ce beau paysage, sur cette boîte. Des feuilles tombant délicatement sur un lac calme, dessinait sur cette boîte, où se trouvait des animaux dont je ne pouvais connaître. Voilà, que je me mettais à admirer cette boîte, comme si c'était la plus belle chose que j'avais jamais vu… non mais sérieux qu'est ce qui m'arrive ? Des petites étoiles brillait dans autour de mes yeux, et on pouvait entendre le petit tintillement de ses fameuse étoiles. Dans cette boîte se trouvait … Vous voulez savoir ce qui se trouvait dans cette boîte ? Pourquoi je répète encore et encore "BOÎTE"… Je dois avoir un beug quelque part ? Toute cette histoire est un beug de toute façon… Pfff… Bon, on n'a pas le choix.

Donc, dans cette foutu boîte se trouve… Oh, vous l'avez deviné … Un médaillon. Ça va nous servir à quoi ? Ça devient vraiment de plus en plus stupide, cette histoire. Sortez moi de là…  Donc, un médaillon… Ou en tout cas, une moitié de médaillon. Et il y avait dessus des inscriptions en japonais. Chouette, je ne connais pas cette langue. Comment je sais que c'est du japonais, alors ? C'est le script, tel qu'il est écrit, donc allez demander à qui l'écrit ! Moi j'en sais rien, et ça me saoul… Il fallait que nous trouvions l'autre partie de ce médaillon, pour la suite de notre quête. Mais où allait-elle nous mener ? On pouvait y distinguer une gravure d'un temple japonais. Mais lequel ? Tellement de question et ma tête ne pouvait pas réfléchir. Et puis, c'est sur quelle planète le Japon ? Je me tournais vers mon petit toutou qui se grattait et souris bêtement.


- Tu veux un petit nonos mon petit toutou…

Mais qu'est ce qui me prenait de lui parler de la sorte, il était mandalorien comme moi. En fait, à ce moment précis je ne savais plus si j'étais mandalorienne, princesse abrutie ou quoi que ce soit d'autre. Je voulu me taper la tête contre la main, pour montrer mon désarroi, mais au lieu de ça, je me mis à sautiller et tournouillant tout en tapant dans les mains. Mon corps était tout excité à l'idée de poursuivre notre quête. Mais mon esprit, qui n'avait aucun contrôle du reste, était quant à lui dépiter. Je devais continuer le script, tout en étant spectatrice de ce qu'il se passait. Chouette ! Je n'avais plus qu'à bien m'installer et à commenter. Même si je savais que c'était comme lorsque l'on est devant un film ou un match à la télé et que l'on gueule, sans que cela ne serve à quoi que ce soit…. Bon courage, Cassyopé…
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